Nom : Aviron Bayonnais
Championnat actuel : Top 14
Les couleurs : Ciel et blanc
Année de fondation : 1904
Stade : Jean Dauger (16 934 places)
Président : Alain Afflelou
Entraîneurs : Denis Avril, Christophe Deylaud, Christian Lanta
Le palmarès et le parcours sportif de Bayonne :
Championnat de France : 3 (1913, 1934, 1943)
6 ans après sa création, l’Aviron Bayonnais atteint l’élite du rugby Français dans laquelle son jeu en finesse fait des ravages. Si on parle aujourd’hui de la force Basque, les ciels et blancs, eux, faisaient parler la technique sur le pré. C’est en 1913 qu’ils écraseront en finale le club mythique du SCUF (Sporting Club Universitaire de France) sur le score de 31 – 8, synonyme de 8 essais pour les Basques.
Malheureusement, les valeureux Bayonnais perdront de nombreux joueurs durant la première guerre mondiale (6 finalistes décédés et un mutilé). Mais annoncer le déclin des Basques serait mal connaître. Ils atteindront ainsi la finale en 1922 et 1923, toutes deux perdues contre le Stade Toulousain avec les honneurs.
Vient alors la quatrième finale de l’histoire du rugby Bayonnais, contre son meilleur ennemi… le Biarritz Olympique. Imaginez-vous la liesse au Pays Basque à l’heure de l’affrontement entre les deux clubs pour le titre de Champion de France. C’est la naissance d’une rivalité non cachée : le Basque est supporter d’un club… pas des deux. Et Bayonne remportera son deuxième titre de Champion de France, qui sera complété par un troisième neuf ans plus tard, en dominant les Agenais.
L’Aviron Bayonnais possède un fort encrage Coubertiniste, et refusera de se plier à la logique de l’ « amateurisme marron ». Ainsi, le club passera difficilement la marche du rugby-économie. C’est pourquoi qu'entre 1944 et nos jours, on ne verra qu’une seule apparition du club en finale, qu’il perdra en 1982 contre le SU Agen. Et la marche du rugby professionnel fut encore plus dure. Les Bayonnais se retrouvèrent même en Pro D2, qu’ils fuiront rapidement pour retrouver l’élite du rugby français au début des années 2000. Si le club se structure avec sa remontée dans l'élite sous la houlette d'Alain Afflelou, les résultats sportifs ne suivent pas. Pire encore, Bayonne est relégué sportivement en 2010 et doit son maintien en Top 14 à la descente administrative du MTG XV Montauban. Le club survivra ensuite à de nombreuses querelles entre dirigeants avant de se pérenniser grâce à l'apport financier du lunetier.
Depuis ce sauvetage in extremis, le bilan sportif reste en dents de scie du côté des ciel et blancs. La cuvée 2010-2011 du Top 14 n'a pas été catastrophique puisque le club termine aux portes de la qualification pour la H-Cup, comme en 2008-2009. La saison suivante a en revanche été beaucoup plus compliquée pour les Bayonnais. Sur le plan sportif, l'Aviron termine à la douzième place et s'est sauvé sur le fil du rasoir à l'avant-dernière journée, en s'imposant sur sa pelouse contre l'ennemi honni, le Biarritz Olympique. Au niveau des dirigeants, les résultats étant loin d'être au rendez-vous, le président d'alors Michel Cacouault démissionne de tout poste dans l'organigramme du club basque et laisse sa place à Alain Afflelou.
En 2012/2013,le duo Lanta-Deylaud arrive sur la côte basque. L'Aviron finit pour la première fois devant le BOPB au classement depuis son retour dans l'élite (8e place). La saison 2013/2014 sera très compliquée, l'Aviron Bayonnais peine à garder sa place dans l'élite et évite la descente de justesse.Quelques motifs de satisfaction subsistent néanmoins, comme la grosse saison réalisée par Joe Rokocoko, Scott Spedding et Marvin O'Connor. Suffisant pour jouer quelque chose en 2014-2015?
