Les 5 choses que tu vas malheureusement rater au No Limit ce week-end !

Le début des tournois de l’été sur la plage ou ailleurs, en casquette ou bob, crampons et petites chaussettes comme si t’avais participé aux JO et au Dubaï Seven. Alors qu’on sait tous ici que le seul tournoi que tu as fait, tu as terminé avec un coup de soleil et des ampoules au pied au bout du 2e match. Le No Limit lui, t’acceptes et te demande de venir comme tu es. Des activités, du rire et du partage. Mieux qu’un restaurant avec tes meilleur(e)s ami(e)s. Alors voici les 5 choses que tu vas rater au No Limit cette année.

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J’espère que ton programme physique est affûté pour être au maximum fin juin parce que l’édition 2019 s’annonce encore plus incroyable que les précédentes… Petite vidéo du tournoi de 2018 pour vous faire patienter, mais restez aux aguets car d’autres surprises arrivent bientôt. ? @lerugbynistere #rugby #nolimit #fiesta #launaguet #copains #comingsoon #toulouse

Une publication partagée par Rugby No Limit - Officiel (@rugbynolimit) le 19 Avril 2019 à 6 :48 PDT

Numéro 1 : Wazoo

Tu ne connais pas Wazoo ? Ce n’est pas une application de transports toute mignonne pour chat d'appartement, mais un groupe de musique « folk festif », selon Wikipédia. Il faut savoir une chose avant de continuer à lire, Wazoo a été fondée à Clermont-Ferrand et ils restent une exception en Auvergne en terme de titre remporté avec 360 000 singles vendus en 1999. Les singles, vous les connaissez ! La Manivelle, ce titre numéro 1 dans la playlist de ton pilier droit avant chaque match, qu’il reproduira à la 37e après un plaquage légèrement appuyé (selon lui). La Boiteuse, également, qui a bercé toutes tes années cadets/juniors.

P.S : ils seront en concert samedi soir pour mettre le feu à Launaguet, l’année de leurs 20 ans de carrière (plus que toi autour d’un ballon ovale). Tu peux encore venir et il n’y a que chez nous que tu peux voir un groupe clermontois gagner un samedi soir de juin.

Numéro 2 : La piscine

Elle est indispensable ! Pas la passe de trop, mais la piscine qui te fera le plus grand bien. Après un match, une accélération, une passe, le lever du dimanche matin ou les lacets à refaire, l’eau viendra sauver ta journée. Elle sauvera sûrement ton week-end avec cette chaleur qui s’annonce. Tu pourras admirer les athlètes de l’Hémisphère Suze reproduire le clip de Sabrina, mais avec le corps Jonathan Zebina.

P.S : on prévient qu’un bain dans la piscine n’est pas considéré comme une douche selon les autorités sanitaires.

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? En pleine préparation, @sfezou se régale à remplir les piscines avec la lance à incendie ! ? Vous pourrez vous y rafraîchir pendant cette période de canicule ? #toulouse #toulousain #launaguet #rugby #nolimit #pompier #piscine #chaleur

Une publication partagée par Rugby No Limit - Officiel (@rugbynolimit) le 26 Juin 2019 à 9 :06 PDT

Numéro 3 : Les activités

Il y a deux types d’activités : celles pour le classement général, et les activités libres. Mais dans tous les cas, elles sont toutes à faire si vous voulez vous immergez dans la folie des organisateurs.

Dans les activités qui comptent au classement, vous trouverez un blind test qui traduit littéralement veut dire : « test à l’aveugle ». Et c’est exactement ce qu’il te faut pour venir : laissez tes préjugés et peurs de côtés pour t’amuser (c’est beau, on dirait une publicité.). Il y a également… un VentriMolky avec la Fédération Française de Ventriglisse ! Parce que le Molky seul faisait quand même animateur de colo en Bretagne, ils ont mixé avec du ventriglisse. Puis le JetMolski n'était pas disponible, réservé par Dan Bilzerian. Tu retrouveras aussi le combat de Sumo, la cible géante, le Wipeout et du Roof Cagettes !

Du côté des activités libres & découvertes, les bénévoles t’ont installé une piscine (point numéro 2), un bubble foot et des activités vraiment « découvertes » : le tube à insectes, les pieds qui glissent (un remake des sorties de douches du vendredi soir), et du quad rugby !

P.S : le « ventriglisse », c’est comme la chocolatine. Pour moi, c’est ventreglisse.

Numéro 4 : Battre les Wallabites

Les Wallabies, ces soi-disant outsider qui ne sont qu’une poussière à souffler parmi les nombreuses équipes présentes. D’ailleurs, vérifier vos semelles au cas où un des membres n’y soit pas collé. Si un Wallabites vient à vous parler, nous vous conseillons de sourire et de le lancer sur un sujet qu’il ne maîtrise tout simplement pas : le rugby. Commencez par des questions simples sur la forme du ballon ou Vincent Moscato qu’ils trouvent tous « inspirant ». Si le latent vient à passer à travers les mailles du filet (chose peu probable), tentez un sujet plus complexe : les lacets. Oui, il faut essayer de lui défaire les lacets discrètement. Cette action obligera le groupe à trouver une solution commune au problème, ce qui vous permettra de vous enfuir. Généralement, la solution au problème est d’enlever définitivement la chaussure. Espérons que cette année, « le cerveau » du groupe n’est pas décidé d’acheter des crampons à scratch.

P.S : Étant donné que le cerveau du groupe fait du surf sur le bar, vous n’entendrez aucun bruit de scratch cette année.

Numéro 5 : Ta vie

Oui, ça veut dire quoi rater sa vie ? Mais ne partons pas dans un débat que personne ne maîtrise ici. Le but du No Limit est tout simplement de partager un moment ensemble, et le Rugbynistère rend possible cette chose qu’on oublie trop souvent. Mettre du lien entre des passionnés de rugby venus de la France entière : hormis les commentaires sous les articles de Castres et Toulouse, ça n’avait jamais été fait. Remercier les lecteurs et la communauté du Rugbynistère, car ici, on ne l’oublie pas. Battre les Wallabites. Refaire le monde de l’ovale autour de discussions sur la Coupe du monde au Japon. Battre les Wallabites une 2e fois. Se donner rendez-vous sur le site et ailleurs pour perpétuer ce que vous avez commencez. Discuter avec des inconnus sur le cas Bastareaud. Battre les Wallabites une 3e fois. Mais surtout, venir avec le sourire qu'on transformera en souvenirs. (Et battre les Wallabites encore).

P.S : alors, à ce week-end.