Commanditées par l'État islamique, les attaques qui ont frappé la France et sa capitale Paris ce vendredi soir sont les plus meurtrières que le pays ait connues. A l'heure actuelle, le bilan s'élève à 128 morts et plus de 250 blessés, dont une grande partie est dans un état grave. Il faut dire que les attentats ont eu lieu dans des endroits très fréquentés de la ville où se trouvaient notamment des bars et des restaurants. C'est d'ailleurs devant l'un d'eux, Le Petit Cambodge, que les premiers coups de feu ont été donnés.
L’ancien rugbyman et consultant de RMC Sport Serge Simon était chez des amis qui habitent rue Bichat, juste au-dessus du restaurant, lorsque c'est arrivé. Il raconte. "Ça pétaradait. On ne savait pas, on pensait même que c’était des pétards. On est sortis sur le balcon. Il y avait une voiture arrêtée, avec un individu. Ils devaient être plusieurs. L’ami chez qui je suis en a vu trois." Témoin des premiers coups de feu à bout portant, il a ensuite vu leurs auteurs partir "dans une voiture noire, laissant derrière eux une scène de guerre."
Aussitôt, ils ont essayé "d’aider les gens. C’était compliqué. C’est une scène de guerre, un carnage. Des pompiers étaient en train d’intervenir un peu plus loin, par hasard. Ils se sont fait tirer dessus aussi. Ils intervenaient pour un feu. Ça a été une désorganisation totale au début." Puis les secours sont arrivés et les blessés ont été évacués vers un hôpital tout proche. Mais le temps lui a paru une éternité, d'autant plus que les attaques se sont poursuivis ailleurs. "Il y avait cette angoisse que ça recommence."
L’ancien rugbyman et consultant de RMC Sport Serge Simon était chez des amis qui habitent rue Bichat, juste au-dessus du restaurant, lorsque c'est arrivé. Il raconte. "Ça pétaradait. On ne savait pas, on pensait même que c’était des pétards. On est sortis sur le balcon. Il y avait une voiture arrêtée, avec un individu. Ils devaient être plusieurs. L’ami chez qui je suis en a vu trois." Témoin des premiers coups de feu à bout portant, il a ensuite vu leurs auteurs partir "dans une voiture noire, laissant derrière eux une scène de guerre."
Aussitôt, ils ont essayé "d’aider les gens. C’était compliqué. C’est une scène de guerre, un carnage. Des pompiers étaient en train d’intervenir un peu plus loin, par hasard. Ils se sont fait tirer dessus aussi. Ils intervenaient pour un feu. Ça a été une désorganisation totale au début." Puis les secours sont arrivés et les blessés ont été évacués vers un hôpital tout proche. Mais le temps lui a paru une éternité, d'autant plus que les attaques se sont poursuivis ailleurs. "Il y avait cette angoisse que ça recommence."