Ce 8ème de finale de Champions Cup fut presque parfait pour le Stade Toulousain. Une victoire 33 à 9 sur les Bulls à domicile. Seule ombre au tableau, la sortie prématurée du talonneur international, Julien Marchand. Aux alentours de la 33e minute, c’est sur un plaquage que la cheville gauche du talonneur se tord. Il sort alors en boitillant, remplacé par Peato Mauvaka.
Le numéro 2 des rouges et noirs passera des examens dans la semaine. En attendant, Ugo Mola, coach des rouges et noirs, s’est exprimé sur la blessure de son joueur : "Ça paraît être une belle entorse de la cheville. Ses retours de Tournoi des Six Nations sont toujours un peu compliqués." Le talonneur devrait manquer les prochaines semaines de compétition et donc le quart face aux Sharks, et leur pack si solide...
Barraka
Il y a l'air d'y avoir eu de la casse aussi en face, et pas des moindres:
https://www.rugbypass.com/news/bok-pair-among-star-players-sharks-are-sweating-over/
Jacques-Tati-en-EDF
Oui, il semble qu'Etzebeth soit un peu mal en point. C'est pas pour nous déplaire en effet ... De plus la franchise joue aussi en Currie Cup le même we...
Barraka
Effectivement ils ont un match de Currie cup la veille. Vu la durée du vol ça va être compliqué de faire comme le pilier des Stormers la semaine dernière qui s'est tapé 2 matchs le même jour 😅
Jacques-Tati-en-EDF
Mince le pôvre !!
Yonolan
Effectivement c'est fort dommage qu'un joueur de ce calibre ne soit pas présent pour ce 1/4 qui s'annonce rugueux et dense
J'ai écouté un entretien de Mola à l'Equipe très intelligent et réfléchi qui montre jusqu'à quel niveau ces entraineurs réfléchissent ainsi que leurs clubs
Je vous met le lien en espérant qu'il ne soit pas réservé qu'aux abonnés
https://www.lequipe.fr/Rugby/Actualites/Crunch-le-podcast-rugby-de-l-equipe-avec-ugo-mola-avec-ces-joueurs-la-creme-de-la-creme-je-m-eclate/1389525
Du très haut niveau
Jacques-Tati-en-EDF
Oui effectivement très intéressant. Je voudrais faire le lien avec les liens qu'a indiqués AKA plus bas sur le ST.
Je pense que le jeu "à la toulousaine" s'est effectivement développé dans les années 80 suite aux travaux de Deleplace, Bru puis Villepreux, Skrela et ensuite Novès. Ceci dit, ils ont dévéloppé des concepts qui ont vu leur limites lorsque le professionnalisme est arrivé. Pourquoi ? Parce qu'en l'espace de 10 ans les joueurs ont très fortement amélioré leurs vitesses, puissances, et leur capacité à répéter les efforts. Il s'en est suivi une période où le ST a dû chercher des solutions car les défenses sont devenues beaucoup plus strcites, les espaces se sont réduits, les collisions de plus en plus fortes et destructrices, et les organisations plus établies. Donc ça a forcément modifié cette "idée" de placer "15 joueurs contre 15 joueurs dans un espace donné" comme le proposait Bru. Et selon moi, la grande résussite du staff de Mola n'est pas d'avoir succédé à Novès mais d'avoir su retrouver dans ces nouvelles conditions, les principes proposés depuis toujours par les techniciens et penseurs de ce jeu dans les années 80. Un exemple: jouer dans la défense demande une technicité qui n'était pas la même qu'avant, les placages se font souvent au-dessus de la ceinture au niveau de bras, il faut donc arriver à contrôler le défenseur avec le haut du corps, effectuer un travail d'appuis avant la collison afin de se placer dans une position favorable (au lieu d'aller péter direct ), de garder la maîtrise du ballon donc d'arriver à faire une pase dans n'importe quelle position et aussi aux soutiens de se situer dans sa distance avec le porteur afin de venir au bon moment.
Le ST a réussi ce passage (avec d'autres clubs de plus en plus). Et c'est vraiment très important pour ce sport de mon point de vue.
