"Je m'excuse auprès de Thomas Young, des Wasps et tous les membres des Harlequins pour le carton jaune reçu." Les mots sont signés Dave Ward. En cause ? Un mauvais geste très largement évitable contre les Wasps, lors du "derby" qui n'a plus vraiment lieu d'être, les Guêpes évoluant désormais à Coventry. Le talonneur a... piétiné la cheville de Thomas Young.
Ni une, ni deux, les Harlequins ont choisi de suspendre leur propre joueur. Durée de la sanction ? Un match.
Club statement: Dave Ward https://t.co/CVQdfeyEr8
— Harlequins ???? (@Harlequins) 30 décembre 2018
Mais ce n'est pas tout : Dave Ward est également accusé d'avoir craché sur Young, au sol au moment de l'action. Ce qu'il dément :
J'aimerais aussi préciser que je n'ai pas craché sur un autre joueur durant la rencontre. Au regard des images télévisées, je sais que je n'ai jamais craché sur un joueur de toute ma carrière, je ne le ferai jamais.
L'action en vidéo :
Tres acciones de Dave Ward en el partido contra Wasps, la sanción: tarjeta amarilla.https://t.co/tpkBUmaJcN
— Javier Señarís Senra (@RutgerBlume) 30 décembre 2018
Et le résumé vidéo du match, gagné par les Londoniens :
Team Viscères
J'aimerais bien avoir la version originale parce qu'en version françaises les excuses sont peu convaincantes : "Au regard des images télévisées, je sais que je n'ai jamais craché sur un joueur de toute ma carrière"... il a vraiment eu besoin de revoir les images pour savoir qu'il n'avait pas craché sur un mec?
Ahma
"I would also like to make clear that I did not spit on another player during the match yesterday. Regardless of what the television footage looks like I know that I have never spat on a player in all my career and will never do so."
De lien patlon.
Team Viscères
Je vois que tu commences 2019 sur de bonnes résolutions, tu viens de te souvenir que tu devais bosser pour obtenir ton non-salaire.
Et cela confirme les doutes sur la VF parce c'est absolument le contraire de ce qu'a déclaré le joueur, ce qui est rassurant pour ce dernier mais inquiétant pour le traducteur.
Ahma
N'empêche, s'il a pris la peine de revoir tous les matchs de sa carrière avant de se prononcer, on ne peut que saluer sa conscience professionnelle.
Tiens, je vais relire tous mes commentaires pour être certain de n'avoir jamais écrit une seule connerie.
Val 38
Vous allez être déçu......
to7
C'est surement très mal traduit, ou alors le gars parle aussi mal qu'il se comporte mais je ne vois pas bien dans quelle langue ça pourrait être convainquant
to7
le type fait un geste affreux de grosse pute en venant marcher sur la cheville mais il nous explique qu'on voit mal qu'il est un type trop bien pour cracher, et on est supposé le croire
breiz93
Et le déblayage juste avant en prenant la tête de l'adversaire...
Sacré bonhomme !
lelinzhou
- Ward : "Il n'y a pas eu de crachat"
- Young : "Si, à moi" !
Et il ajoute : "J'aime pas jouer quand il fait froid, ça fout les glandes, c'est l'hiver".
Ledranob
Comme vous avez supprimé , et mon post et l'article ...je remet la totalité de cet article intéressant mais bourré de fautes d'orthographe !
FÉDÉRALE 1 CIRCUS : DES SMIC TV, DES STADES DISPARATES ET DES JOUEURS EN DANGERS
Loïc Colombié Publié le 03 janvier 2019 à 18:00
FÉDÉRALE 1 CIRCUS : DES SMIC TV, DES STADES DISPARATES ET DES JOUEURS EN DANGERS
En fédérale 1 beaucoup de mutations sont en cours, laissant pantois les acteurs!
SC Albi
SC Albi
Fédérale 1
Matchs joués
Victoires
Classement
Points marqués
Points encaissés
Six mois après la création de cette F1 new look, tour d'horizon de la médiatisation , des infrastructures, du tarif des places, de l'arbitrage et de l'intégrité physique des joueurs.
Médiatisation : « Les droits TV ont été bradés. »
Dans cette fédérale 1, aux mille visages, ou le folklore du rugby existe toujours, il y aurait bien des leviers pour faire du storytelling ! Ce championnat à un âme ! Certes, le côté lutte des classes entre pros et amateurs, ou encore ce côté parfois exotique et absurde des confrontations donne un certain romantisme à cette fédérale 1, comme de ces beautés qui ne se créent que de l'amalgame d'imperfections ! Mais elle n'a malheureusement pas de modèle économique, ni même de sens sportif. Comment expliquer au grand public sans les envoyer directement vers d'autres activités, ou qu'il vous prenne pour un déluré : que quelque part en France, il existe un championnat ou les clubs sont répartis en 3 poule de 12 et une de 11, dont les points totaux, à l'issue de celui-ci, formeront un classement national, qui définira les tableaux des clubs qui joueront un play off d'accessions, et pour ceux qui ne seront pas passé à la faucheuse de la relégation : un championnat de la terre du milieu, le Du Manoir. (tout en rajoutant sauf pour la poule de 11, dont le calcul est agrémenté d'une péréquation supplémentaire) ! Illisible : Un véritable tue l'amour à néophyte du rugby.