Championnat actuel : Top 14
Les couleurs : Ciel et blanc
Année de fondation : 1904
Stade : Jean Dauger (16 934 places)
Président : Alain Afflelou
Entraîneurs : Denis Avril, Christophe Deylaud, Christian Lanta
Le palmarès et le parcours sportif de Bayonne :
Championnat de France : 3 (1913, 1934, 1943)
6 ans après sa création, l’Aviron Bayonnais atteint l’élite du rugby Français dans laquelle son jeu en finesse fait des ravages. Si on parle aujourd’hui de la force Basque, les ciels et blancs, eux, faisaient parler la technique sur le pré. C’est en 1913 qu’ils écraseront en finale le club mythique du SCUF (Sporting Club Universitaire de France) sur le score de 31 – 8, synonyme de 8 essais pour les Basques.
Malheureusement, les valeureux Bayonnais perdront de nombreux joueurs durant la première guerre mondiale (6 finalistes décédés et un mutilé). Mais annoncer le déclin des Basques serait mal connaître. Ils atteindront ainsi la finale en 1922 et 1923, toutes deux perdues contre le Stade Toulousain avec les honneurs.
Vient alors la quatrième finale de l’histoire du rugby Bayonnais, contre son meilleur ennemi… le Biarritz Olympique. Imaginez-vous la liesse au Pays Basque à l’heure de l’affrontement entre les deux clubs pour le titre de Champion de France. C’est la naissance d’une rivalité non cachée : le Basque est supporter d’un club… pas des deux. Et Bayonne remportera son deuxième titre de Champion de France, qui sera complété par un troisième neuf ans plus tard, en dominant les Agenais.
L’Aviron Bayonnais possède un fort encrage Coubertiniste, et refusera de se plier à la logique de l’ « amateurisme marron ». Ainsi, le club passera difficilement la marche du rugby-économie. C’est pourquoi qu'entre 1944 et nos jours, on ne verra qu’une seule apparition du club en finale, qu’il perdra en 1982 contre le SU Agen. Et la marche du rugby professionnel fut encore plus dure. Les Bayonnais se retrouvèrent même en Pro D2, qu’ils fuiront rapidement pour retrouver l’élite du rugby français au début des années 2000. Si le club se structure avec sa remontée dans l'élite sous la houlette d'Alain Afflelou, les résultats sportifs ne suivent pas. Pire encore, Bayonne est relégué sportivement en 2010 et doit son maintien en Top 14 à la descente administrative du MTG XV Montauban. Le club survivra ensuite à de nombreuses querelles entre dirigeants avant de se pérenniser grâce à l'apport financier du lunetier.
Depuis ce sauvetage in extremis, le bilan sportif reste en dents de scie du côté des ciel et blancs. La cuvée 2010-2011 du Top 14 n'a pas été catastrophique puisque le club termine aux portes de la qualification pour la H-Cup, comme en 2008-2009. La saison suivante a en revanche été beaucoup plus compliquée pour les Bayonnais. Sur le plan sportif, l'Aviron termine à la douzième place et s'est sauvé sur le fil du rasoir à l'avant-dernière journée, en s'imposant sur sa pelouse contre l'ennemi honni, le Biarritz Olympique. Au niveau des dirigeants, les résultats étant loin d'être au rendez-vous, le président d'alors Michel Cacouault démissionne de tout poste dans l'organigramme du club basque et laisse sa place à Alain Afflelou.
En 2012/2013,le duo Lanta-Deylaud arrive sur la côte basque. L'Aviron finit pour la première fois devant le BOPB au classement depuis son retour dans l'élite (8e place). La saison 2013/2014 sera très compliquée, l'Aviron Bayonnais peine à garder sa place dans l'élite et évite la descente de justesse.Quelques motifs de satisfaction subsistent néanmoins, comme la grosse saison réalisée par Joe Rokocoko, Scott Spedding et Marvin O'Connor. Suffisant pour jouer quelque chose en 2014-2015?