Yonolan
Oui c'est bien sur la base de René Deleplace que cette forme de philosophie de jeu s'est développé à Toulouse mais pas que
Deleplace était aussi un musicien et cela à son importance
Quoi de mieux que de le citer
"Le choix d'un seul joueur balle en main conditionne les actions de ceux qui ne l'ont pas, aux hommes de s'adapter le plus justement possible à la suite de cette décision pour poursuivre le mouvement sans interruption afin de constituer une suite harmonieuse. En théorie, si les joueurs offrent plusieurs solutions au porteur de balle, on peut éviter les arrêts de jeu et poursuivre l'action indéfiniment bien au-delà de la ligne d'en-but. » La perfection serait le mouvement perpétuel...
Et j'en profite pour tordre le cou à un contresens que je vois de temps en temps et qui m'irrite autant que le 15 de France pour certains
On parle de rugby cassoulet , voire de mafia Cassoulet en parlant du Stade Toulousain
Il faut savoir que même à l'époque Delaplace prêtait aux avants et aux arrières les mêmes aptitudes à créer une incertitude dans le déploiement du jeu qui ne respectait plus la logique simpliste de "la balle à l'aile, la vie est belle".
L’improvisation s’apprend en Rugby comme en musique
Et là il y eut des opposants farouches à cette vision du rugby avec Ferrasse et Fouroux en pointe
Qui y voyaient un rugby intellectuel eux qui étaient resté à une sacro sainte répartition des rôles sur un terrain bien résumé par Danos
"Au rugby, il y a les déménageurs de piano… et ceux qui en jouent "
Et c'est cette ligne , opposée à la vision mise en pratique surtout par Toulouse qu'on nomma rugby cassoulet
Donc contresens
Ce combat et cette opposition fut repris par Bernie , qui en fit une querelle d'hommes, dans la lignée de Fouroux
Et cette ligne de fracture fut vivace et je ne suis même pas sur qu'elle soit refermée même si la virulence n'est plus la même
AKA
Tu ne crois pas si bien dire concernant le fameux « rugby cassoulet », du temps où le RCT régnait sur le Top14 et là CE un journaliste « spécialisé » recevait l’ autre et lui souhaitait moultes victoires car (dixit) « il y en avait marre du rugby-cassoulet »! Depuis le quidam mange régulièrement son chapeau en passant de la pommade au Stade. Hé oui Fouroux, Ferrasse et la trahison de Patou qui souffla la présidence de la Fédé à J Fabre et fit repartir celle ci dans une glaciation de gros pardessus😠
Jacques-Tati-en-EDF
Tout à fait ...
Il est évident que la pratique d'une réactivité collective est une chose qui s'apprend. Et c'est de l'improvisation travaillée collectivement. Pour avoir été un peu entraîneur, j'ai aussi constaté que c'est aussi un travail que les joueurs assimilent assez facilement même lorsqu'ils ont été habitués au joutes frontales, car on fait entrer la notion de jeu, d'incertitudes, de variations, et souvent les entrainements sont vécus comme un plaisir et non pas une contrainte, d'où un enthousiasme qui en émane. Et on retrouve ça en match.
Je ne savais pas que Deleplace était aussi musicien , mais ça ne m'étonne pas. J'ai mon fils qui est pianiste, de jazz entre autres (mais qui n'a jamais joué au rugby), et qui a longtemps travaillé les improvisations. Un jour on a discuté assez longuement des principes d'impros au piano avec des trames, des accords autour desquels le pianiste pouvait effectuer des variations. Et j'ai pensé au rugby de mouvement justement et des similitudes qu'il existaient entre les deux. C'était assez flagrant.
duodumat
Oh que non cette fracture ne s'est pas refermée !
RCDcenter
Merci du tuyau, effectivement en accès libre…
duodumat
Merci !
Magnifique entretien, plein de sensibilité, d'ouverture, d'humanité. J'aime bien ce langage et cet esprit de partage. Je ne voyais pas Mola sous cet éclairage.
