Il y a quelques semaines, l’entraîneur de la franchise australienne des Waratahs, Michael Cheika, montait au créneau en sollicitant un geste de la fédération australienne pour tenter de conserver le deuxième ligne international australien, Sitaleki Timani au sein de son effectif. Il semblerait désormais que le système actuel régissant les contrats des joueurs en Super Rugby, ne le satisfasse plus du tout. Pour rappel, lorsqu’un joueur décide de signer quelque part, il reçoit une proposition d'un club que la fédération peut choisir de rehausser si le jeu est appelé à jouer pour les Wallabies. Un processus qui peut parfois poser problème selon le technicien : « Il ne devrait y avoir qu’une seule négociation. Ce système créé un environnement concurrentiel qui n’a rien de positif. »
En effet, si par une offre trop faible, l’ARU ne valide pas celle du club, cela peut inciter le joueur à aller voir ailleurs. L’évaluation du club en ce qui concerne le dit joueur peut elle aussi être remise en question. Alors qu’il doit faire face à la renégociation de contrat de 21 de ses 35 hommes, Cheika s’inquiète. « Nous faisons de notre mieux au niveau financier et nous espérons que la fédération a autant de considération que nous pour ces joueurs. Tout ce que je peux faire personnellement, c’est essayer de rendre le club aussi difficile à quitter que possible. » Et plus particulièrement pour les Wallabies Berrick Barnes, Sitaleki Timani et Wycliff Palu, lesquels ont d’ailleurs fait part de leur envie de jouer en-dehors de l’Australie. La franchise des Waratahs n’est bien évidemment pas la seule dans cette situation.
Le cas des internationaux n’est pas le seul problème que rencontre le rugby australien en ce moment puisque toujours selon The Sidney Morning Herald, de nombreux clubs de l’île continent, et plus particulièrement de Sidney et Brisbane, éprouveraient de sérieuses difficultés financières. Le Penrith Rugby Club et le Gordon Rugby seraient d’ailleurs proches de la faillite. Le fait que certains joueurs de Super Rugby, de retour dans leurs provinces, leur demandent un petit extra pour leurs services en complément des primes et des bonus, n’aident certainement pas à maintenir une bonne santé financière.
En effet, si par une offre trop faible, l’ARU ne valide pas celle du club, cela peut inciter le joueur à aller voir ailleurs. L’évaluation du club en ce qui concerne le dit joueur peut elle aussi être remise en question. Alors qu’il doit faire face à la renégociation de contrat de 21 de ses 35 hommes, Cheika s’inquiète. « Nous faisons de notre mieux au niveau financier et nous espérons que la fédération a autant de considération que nous pour ces joueurs. Tout ce que je peux faire personnellement, c’est essayer de rendre le club aussi difficile à quitter que possible. » Et plus particulièrement pour les Wallabies Berrick Barnes, Sitaleki Timani et Wycliff Palu, lesquels ont d’ailleurs fait part de leur envie de jouer en-dehors de l’Australie. La franchise des Waratahs n’est bien évidemment pas la seule dans cette situation.
Le cas des internationaux n’est pas le seul problème que rencontre le rugby australien en ce moment puisque toujours selon The Sidney Morning Herald, de nombreux clubs de l’île continent, et plus particulièrement de Sidney et Brisbane, éprouveraient de sérieuses difficultés financières. Le Penrith Rugby Club et le Gordon Rugby seraient d’ailleurs proches de la faillite. Le fait que certains joueurs de Super Rugby, de retour dans leurs provinces, leur demandent un petit extra pour leurs services en complément des primes et des bonus, n’aident certainement pas à maintenir une bonne santé financière.