La petite histoire de l’Aviron Bayonnais
Pourquoi Aviron Bayonnais ? En 1904, une bande de joyeux rameurs quittera la base nautique de Bayonne pour créer un club, l’Aviron Bayonnais, grâce auquel ils pourraient pratiquer leur passion à leur guise en s’installant sur les bords de la Nive. Mais l’Aviron est un sport qui ne se pratiquait pas vraiment l’hiver. Ces rameurs décideront alors de s’inscrire au club de rugby local : Le Stade Bayonnais. L’histoire veut que les rameurs, décidément résolus, souhaitèrent la fusion avec le club d’aviron qu’ils avaient créé. L’Aviron Bayonnais, qui est aujourd’hui un grand club omnisport, a donc intégré sa section rugby en 1907.
L’Aviron Bayonnais, un club de tradition
Le club de l’Aviron Bayonnais est connu pour ses emblèmes. D’une part son chant, mais aussi sa mascotte. Quel supporter de rugby n’a pas repris en cœur le célèbre chant des supporters de Bayonne : La Peña Baiona. Le public Bayonnais, souvent élu meilleur public de France, fait vibrer le cœur des rugbymen à la manière des clubs de Football Anglais comme Liverpool.
La mascotte, c’est Pottoka. Le Pottok est un petit cheval que l’on trouve essentiellement dans le Pays basque. On le reconnaît facilement de par sa petite taille (plus petit qu’un poney), et son poil plus long. Cette race de cheval vit dans les Pyrénées. La Mascotte n’hésite évidemment pas à mettre le feu à Jean Dauger les soirs de match.
La mascotte, c’est Pottoka. Le Pottok est un petit cheval que l’on trouve essentiellement dans le Pays basque. On le reconnaît facilement de par sa petite taille (plus petit qu’un poney), et son poil plus long. Cette race de cheval vit dans les Pyrénées. La Mascotte n’hésite évidemment pas à mettre le feu à Jean Dauger les soirs de match.
fab64
trés bonne nouvelle pour l'aviron bayonnais qui , aprés plusieurs mois d'absence recupére enfin l'ailier fidjien saimoni vaka pour affronter le RM92 à colombe , la fin de saison s'annonce rude pour les bayonnais qui recoivent toulon , le stade francais , et castre et ce deplace nottament a montpellier a grenoble et le fameux derbi basque a biarritz qui sera trés trés chaud !!! mais tout est jouable encore pour les phases finales !!!! AUPA BAIONA !!!
heurvinblue
Hé ben pour une branlée c'est une branlée!!! Des bleus amorphe, des Toulousains en forme et un des arbitres Très moyens (surtout à la vidéo) voilà le cocktail pour une rouste des familles... heureusement qu'on a pas fait les marioles après Oyonnax parce que des fois le ridicule est pas loin de tuer!!
aupaAB
Chalmers (alias Jean-Michel je fais des généralités), je doute que tu sois encore sur le site, mais j'aurais vraiment voulu échanger avec toi sur certains points.
Ton commentaire sent le biarrot frustré à plein nez c'est fou. Allez bon vent et si tu passes par là n'hésite pas à faire un p'tit coucou
heurvinblue
Houlà bcp de vieux posts ici!!
Du coup pour le début de cette nouvelle saison je voulais souhaiter une bonne saison avec pas trop de crises cardiaques et bcp de voix cassées à tous mes camarades supporter!!
Musus les copains!!
Aupa Txuri Urdin
Pseudo Jakes
@ Vince31800
A quelle violence sur le terrain fais tu allusion concernant l'Aviron ?
Pas au bourre pif reçu à juste titre par cap'taine Dusautoir j'espère !
