L’équipe de Nouvelle-Zélande des moins de 20 ans est actuellement dans la tourmente. Elle a certes perdu son titre mondial contre l’Afrique du Sud vendredi dernier. Mais surtout plusieurs de ses joueurs ont été accusés de viol par une jeune femme à l’hôtel des joueurs dans la nuit de vendredi à samedi.
Le Président de la New-Zealand Rugby Union, Steve Tew, a annoncé à la presse que le nom du joueur plus spécifiquement visé par les accusations ne serait pas révélé. Les seuls éléments révélés concernent les tests ADN auxquels le joueur a dû se plier ainsi que le fait qu’il ait été auditionné par la police sud-africaine.
« Aucune charge n’a été retenue. Personne n’a été retenu en Afrique du Sud. Il n’a pas été au commissariat. Ce serait inapproprié de donner son nom et lui mettre ainsi la pression. Le mauvais côté des choses est que cela va jeter la suspicion sur toute l’équipe. Mais par mon expérience, je pense que dans ce genre d’équipes, les joueurs préfèrent partager cette responsabilité plutôt que de laisser un coéquipier se débrouiller », a déclaré Steve Tew.
Le responsable du rugby néo-zélandais assure toutefois qu’il est à la disposition de la justice sud-africaine : « Nous coopérons complètement et répondrons à toute demande de l’Afrique du Sud ».
Le Président de la New-Zealand Rugby Union, Steve Tew, a annoncé à la presse que le nom du joueur plus spécifiquement visé par les accusations ne serait pas révélé. Les seuls éléments révélés concernent les tests ADN auxquels le joueur a dû se plier ainsi que le fait qu’il ait été auditionné par la police sud-africaine.
« Aucune charge n’a été retenue. Personne n’a été retenu en Afrique du Sud. Il n’a pas été au commissariat. Ce serait inapproprié de donner son nom et lui mettre ainsi la pression. Le mauvais côté des choses est que cela va jeter la suspicion sur toute l’équipe. Mais par mon expérience, je pense que dans ce genre d’équipes, les joueurs préfèrent partager cette responsabilité plutôt que de laisser un coéquipier se débrouiller », a déclaré Steve Tew.
Le responsable du rugby néo-zélandais assure toutefois qu’il est à la disposition de la justice sud-africaine : « Nous coopérons complètement et répondrons à toute demande de l’Afrique du Sud ».