Yonolan
c'est un entretien très riche qui fait la part belle à la notion d'équipe et de remise en question permanente
Comme le fait que ,même si chacun a sa spécialité en terme d'entraineur, il garde tous une vision d'ensemble donc une compréhension globale
Ainsi que le coté collégial des décisions
Rare qu'on renter autant dans la philosophie du management d'un club
duodumat
@AKA
Comme je te le disais hier soir voici le récit d'une belle aventure ...
Rugby amical aux Tuamotus !
Au milieu d’un tour du monde à la voile avec mon épouse nous quittons l’archipel des Marquises, vers l’Ouest, en direction des Tuamotus, à 1000 km de là. Cet archipel fait partie de la Polynésie Française, situé à plus de 700 km dans l’Est de Tahiti
Après avoir visité deux atolls, nous entrons dans celui de Fakarava par une passe assez agitée, riche en requins et raies mantas. C’est un des plus grands de l’archipel, 60 km de long, 30 km de large, environ 800 habitants. Au sud-est de l’atoll il y a un bel endroit, Hirifa, pour mouiller l’ancre devant un faré (maison) sur pilotis qui sert de bistrot-resto-«discothèque», pour les voiliers de passage au mouillage. Nous y passons une première belle soirée, avec les équipages de deux autres voiliers, un américain et un écossais, à gratter la guitare et chanter en compagnie de la propriétaire des lieux, Lisa, dont la voix n’a d’égale que le volume. Lisa, c’est son prénom « chrétien », j’ai oublié son prénom maori imprononçable pour nous.
Femme adorable à l’accueil charmant, comme la plupart des polynésiens, elle a organisé son faré pour recevoir les navigateurs de passage. Il faut avoir conscience que les atolls des Tuamotus sont un « trou-du-cul du monde », où les sources de revenus sont inexistantes. Tout le monde cultive un jardin, récolte quelques rares fruits, légumes et surtout ils pêchent et élèvent des poules pour les œufs, la viande et quelques cochons. Ces atolls sont ravitaillés une fois par mois par un cargo venant de Tahiti qui apporte tabac, alcool, produits frais …
Les polynésiens sont des gens accueillants et continuellement souriants. Ils ont un respect incroyable pour les visiteurs venant de la mer. Leurs premiers mots lorsqu’ils t’accueillent sont « je m’appelle Teiki. Et toi ? », puis « d’où viens-tu ? », « tu as passé combien de temps sur la mer ? » et tout de suite « la mer était comment ? Les vagues pas trop grosses ? »
Cette interrogation plutôt admirative est liée au respect ancestral qu’ils portent aux premiers navigateurs, mélanésiens, venus d’Asie du sud-est, qui ont colonisé ces îles inhabitées., depuis la Nouvelle Zélande jusqu’aux îles Hawaï, il y a environ 3000 ans. Tous les archipels de l’Océan Pacifique sont peuplés de leurs descendants et appartiennent à la même ethnie, les maori.
Le lendemain, les autres voiliers sont partis et nous nous retrouvons seuls au mouillage. Ce Paradis est là, pour nous seuls. Nous décidons d’y rester quelques temps.
A partir de ce moment, les quelques habitants viennent nous saluer tous les jours. Entre visites amicales, plongées féériques, requins sous le bateau et soirées chantées chez Lisa, nous vivons des moments hors du temps et de l’espace.
