Movember
Avis aux éleveurs de belles moustaches faites maison et à ceux et celles qui souhaitent soutenir une cause utile : Movember, le désormais célèbre « mois de la moustache », revient dans l’hexagone cet automne pour une 3e saison encore plus échevelée.
Cette année, la campagne de prévention et de collecte de dons se place sous le signe du « Made in Movember ». Elle met plus que jamais à l’honneur l’engagement individuel et collectif, à l’échelle locale et dans toutes les villes et régions de France.
En 2013, pour la seconde édition de Movember en France, plus de 13 700 courageux Mo Bros et Mo Sistas ont rejoint l’aventure et récolté plus de 350 000 euros ! Combien seront-ils à relever le défi en 2014 ?
De nombreux sportifs et personnalités soutiennent Movember depuis ses débuts. En France, ils sont déjà nombreux depuis deux saisons à avoir prêté leur visage pour la cause : Maxime Médard, rugbyman au Stade Toulousain et joueur du XV de France, Imanol Harinordoquy, ancien joueur du XV de France, Jérôme Fernandez, médaillé d’or olympique en handball, Julien Lizeroux, vice-champion du monde de slalom. Toulouse, Montpellier, Bordeaux, Aviron Bayonnais, Racing Métro, Stade Français, Biarritz participent à Movember.
Lors des matchs, la vidéo suivante est diffusée sur les écrans du Stade :
Il y a onze ans, un groupe d'amis australiens décide de se lancer un défi : remettre la moustache au goût du jour, pour le plaisir de l’arborer, pour le challenge et pour le fun. Ils étaient loin d’imaginer le succès qu’ils allaient remporter... Plus qu’un mouvement, Movember est devenu aujourd’hui une véritable fondation pour la santé masculine.
Présente dans 21 pays, elle réunit à ce jour plus de 4 millions de participants dans le monde entier. Le concept est simple : réhabiliter le port de la moustache chaque mois de novembre (Movember est la contraction de « Mo » qui signifie « moustache » en Australie et de « November » signifiant « novembre »), tout en sensibilisant l’opinion publique aux maladies masculines telles que les cancers de la prostate et des testicules, et, depuis peu, également aux problématiques de santé mentale.
Inscrivez-vous dès le 1er octobre sur : fr.movember.com
Calendrier des Dieselles du Havre Rugby Club
L'hiver approchant à grands pas, malgré des températures encore agréables, les premier calendriers font leur apparition. On débute cette saison avec celui des joueuses du Havre Rugby Club, les Dieselles. Après une tentative avortée en 2008, faute de moyens, ces dernières ont fait appel au crowfunding pour produite une édition 2014. "Le calendrier 2014 a très bien marché (les 750 exemplaires ont tous été vendu assez rapidement), et nous a permis d'avoir une médiatisation inédite localement ," commente Grégory Santaner, le responsable des Féminines.
Après un brainstorming entre les joueuses et le photographe, le thème industriel a vite été retenu à la fois parce qu'il était cohérent avec le passé de la ville du Havre et également parce que "c'était l'idée de départ du photographe, Hugues Servant, lors de la fabrication de la première édition."
"Le rendu est vraiment superbe, confie Clémentine Léger. C'est encore mieux que ce que l'on pouvait espérer." Grégory de rajouter : "Certains clichés qui paraissaient géniaux sur le papier se sont révélés décevants à la réalisation et d'autres qui sont venus un peu dans l'instant ont donné des supers clichés."
"Pour les clichés les plus spectaculaires, le but était d'avoir un "effet waou" en les voyants. Alors bien sûr il y a eu des "trucages" mais le but était de ne pas trop en faire au niveau trucage pour que ça paraisse tout de même crédible. Et pour l'instant ça marche car les quelques personnes qui ont vu les photos se demandent vraiment si les joueuses se sont vraiment jetées sur le béton."
Pour donner du cachet aux clichés, le shooting a eu lieu dans un espace avec de très grands volumes. "Tout le monde a mis la main à la pâte, maquillage, mise en place des décors, etc...", explique Grégory Santaner. "C'était une journée assez fatigante mais on s'est bien amusé. On avait prévu de faire le shooting sur tout un week-end, mais comme tout le monde était de bonne volonté et bien motivé, on a réussi à boucler en une seule journée", indique Clémentine Léger.
