La sortie du film Invictus est l’occasion d’être un peu nostalgique sur l’épopée des bleus de 1995. Cette coupe du monde en terre sud-africaine est un véritable symbole pour la paix entre les peuples mais n’enlève pas une certaine frustration chez certains supporters Français qui s’estiment volés en demi-finale. C’est l’un des tout meilleurs arbitre (Derek Bevan) qui sifflait lors de cette demi-finale disputée dans des conditions atmosphériques catastrophiques, au point de retarder le coup d’envoi de 30 minutes. Le Kings Park de Durban n’attendait pas la première minute pour bouillir et encourager ses Springboks. Les supporters locaux ne s'arrêteront d'encourager les leurs qu'une semaine plus tard à l'issue d'une finale historique remportée contre les Néo-zélandais.
Dans les dernières minutes de la demi-finale, alors que l’Afrique du Sud mène 19 à 15, les Bleus se jettent dans la bataille. Le pack bleu était énorme avec Gonzo dans la cage, poussé par les monstres Olivier Merle et Roumat, avec Marc Cécillon en n°8. La poussée des guerriers bleus est impressionnante en cette fin de match et Abdelatif Benazzi profite de cette pression pour sonner une charge qui échoue à 5cm de la ligne Sud-Africaine. Les mêlées suivantes, compliquées à gérer, ne donneront rien et les Verts d’Afrique du Sud repartent vainqueurs de ce duel de combattants. L’histoire ne retiendra que la Coupe Webb Ellis brandie par François Piennar. Si proche de devenir un héros Benazzi se console en admirant le bonheur retrouvé dans le pays grâce à cet évènement. Certes les arrêts de jeu n’ont pas été bien longs, mais comment ne pas admirer la vaillance des verts qui se jetaient sur tout ce qui bouge pour gagner le précieux ticket pour la finale... et puis Invictus n'aurait jamais existé !
Dans les dernières minutes de la demi-finale, alors que l’Afrique du Sud mène 19 à 15, les Bleus se jettent dans la bataille. Le pack bleu était énorme avec Gonzo dans la cage, poussé par les monstres Olivier Merle et Roumat, avec Marc Cécillon en n°8. La poussée des guerriers bleus est impressionnante en cette fin de match et Abdelatif Benazzi profite de cette pression pour sonner une charge qui échoue à 5cm de la ligne Sud-Africaine. Les mêlées suivantes, compliquées à gérer, ne donneront rien et les Verts d’Afrique du Sud repartent vainqueurs de ce duel de combattants. L’histoire ne retiendra que la Coupe Webb Ellis brandie par François Piennar. Si proche de devenir un héros Benazzi se console en admirant le bonheur retrouvé dans le pays grâce à cet évènement. Certes les arrêts de jeu n’ont pas été bien longs, mais comment ne pas admirer la vaillance des verts qui se jetaient sur tout ce qui bouge pour gagner le précieux ticket pour la finale... et puis Invictus n'aurait jamais existé !
FOST
Le film est intéressant historiquement et poltiquement (bien que je doute que Nelson Mandela se soit autant focalisé sur la victoire de l'équipe nationale au point de snober des réunions au niveau internationale mais bon, en revanche rugbystiquement on voit que Clint "Harry" Eastwood (que j'adore par ailleurs) n'a pas dû souvent regarder un match de rugby, tous les renvois au centre du terrain qui ne passent pas la ligne des 10 mètres, pour ne citer que les plus gros ....
JYC
Dommage que vous refusiez de voir ce film : il est admirable, Matt Damon et Morgan Freeman sont exceptionnels.
Vous avez le droit de penser et même de dire que la France a été volée en demi. Mais comment expliquez-vous que le principal intéressé, à savoir le grand Abdelatif soi-même, déclare se réjouir de n'avoir pas marqué puisque cela lui a permis d'assister à une finale avec en tribune des Blancs et des Noirs mélangés ?
rector
jamais je ne regarderai ce film, la france à été volée en demi, une honte.
dalbert
Je viens de regarder "Invictus" en famille et me remémorant ce match je crois que j'ai compris pourquoi nous avons perdu; les springboks avaient un équipier de plus "la providence" donc nous ne pouvions pas gagner "Histoire oblige" le sens de la paix n'a pas de prix.
enguerrandderincquesen
La fin justifie-t-elle les moyens, je vous pose la question?