Nous avons à bord plus de 100 kg de citrons et pamplemousses marquisiens. Ici ces fruits sont rares et chers parce qu’ils viennent à bord du cargo de ravitaillement des atolls et ne peuvent pousser dans le sol sableux et salé des motus (îlots). Donc naturellement, nous en offrons quelques-uns à ceux qui nous rendent visite, le plus souvent des jeunes pêcheurs du lagon, qui en retour, nous offrent une partie de leur pêche. La sympathie fait que de temps en temps nous les invitons à bord pour boire un verre ou improviser un repas qui se termine toujours par une soirée guitare française-ukulélé polynésien et beaucoup de bonne humeur …
Une après-midi, trois jeunes pêcheurs passent au bateau pour nous apporter quelques poissons et surtout nous inviter à un repas d’anniversaire. « Viens et apporte ton ballon, on va s’amuser un peu ». J’avais à bord un ballon siglé du Stade Toulousain, qu’ils avaient remarqué lors d’une de leur visite. « Vous jouez au rugby ? » … « Bien sûr on regarde les matchs à la télé et on joue un peu, sur la plage … mais avec un ballon de foot » …
Six heures du soir, pleine lune, il y a sous les cocotiers une troupe de jeunes, hommes, femmes et enfants, musique à fond, bière, lait de coco, fruits, poissons crus préparés selon leur recette traditionnelle. Nous sommes accueillis chaleureusement et intégrés immédiatement à leur groupe festif.
« Tu as apporté ton ballon, on va jouer un peu ! » ….
Immédiatement, ils se mettent à se faire des passes, taper des chandelles, rire et jouer sur le sable pour le plaisir de ma balle, ovale et plus capricieuse que leur ballon rond …
Avec mon épouse nous discutons agréablement avec les femmes et les enfants.
Très vite un des garçons vient me chercher pour « faire un match ». Je ne peux qu’accepter. Il faut voir les membres des équipes, vingt jeunes gars polynésiens, 15 à 30 ans, près de 2 m, plus de 100 kg et moi … 1m80, 80 kg et surtout 68 ans !!!!
Je tiens à peine quinze minutes, parce qu’ils font attention à ne pas me faire mal. Mais, dans l’enthousiasme du jeu, je me prends un tampon d’un grand gaillard … souffle coupé …
Les autres se ruent sur mon plaqueur, le bousculent, l’engueulent, le traitent de lâche « tu te rends compte, tu as cassé un vieux … »
Cela me donne une bonne occasion de laisser les jeunes jouer sur le sable et de rejoindre mon épouse furieuse : « Tu te croyais jeune ? Il fallait bien que ça arrive ! Tu te prends pour qui ? » … puis plus tendre … « Tu n’as pas trop mal ? … »
Ouf ! je croyais qu’elle ne m’aimait plus parce que je jouais avec des jeunes. Une petite fille me prend la main, me fait une bise sur la paume et enferme son baiser en repliant mes doigts avec un grand sourire … C’est bon, je suis un grand-père ! A mon âge c’est mieux que rugbyman. Tournons cette vieille page …
La fin de la soirée est superbe, autour d’un « four polynésien », c’est-à-dire des fruits locaux, des légumes divers, des poissons, du poulet, du porcelet, tout cela cuit ensemble, à l’étouffée, pendant 3 ou 4 heures, sur des couches superposées de braises-pierres-feuilles des rares bananiers du coin et recouvert de toile de jute et de sable. Bien entendu, des litres de bière et quelques bouteilles de vin venues des fonds de cale du bateau … et des tonnes d’amitié.
La lune qui a éclairé notre partie sur le sable, éclaire notre soirée bien arrosée et infiniment conviviale. C’est bon la troisième mi-temps !
Mon solide plaqueur attentif à ma santé, n’arrête pas de me dire « ça va ? », presque les larmes aux yeux. Pour finir je lui offre mon ballon. J’espère que ce cadeau leur aura permis de poursuivre leur passion naissante. Plus de huit ans après je doute que ce ballon soit encore fonctionnel, mais si l’amour du jeu est resté en eux peut-être qu’ils s’en sont procuré un neuf à Tahiti.
Si on m’avait dit que je m’amuserais à jouer avec un ballon ovale, à 68 ans, de l’autre côté de la Terre, je … serais parti plus jeune !
Yonolan
On dit que les voyages permettent de se frotter aux autres
Là ça prend tout son sens...
Il y a quelques années j'avais pu voir un film la Geode de La Villette sur les pécheurs maoris traditionnels
Un père expliquait à son fils qu'il ne fallait pécher que juste ce dont on avait besoin, car à l'autre bout de la mer très très loin , il y avait des gens qui eux aussi avaient besoin de se nourrir...
Belle leçon que devrait méditer ceux qui les pensent sauvages...
