Nom : Racing Club de Narbonne Méditerranée (RCNM)
Championnat Actuel : Pro D2
Les couleurs : Orange et noir
Année de fondation : 1907
Stade : Parc des sports et de l’amitié (12 000 places)
Président : Anthony Hill
Entraîneurs : Justin Harrison, Sébastien Buada, Sébastien Logerot
Le palmarès et le parcours sportif de Narbonne :
Championnat de France : 2 (1936, 1979)
La création du club commence par un affrontement entre les joueurs du Sporting et les militaires du 80ème régiment d’infanterie. La grande rivalité entre les équipes se soldait par une victoire des joueurs du Sporting et la fusion entre les deux équipes est décidée à l’unanimité en 1907. Le club troque rapidement sa tunique grenat pour de l’orange et sort vainqueur en 1912 de l’AS Perpignan pour devenir champion du Languedoc. La 1ère guerre mondiale fut tragique pour le club puisque 22 de ses membres succombaient dans les tranchées.
L’entre deux guerres restera une des périodes fastes du rugby Narbonnais. Le club se qualifie successivement en finale du championnat de France contre Lyon. Les Rhônalpins sortiront vainqueurs en 1932 et 1933. Le RCNM attendra 1936 pour soulever son premier bouclier de Brennus au profit de Montferrand. Le club connait ensuite de sérieuses secousses avec un retrait du championnat à XV pour jouer dans un rugby à XIII qui se professionnalise. Mais l’interdiction de pratiquer ce sport oblige les Narbonnais à revenir à XV et a sombrer en 2ème division en 1946 avant de remonter dans la foulée.
Les années 60 marqueront le retour au premier plan de l’équipe narbonnaise qui accroche deux demi-finales (1964 et 1968) et une finale perdue à la dernière minute contre le grand Béziers en 1974 avec les 3 frères Spanghero dans la mêlée narbonnaise. Avec Didier Codorniou à la baguette, le club de Narbonne soulève un deuxième Brennus, après une victoire historique contre Bagnères de Bigorre (10 à 0). Le club remporte même le Yves du Manoir la même année.
L’histoire du club connaît alors peu de péripéties avec un maintien en première division sans faire de miracles. Mis à part une finale de challenge Européen perdue en 2001, Narbonne ne parvient plus à truster le haut du classement jusqu’à connaître une véritable désillusion en 2007 avec une tragique descente en Pro D2 après 100 ans passés en 1ère division.
Depuis, le club audois a été racheté par un consortium australien, et vise une remontée en Top 14 à court terme, entre 2012 et 2014.
La petite histoire du Racing Club Narbonne Méditerranée
L’histoire du Racing Club Narbonnais est intimement attachée à celle d’une famille. Cette famille constituée de montagnes qui participaient à leur manière à la popularisation d’un rugby fait de valeurs de solidarité et de combat. Le rugby c’est la famille, et ce n’est pas les Spanghero qui vont me contredire. Walter (n°8), Jean-Marie (n°4) et Claude (n°5) participèrent à la finale perdue contre Béziers en 1974. Walter restera très certainement celui qui restera le plus dans les mémoires des fans de rugby puisqu’il cumulait 51 sélections en Equipe de France à l’heure de prendre sa retraite. Sa gentillesse n’avait d’égal que sa popularité à tel point que le président de la République (Pompidou en 1969) en personne, demanda un jour son retour en Equipe de France. Victime de nombreuses fractures, Walter les constatait avec un certain humour « Si je n’avais pas eu mon nez, je l’aurais pris en pleine gueule » s’amusait-il à répondre aux journalistes. Le seul manque de ce joueur de légende fut très certainement de ne pas avoir profité de ces mains gigantesques pour soulever le Brennus. Seul Claude souleva le Bouclier en 1979 en étant capitaine de l’équipe Narbonnaise.
Si la génération de Walter (6 frères et 2 sœurs) se révèle être des rugbymen convertis dans le business (Castel tradition pour Claude, casse automobile pour Walter,…), certains n’ont pas quitté le monde du rugby à l’image de Guy, président du club de Castelnaudary où il a réussi à ramener son fils Philippe Spanghero, passé par les espoirs du Stade et de Narbonne. Il ne reste plus qu’à faire venir l’aîné Nicolas qui a vadrouillé entre Castres et Colomiers pour boucler la boucle… mais qui sait où l’histoire familiale s’arrêtera.
