Peu à peu, les langues se délient sur un phénomène inquiétant de notre sport : le dopage. Le cas de ces deux joueurs de Sarlat et Brive, atteints d’un cancer atypique, avait ému. La prise de produits interdits – mélange de créatine et d’anabolisants – avait été évoquée pour expliquer ces maladies, même si aucun lien n’a encore été établi par l’enquête.
Des pratiques qui ne sont pas nouvelles, si l’on en croit Gérard Dine, médecin spécialisé dans le dopage qui a étudié le phénomène en Allemagne de l’est : « Nombre de cancers ont été causés par la prise de produits hormonaux de type anabolisant ». Et met en garde contre les produits présents sur le marché : « Aujourd’hui, les produits de contrefaçon vendus sur internet sont un maquis épouvantable. Des produits extrêmement toxiques ont produit des dégâts monstrueux en Chine par exemple ».
Un phénomène qui n’épargne pas les jeunes sportifs amateurs qui seraient selon l’épidémiologiste Patrick Laure 3 à 5% à avoir utilisé « des substances interdites dans le cadre de la pratique sportive ». Des pratiques courantes dans le rugby, tant l’exigence physique est devenue importante.
Des pratiques qui ne sont pas nouvelles, si l’on en croit Gérard Dine, médecin spécialisé dans le dopage qui a étudié le phénomène en Allemagne de l’est : « Nombre de cancers ont été causés par la prise de produits hormonaux de type anabolisant ». Et met en garde contre les produits présents sur le marché : « Aujourd’hui, les produits de contrefaçon vendus sur internet sont un maquis épouvantable. Des produits extrêmement toxiques ont produit des dégâts monstrueux en Chine par exemple ».
Un phénomène qui n’épargne pas les jeunes sportifs amateurs qui seraient selon l’épidémiologiste Patrick Laure 3 à 5% à avoir utilisé « des substances interdites dans le cadre de la pratique sportive ». Des pratiques courantes dans le rugby, tant l’exigence physique est devenue importante.
Les trois étapes du dopage
Le processus de dopage au rugby compte trois étapes : le dopage sporadique de village effectué de manière individuelle, la prise de produits légaux mais institutionnalisée dans les « pôles Espoir » et enfin le dopage à proprement parler dans les centres de formation, avec prise de produits tels que le clenbutérol ou de salbutanol par exemple.
Des pratiques difficiles à quantifier car la loi du silence règne dans le milieu du rugby et qui mettent en évidence le manque de contrôle antidopage dans le monde amateur. Christophe Bassons, ancien cycliste et responsable de l’Agence Française de Lutte contre le dopage explique : « Parce qu’il y a plus d’attente et d’enjeu financier, c’est essentiellement le haut niveau qui est contrôlé. Un club comme Sarlat, qui joue en Fédérale 3, n’est jamais contrôlé ».
La Fédération Française de rugby avoue son impuissance pour contrer en totalité le problème du dopage dans le monde amateur. D’autant que les préparations physiques et les entraînements musculaires ont lieu bien souvent en dehors de toute structure de club. La Fédération souhaite néanmoins rester vigilante comme en témoigne la mise en place récente d’un passeport biologique pour les jeunes des centres de formation.
Source : Rue89
Des pratiques difficiles à quantifier car la loi du silence règne dans le milieu du rugby et qui mettent en évidence le manque de contrôle antidopage dans le monde amateur. Christophe Bassons, ancien cycliste et responsable de l’Agence Française de Lutte contre le dopage explique : « Parce qu’il y a plus d’attente et d’enjeu financier, c’est essentiellement le haut niveau qui est contrôlé. Un club comme Sarlat, qui joue en Fédérale 3, n’est jamais contrôlé ».
La Fédération Française de rugby avoue son impuissance pour contrer en totalité le problème du dopage dans le monde amateur. D’autant que les préparations physiques et les entraînements musculaires ont lieu bien souvent en dehors de toute structure de club. La Fédération souhaite néanmoins rester vigilante comme en témoigne la mise en place récente d’un passeport biologique pour les jeunes des centres de formation.
Source : Rue89
yandelug
désolé ,mais tout le monde est au courant,dirigeants,éducateurs,et souvent les parents:il va falloir un jour mettre un "coup de pied dans la fourmilière"...herbe,tabac,alcool,saloperies en tout genre ...font bon ménage auprès d'équipes de Jeunes,trop peu nombreux sont les éducateurs qui tirent la sonnette d'alarme!!!!
Agenez
Sans blague y en a tellement de jeunes qui prennent des saloperies pour prendre 10 kilos en 3 mois , des pecs sortis de l'espace, et des bras gros comme des roues de tracteurs, y en a plus que l'on croit ! Même et surtout chez les amateurs !!!
ced
enfin on en parle, bravo.
docte
Pour fabriquer des poulets où le plus rachitique fait 95 kg sur 185 et concurrencer les élevages des îles , nos producteurs doivent bien avoir des programmes alimentaires et des techniciens agréés ! .....ah non , je ne parlais pas de volatiles !
paskal31
comme beaucoup de structure en France, le rugby n'échappe pas à l'auto satisfaction et chacun faisant confiance aux chefs,on oublie l'essentiel qui est la fraternité, le sport et la protection de ceux qui le pratiquent . Devenir compétitif pour le plaisir de jouer OK, mais chercher l'exellence "immaginaire" NON..dans la pratique du rugby on devrait avoir des arbitres de touches de la ffr, on devrait obliger les pratiquants à porter un protége dents,informer les joueurs sur les dangers du dopage, controler tous les clubs et disposer de soigneurs diplomés par la ffr ....merci