Plus d'informations : https://lesdieselles.com/
Avis aux éleveurs de belles moustaches faites maison et à ceux et celles qui souhaitent soutenir une cause utile : Movember, le désormais célèbre « mois de la moustache », revient dans l’hexagone cet automne pour une 3e saison encore plus échevelée.
Cette année, la campagne de prévention et de collecte de dons se place sous le signe du « Made in Movember ». Elle met plus que jamais à l’honneur l’engagement individuel et collectif, à l’échelle locale et dans toutes les villes et régions de France.
En 2013, pour la seconde édition de Movember en France, plus de 13 700 courageux Mo Bros et Mo Sistas ont rejoint l’aventure et récolté plus de 350 000 euros ! Combien seront-ils à relever le défi en 2014 ?
De nombreux sportifs et personnalités soutiennent Movember depuis ses débuts. En France, ils sont déjà nombreux depuis deux saisons à avoir prêté leur visage pour la cause : Maxime Médard, rugbyman au Stade Toulousain et joueur du XV de France, Imanol Harinordoquy, ancien joueur du XV de France, Jérôme Fernandez, médaillé d’or olympique en handball, Julien Lizeroux, vice-champion du monde de slalom. Toulouse, Montpellier, Bordeaux, Aviron Bayonnais, Racing Métro, Stade Français, Biarritz participent à Movember.
Lors des matchs, la vidéo suivante est diffusée sur les écrans du Stade :
Il y a onze ans, un groupe d'amis australiens décide de se lancer un défi : remettre la moustache au goût du jour, pour le plaisir de l’arborer, pour le challenge et pour le fun. Ils étaient loin d’imaginer le succès qu’ils allaient remporter... Plus qu’un mouvement, Movember est devenu aujourd’hui une véritable fondation pour la santé masculine.
Présente dans 21 pays, elle réunit à ce jour plus de 4 millions de participants dans le monde entier. Le concept est simple : réhabiliter le port de la moustache chaque mois de novembre (Movember est la contraction de « Mo » qui signifie « moustache » en Australie et de « November » signifiant « novembre »), tout en sensibilisant l’opinion publique aux maladies masculines telles que les cancers de la prostate et des testicules, et, depuis peu, également aux problématiques de santé mentale.
Inscrivez-vous dès le 1er octobre sur : fr.movember.com
Calendrier des Dieselles du Havre Rugby Club
L'hiver approchant à grands pas, malgré des températures encore agréables, les premier calendriers font leur apparition. On débute cette saison avec celui des joueuses du Havre Rugby Club, les Dieselles. Après une tentative avortée en 2008, faute de moyens, ces dernières ont fait appel au crowfunding pour produite une édition 2014. "Le calendrier 2014 a très bien marché (les 750 exemplaires ont tous été vendu assez rapidement), et nous a permis d'avoir une médiatisation inédite localement ," commente Grégory Santaner, le responsable des Féminines.
Après un brainstorming entre les joueuses et le photographe, le thème industriel a vite été retenu à la fois parce qu'il était cohérent avec le passé de la ville du Havre et également parce que "c'était l'idée de départ du photographe, Hugues Servant, lors de la fabrication de la première édition."
"Le rendu est vraiment superbe, confie Clémentine Léger. C'est encore mieux que ce que l'on pouvait espérer." Grégory de rajouter : "Certains clichés qui paraissaient géniaux sur le papier se sont révélés décevants à la réalisation et d'autres qui sont venus un peu dans l'instant ont donné des supers clichés."
"Pour les clichés les plus spectaculaires, le but était d'avoir un "effet waou" en les voyants. Alors bien sûr il y a eu des "trucages" mais le but était de ne pas trop en faire au niveau trucage pour que ça paraisse tout de même crédible. Et pour l'instant ça marche car les quelques personnes qui ont vu les photos se demandent vraiment si les joueuses se sont vraiment jetées sur le béton."
Pour donner du cachet aux clichés, le shooting a eu lieu dans un espace avec de très grands volumes. "Tout le monde a mis la main à la pâte, maquillage, mise en place des décors, etc...", explique Grégory Santaner. "C'était une journée assez fatigante mais on s'est bien amusé. On avait prévu de faire le shooting sur tout un week-end, mais comme tout le monde était de bonne volonté et bien motivé, on a réussi à boucler en une seule journée", indique Clémentine Léger.
Plus d'informations : https://lesdieselles.com/