Et surement de bien beaux souvenirs que cette immersion profondément vraie dans la richesse de la différence
duodumat
@Like a Lion in Jau Zion
Ce qui est extraordinaire dans les îles du Pacifique c'est cette unité ethnique maori que l'on rencontre dans l'ensemble de cet immense océan, depuis les Marquises (qui, sans doute ont conservé le mieux leur culture) jusqu'à la Nouvelle-Calédonie. Mais pour trouver cette authenticité il faut s'arrêter dans les petites îles isolées. Car dans les îles célèbres le tourisme a tout corrompu, la pire étant sans doute Tahiti et les Iles-Sous-le-vent, et à une moindre mesure les îles peuplées des Fidji. Nous l'avons aussi vérifié en Afrique de l'Ouest quand on peut éviter les grandes villes et s'enfoncer dans le pays sur les fleuves, au contact d'une population traditionnelle, accueillante et festive. Les effets de la mondialisation, surtout par les media, sont vraiment néfastes au maintien des cultures traditionnelles.
Les habitants des pays du sud-est asiatique sont un peu plus difficiles à rencontrer, de même que ceux de l'Océan Indien où il y a beaucoup d'insécurité qui fait qu'il est difficile d'avoir à un contact authentique. Le Pacifique a eu notre préférence et de loin. Et c'est là que (presque) partout on connaît et on aime le rugby ! Peut-être grâce à la tradition culturelle du combat.
On revient différent des ces endroits isolés.
Like a Lion in Jau Zion
Merci pour cette belle anecdote!!
AKA
@duodumat J' ai visionné ce film:
https://www.youtube.com/watch?v=kJh1JA_n2Rw
J' ai regardé aussi:
https://www.youtube.com/watch?v=0ggpPwYVMHI
Ces 2 vidéos sont très intéressantes si vous pouvez visionner la série écoutez bien les 2 staffs et si on tend bien l' oreille on comprend pourquoi le Stade est une des (la?) meilleure(s) équipe d' Europe
duodumat
Exact. Je ne vois pas certains entraîneurs s'exprimer ainsi. Je ne citerais pas de nom.
Yonolan
Le seul qui s'exprime au final régulièrement c'est Galthié
Et je n'ai pas pu m'empêcher de mettre en parallèle les deux
D'un coté un grand gourou des datas qui valide ses choix par des éléments qui se veulent rationnels et quasi scientifique
De l'autre quelqu'un qui travaille de la matière humaine qu'est une équipe qu'il sait fragile et peut-être différente dans les motivations de chacun et qui cherche à se nourrir au travers de contacts et de remise en question
duodumat
Ta comparaison me plaît beaucoup. Même si Galthié me paraît être un entraîneur performant, son langage habituel dans les media est à mille lieues de celui de Mola. De ma place c'est difficile de porter un jugement de valeur, je ne peux me baser que sur ce que j'entends dans les média. J'avoue être, par nature, plus touché par l'humain que par les datas.
Tout à l'heure je pensais à un épisode que j'ai vécu dans mon grand voyage. Je vais essayer de le mettre en forme. A plus tard pour cela.
Yonolan
Il n'y avait aucun jugement de valeur
Et ce serait caricatural de résumer Galthié aux data et Mola à la dimension humaine
Mais il n' y a pas de doutes à penser que Galthié est nettement plus près des datas que de l'humain et Mola l'inverse
On peut s'en faire une idée au travers de leur parcours
AKA
@duodumat Pas caricatural mais presque, son orgueil laisse peu de place à l’ humain. J’ai apprécié le post cast mais, pour avoir visionné souvent les conférences de presse de Mola , je ne suis pas surpris de son discours. Galdoche pioche où il veut quand il veut les meilleurs éléments (de son point de vue) pour monter son staff et son équipe. Lui même fait de la politique épaulé par son DRH Ibanez!
duodumat
C'est exactement ce que je voulais dire.
pascalbulroland
Le podcast n'est pas réservé aux abonnés sur l'Equipe...
Yonolan
genial merci du retour