On a testé Rugby World Cup 2015, le jeu vidéo officiel de la Coupe du monde... et on vous en fait gagner
Rugby World Cup 2015 : le jeu vidéo officiel est disponible.
Le jeu officiel de la Coupe du monde 2015 est disponible et on a décidé deux choses : le tester, et vous en faire gagner. C'est par ici que ça se passe !

[Article sponsorisé]

Entre le rugby et les jeux vidéos, c'est une longue histoire de « Je t'aime pas non plus ». À l'occasion de la Coupe du monde organisée en Angleterre, Bigben Interactive, éditeur français de jeux vidéo, s'est pourtant lancé pour nous offrir le jeu officiel de la compétition, sobrement intitulé « Rugby World Cup 2015 ».

On a testé Rugby World Cup 2015, le jeu vidéo officiel de la Coupe du monde... et on vous en fait gagner

Présentation du jeu :

Le but ? Il est très simple : soulever le trophée Webb-Ellis avec l'une des nations qualifiées pour l'édition 2015. Les maillots officiels sont tous là, et les hymnes lancent parfaitement les matchs. On regrette simplement l'absence de licences pour certaines équipes majeures comme la Nouvelle-Zélande ou l'Australie, qu'il faudra modifier manuellement. Le reste ? Des mêlées, des touches, des chisteras et beaucoup d'essais... du rugby quoi ! En bonus, c'est Eric Bayle et Thomas Lombard qui posent leurs voix pour la version française. Pas d'Isabelle Ithurburu, donc, mais c'est déjà pas mal.

Le test :

Au Rugbynistère, plutôt que de se prendre la tête dans les explications des commandes, on a préféré plonger la tête la première dans le regroupement le jeu. Résultat ? Après cinq minutes d'entraînement nous permettant de découvrir comment passer, plaquer et mettre des cad-deb', on s'est dit qu'il était temps de démarrer une première rencontre. En mode facile – faut pas abuser – le XV de France défie... l'ogre namibien.

Le film du match :

Disons le tout de suite : lancer un match sans savoir quoi faire dans un ruck, ni même taper une pénalité, n'était pas une idée de génie. Pourtant, le graphisme du jeu et les voix du duo Bayle – Lombard nous rassurent. La Marseillaise se fait entendre. Premier sourire : Fred Michalak débute à l'ouverture. On imagine le fail si François Trinh-Duc avait été sélectionné...


Après exactement deux minutes de jeu, la Namibie me transperce. Premier essai encaissé.


Deuxième essai encaissé. Je sens la pression et j'ai l'impression de passer pour la deuxième fois mon oral d'espagnol au bac.


Nouvelle percée de Nakaitaci qui colle un énorme raffut sur l'arrière grâce à un subtil mouvement du joystick droit. Je plonge dans l'en-but. Et je reprends espoir : au fond j'avais quand même décroché un 13/20 à ce bac d'espagnol.


Plaquer c'est facile, mais je galère vraiment dans les rucks. Un départ du 9 me surprend, et j'encaisse un troisième essai. Thomas Lombard me tacle : « On n'a pas fini de s'interroger sur cette défense. Ce fut une vraie passoire. »


Est-ce l'oncle de Nakaitaci qui a créé le jeu, lui donnant des caractéristiques proches de 100 ? Toujours est-il que l'ailier d'origine fidjienne fait passer la défense namibienne pour des portes de saloon et s'en va planter un doublé. OKLM. Le mieux, c'est que le Clermontois marque après une passe sautée de... Wesley Fofana. Oui, vous avez bien lu. Bref, nous sommes bien dans un jeu vidéo.


Début de la 2nde période. Sur le renvoi, je ressuscite le french flair ©. Dusautoir ouvre l'intervalle pour Huget qui nous fait un remake du dernier France – Angleterre. Si Fabien Galthié était là, il parlerait du « tournant du match ». Je suis toujours aussi nul aux tirs au but mais avec 6 points de retard, je reprends espoir.


Wesley Fofana fait une nouvelle passe. Directement en touche.


On joue la 48e et Thierry Dusautoir vient de coller un énorme timbre. Je m'y crois.


Je plaque tout ce qui bouge et défends dans mes 22 depuis dix minutes. Ce n'est que la Namibie. Et ce n'est qu'un jeu vidéo. Mais j'ai les mains moites.


Tel un Clermontois en finale ou Lionel Beauxis lors du dernier ToulouseUBB, je craque. Avec ce 4ème essai encaissé, la défaite se profile.


Je demande à Fofana de faire une passe mais il garde se fait pénaliser pour avoir gardé son ballon au sol. Sacré Wesley... qui me coûte trois points.


Dusautoir est hors-jeu et l'arbitre siffle la fin de la rencontre. 15-31. Je songe à me mettre au football.

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Le bilan :

Trois, c'est le nombre de défaites que j'ai essuyé avant ma première victoire lors d'un Irlande – États-Unis. Au départ, j'étais sceptique, mais le jeu m'a peu à peu convaincu. Pour un jeu d'ordinateur, les graphismes sont de qualités et il n'est pas trop facile de marquer... sauf avec Noa Nakaitaci ! Le seul bémol, c'est cette prise en main plutôt difficile, notamment dans les rucks, où récupérer des ballons est franchement difficile. Si seulement Stuart Lancaster avait sélectionné Steffon Armitage... Comme toujours, il faut patienter – où s'entraîner à vide – pour contrôler le jeu. Bon, moi je vous laisse, j'ai décidé de faire taire les critiques et de gagner la Coupe du monde avec les Bleus.


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Jeu concours :

On vous propose de gagner 25 jeux (disponibles sur PS4, Xbox One, PC) par tirage au sort. Pour gagner, c'est simple : il faut répondre aux deux questions suivantes via les commentaires en bas de l'article :


1/ Combien d'équipes sont intégrées à Rugby World Cup 2015 ?


2/ Quel joueur a inscrit le plus d'essais en coupe du monde, toutes éditions confondues ?


À vous de jouer !


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Trop facile ! les yeux fermés : 19 équipes et Huget ?

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