Parce que quand un joueur profitant de sa "stature" de meilleur joueur du dernier mondial, de son image de capitaine vertueux du XV de France, et du brassard de cap'taine du Stade Toulousain, se permet en toute impunité de rentrer systématiquement sur les côtés dans les rucks, de plonger allègrement dans tous les regroupements pour pourrir nos quelques ballons exploitables... sous le regard bienveillant de l'arbitre....!*?
A 'ment donné faut que ça cesse !
Quand tu viens chez nous, t'es bien accueilli, mais sur le terrain, quand t'es chez nous il faut t'expliquer nous c'est qui !!
Tout ce qu'est par terre c'est pelouse.
Vince31800
Je rejoins Chalmers pur plusieurs points et plus particulièrement sur le chauvinisme des supporters ce qui est une chose tout à fait normal car comme tout bon supporter notre club est le meilleur même dans la défaite.
Toutefois, si la violence et l'indiscipline ne règnent pas dans les tribunes, elles sont bien présentes par les joueurs qui lorsque se font mener ou bousculer répondent par des gestes déplacés et inadmissibles.
J'aime l'esprit Bayonnais mais je n'aime pas du tout cette équipe.
Néanmoins, en tant que grand supporter de rugby, je la respecte contrairement aux supporters de foot qui ne respectent même pas leur club.
En bon entendeur vive le stade Toulousain 😉
hubert.labrouche
bayonne a un tres bon public ou on aime rire et chanter meme si quelquefos on dechante mais c'est le sport .
on aime nos joueurs et on les soutient a fond!! allez les bleus l'aviron n 'est pas mort car il chante encore!!!!
AUPA BAIONA
patxi431
Allez l'AVIRON
lucas09
bayonne:j'adore ce club il a une ambiance des supporter magnifique ,et quelques joueurs qui sont vraiment bons comme:Huget,Gerber,Martin etc....
Jijine
J'adore ce club et sa magnifique ambiance avec sa Pena Baiona et sa mascotte qui mettent l'ambiance sur une des plus belles pelouse de top14 , malgrès une mauvaise saison sauvée sur le fil par la relégation du MTGXV, on est tjr derrière eux et on espère tous qu'ils vont relevé la tête cette anée ! Allez l'AVIRON BAYONNNAIS !!
Maxime Rouquié (Le Rugbynistere)
Merrci Tonton! Rectification faite
Tonton
merci de corriger l'erreur de frappe concernant la fiche technique de l'aviron bayonnais.
Dans "palmarés et parcours sportif" il faut remplacer Toulon par Bayonne.
Merci
Nicolas Rousse
Bonjour Chalmers,
Nous avons complètement zappé ton commentaire, désolé pour le délai de réponse. Ce que nous avons voulu dire ici c'est que Bayonne a comme Liverpool l'exclusivité du chant des supporters, et que ça file la chair de poule dans les tribunes d'Anfield Road! Et la comparaison s'arrête là. Pas de débat foot vs rugby dans cet article. On sait tous pourquoi nous aimons le rugby et son univers, et pourquoi nous dénonçons certains comportements dans les tribunes de nos homologues du ballon rond. Mais ne généralisons pas et essayons de trouver des similitudes plutôt que des différences. L'ouverture d'esprit n'est-elle pas l'une des valeurs qui font du rugby un sport à part?
A bientôt j'espère!
chalmers
Concernant, "l'aviron bayonnais un club de tradition", c'est que des c*****ies!!!
La pena baiona et Pottoka sont tout deux très récents (en fait ils sont apparus depuis la remonté en top14 si je me souviens bien) donc en aucun cas des "traditions". L'aviron s'est fait connaitre pour son style de jeu qui était spectaculaire.
Comparer l'ambiance de Jean Dauger avec des club de foot, malheureux!! tu n'entendras pas d'insultes, pas de menaces de mort à l'aviron! Certes, il y a du chauvinisme mais la comparaison s'arrête là.