Les défaites des Harlequins contre Toulon et des Saracens contre Clermont, combinées à l’absence de tout représentant anglais en demi-finale de Coupe d’Europe font déjà l’objet de débats outre-manche.
Le Telegraph s’interroge ainsi sur l’influence du salary cap sur les performances des clubs anglais et sur la pertinence de le relever au niveau du salary cap français. En effet, les clubs de Bath, de Leicester et des Saracens militent pour l’augmentation du salary cap anglais. En France, celui s’établit à environ 8,7 millions d’euros, soit 1 fois et demi le montant qu’avaient arrêté les clubs anglais pour la saison prochaine (5,4 millions d’euros).
Un argument contestable d’autant que les clubs demandeurs – comme les Saracens ou Bath - y ont tout intérêt dans la mesure où ils sont détenus par de riches propriétaires. Relever trop fortement ou supprimer le salary cap rsiquerait de créer un championnat à deux vitesses.
De plus, le rapport entre les performances du week-end et l'argent est flou. Le Leinster domine l’Europe depuis quelques saisons en parvenant à faire évoluer ensemble une grande partie des internationaux irlandais. Clermont se base également sur la stabilité de son effectif et puise régulièrement dans son centre de formation (contre les Saracens, 8 joueurs formés au club étaient inscrits sur la feuille de match dont 5 titulaires). Enfin, la victoire d’Edimbourg sur le Stade Toulousain démontre qu’une pluie de chandelles tapées à bon escient permet autant – si ce n’est plus – de remporter un match sur un club à gros budget que l’augmentation du salary cap.
Le Telegraph s’interroge ainsi sur l’influence du salary cap sur les performances des clubs anglais et sur la pertinence de le relever au niveau du salary cap français. En effet, les clubs de Bath, de Leicester et des Saracens militent pour l’augmentation du salary cap anglais. En France, celui s’établit à environ 8,7 millions d’euros, soit 1 fois et demi le montant qu’avaient arrêté les clubs anglais pour la saison prochaine (5,4 millions d’euros).
Un argument contestable d’autant que les clubs demandeurs – comme les Saracens ou Bath - y ont tout intérêt dans la mesure où ils sont détenus par de riches propriétaires. Relever trop fortement ou supprimer le salary cap rsiquerait de créer un championnat à deux vitesses.
De plus, le rapport entre les performances du week-end et l'argent est flou. Le Leinster domine l’Europe depuis quelques saisons en parvenant à faire évoluer ensemble une grande partie des internationaux irlandais. Clermont se base également sur la stabilité de son effectif et puise régulièrement dans son centre de formation (contre les Saracens, 8 joueurs formés au club étaient inscrits sur la feuille de match dont 5 titulaires). Enfin, la victoire d’Edimbourg sur le Stade Toulousain démontre qu’une pluie de chandelles tapées à bon escient permet autant – si ce n’est plus – de remporter un match sur un club à gros budget que l’augmentation du salary cap.