Championnat Actuel : Pro D2
Les couleurs : Orange et noir
Année de fondation : 1907
Stade : Parc des sports et de l’amitié (12 000 places)
Président : Anthony Hill
Entraîneurs : Justin Harrison, Sébastien Buada, Sébastien Logerot
Le palmarès et le parcours sportif de Narbonne :
Championnat de France : 2 (1936, 1979)
La création du club commence par un affrontement entre les joueurs du Sporting et les militaires du 80ème régiment d’infanterie. La grande rivalité entre les équipes se soldait par une victoire des joueurs du Sporting et la fusion entre les deux équipes est décidée à l’unanimité en 1907. Le club troque rapidement sa tunique grenat pour de l’orange et sort vainqueur en 1912 de l’AS Perpignan pour devenir champion du Languedoc. La 1ère guerre mondiale fut tragique pour le club puisque 22 de ses membres succombaient dans les tranchées.
L’entre deux guerres restera une des périodes fastes du rugby Narbonnais. Le club se qualifie successivement en finale du championnat de France contre Lyon. Les Rhônalpins sortiront vainqueurs en 1932 et 1933. Le RCNM attendra 1936 pour soulever son premier bouclier de Brennus au profit de Montferrand. Le club connait ensuite de sérieuses secousses avec un retrait du championnat à XV pour jouer dans un rugby à XIII qui se professionnalise. Mais l’interdiction de pratiquer ce sport oblige les Narbonnais à revenir à XV et a sombrer en 2ème division en 1946 avant de remonter dans la foulée.
Les années 60 marqueront le retour au premier plan de l’équipe narbonnaise qui accroche deux demi-finales (1964 et 1968) et une finale perdue à la dernière minute contre le grand Béziers en 1974 avec les 3 frères Spanghero dans la mêlée narbonnaise. Avec Didier Codorniou à la baguette, le club de Narbonne soulève un deuxième Brennus, après une victoire historique contre Bagnères de Bigorre (10 à 0). Le club remporte même le Yves du Manoir la même année.
L’histoire du club connaît alors peu de péripéties avec un maintien en première division sans faire de miracles. Mis à part une finale de challenge Européen perdue en 2001, Narbonne ne parvient plus à truster le haut du classement jusqu’à connaître une véritable désillusion en 2007 avec une tragique descente en Pro D2 après 100 ans passés en 1ère division.
Depuis, le club audois a été racheté par un consortium australien, et vise une remontée en Top 14 à court terme, entre 2012 et 2014.
La petite histoire du Racing Club Narbonne Méditerranée
L’histoire du Racing Club Narbonnais est intimement attachée à celle d’une famille. Cette famille constituée de montagnes qui participaient à leur manière à la popularisation d’un rugby fait de valeurs de solidarité et de combat. Le rugby c’est la famille, et ce n’est pas les Spanghero qui vont me contredire. Walter (n°8), Jean-Marie (n°4) et Claude (n°5) participèrent à la finale perdue contre Béziers en 1974. Walter restera très certainement celui qui restera le plus dans les mémoires des fans de rugby puisqu’il cumulait 51 sélections en Equipe de France à l’heure de prendre sa retraite. Sa gentillesse n’avait d’égal que sa popularité à tel point que le président de la République (Pompidou en 1969) en personne, demanda un jour son retour en Equipe de France. Victime de nombreuses fractures, Walter les constatait avec un certain humour « Si je n’avais pas eu mon nez, je l’aurais pris en pleine gueule » s’amusait-il à répondre aux journalistes. Le seul manque de ce joueur de légende fut très certainement de ne pas avoir profité de ces mains gigantesques pour soulever le Brennus. Seul Claude souleva le Bouclier en 1979 en étant capitaine de l’équipe Narbonnaise.
Si la génération de Walter (6 frères et 2 sœurs) se révèle être des rugbymen convertis dans le business (Castel tradition pour Claude, casse automobile pour Walter,…), certains n’ont pas quitté le monde du rugby à l’image de Guy, président du club de Castelnaudary où il a réussi à ramener son fils Philippe Spanghero, passé par les espoirs du Stade et de Narbonne. Il ne reste plus qu’à faire venir l’aîné Nicolas qui a vadrouillé entre Castres et Colomiers pour boucler la boucle… mais qui sait où l’histoire familiale s’arrêtera.
Maxime Rouquié
Bonjour Gil,
Nous savons que certains bons joueurs australiens ont signé au club narbonnais mais il faut attendre encore quelques semaines pour connaitre le recrutement définitif du club.
gil ROSIQUE
Bonjour,
pourrait on connaitre les divers départs et arrivées du club ainsi que le prochain calendrier si vous l'avez reçu.
"expatrié" de la "😜lus belle ville du monde" j'aimerai pouvoir supporter notre belle équipe lorsqu'elle viendra à BRIVE LA GAILLARDE.
Merci par avance.