Alors oui la promotion de la fédérale 1, n'est pas bancale non plus . « La chaîne l'Equipe » avec des pics à 450 000 téléspectateurs lors du récent Albi-Tarbes, est une véritable fenêtre sur le grand public. Mais sa force de frappe en termes d'impact, est aussi son talon d'Achille ! Victime de son succès ont reproche à la Télé d'être « Supporterivore » et un brin pingre sur les retombées financières. Les droit TV famélique (1000 euros pour l'équipe visiteuse et 2000 pour celle qui reçoit contre 1,5 million minimum par an en PRO D2 ), ont fait dire à David Belucci Pdt AS Bédarridees-Chateauneuf du Pape au micro du #MagSport RadioAlbiges : « Ils ont été bradés ! » . Il est vrai, qu'on a déjà connu Bernard Laporte, quand il s'agit de négocier la monétisation du maillot du XV de France, plus rude en affaire ! En outre les caméras du canal 21, des dires de beaucoup de Président, videraient les tribunes et les priveraient de substantielles recettes (billetteries, Buvettes, Repas, Merchandising) tandis que les droits TV sont inférieur à ce que rapporterait un « Food Truck » sur le parvis du stade..... Du côté de la chaîne spécialisée sportive, on argue que d'énormes investissements ont été engendrés pour développer un produit mettant en valeur le rugby : alors que ce n'est que de la division 3 semi-amateur. Surtout que la chaîne de Boulogne-Billancourt, depuis cette saison, et suite à la grogne des clubs l'an passé, à ouvert un zeste le chéquier.
L'an dernier, alors que les demi-finales d'accession n'avaient pas été visibles pour cause de refus des clubs d'accueillir la « Bande à Cosset et Dominici » Les clubs ne voulant pas devenir les vaches à lait, et se voir siphonner ses tribunes sans aucunes compensations financières(l'an passé les droits TV était de 0 euro). Du coup, la FFR a demandé à « la chaîne l'équipe » de bien vouloir, revoir sa copie, malgré que rien ne l'y obligeait : disposant d'un accord avec Marcoussis jusqu'en 2020. De ce fait, le diffuseur de la Fédérale1, a donc décidé de redistribuer un SMIC TV annuel (1000 euros) à chaque club, et de la répartition mentionnée plus haut (1000/2000) pour chaque diffusion. Un geste que « l'équipe 21 » ,n'était pas obligé de faire certes, mais qui est loin d'apaiser le ressentiment des clubs de fédérale 1. Mais le mal est certainement plus profond, car par exemple, Saint-Jean de Luz-Anglet à bien réussi, à soulever 5 000 Basques à Jean Dauger malgré les caméras télé. Autre exemple, l'US Saint-Sulpice sur Lèze, un de ces « Gilets jaunes de l'ovalie », qui vient de partager sur son compte Facebook officiel, l'honneur et la joie d'être retransmit pour la 1re fois de leur histoire à la TV face à Roval Drome : « cette retransmission à travers toute la France et au delà, sera un événement magique et hors de commun pour l’image de notre petit village à travers son équipe de rugby. La Chaîne l’Equipe a choisi la confrontation entre les professionnels Drômois, sur leur herbe, et notre équipe de purs amateurs représentants du plus petit village de France de Fédérale 1. ». Pour ces pluri-actifs de l'ovalie, 80 minute de gloire hertzienne et numérique vaudront tous les cadeaux de noël. La petite lucarne, de plus avec le vecteur de promotion d'un accès grand public, est une aubaine pour la FFR et le rugby en général. Mais les instances doivent régler la mire d'un juste rapport entre mise en valeur du produit fédérale1 et retour sur investissement pour ces premiers acteurs : les clubs ! Car pas de bras pas de chocolat, pas de clubs pas de rugby « en clair » à la télé !
#MagSport Radio Albiges (Spécial Fédérale 1 #Episode2 avec P.MOISON, M.PELUCHON, V.FARRE, JL.LAHARGOU, J.AUTHIER, A.VERCRUYSSE, B.BAGATE, H.MONI, D.BELLUCCI et B.SICART )
Prix des places et infrastructures : « Du simple au triple ! »
Il est peu de dire que les infrastructures qui accueillent les joutes de fédérale 1 sont des plus hétéroclites, voire multiple ! Un des révélateurs, en est Rouen, un des favoris à l'accession : résidant au stade Mermoz, (un petit écrin que le club aménage, à flanc d'un complexe hôtelier, avec sa piste cendrée à l'ancienne qui le borde), les lions doivent déménager chez les cousins du foot (Stade Diochon 8000 places) pour les matchs de gala et ou télévisée, et porte en même temps un projet de construction d'un stade dédié au rugby en périphérie Rouennaise. Une solution couteau suisse, qui permet dans ce championnat « mille feuilles » aux Normands d'ajuster la mire, selon l'attractivité du visiteur. Chez l'autre favoris Roval Drome, on se partage deux Stades, du fait de la fusion entre Valence et Romans. Mais un des deux stades prendra très certainement le dessus pour des critères d'homologation, et dans ce registre, c'est Valence et son stade Pompidou qui tient la corde.
À Chambéry, on mature un projet sportif à l'horizon 2020, avec au cœur de ce projet un nouveau stade appuyé par des fonds publics, qui permettra au club de pouvoir aller au bout de ses ambitions. Dans le courant de l'automne, un espace réceptif est sorti de terre, et le SOC attend avec impatience de pouvoir exploiter cet outil en fédérale1 ou dans quelques années, qui sait,en Prod2. Raphaël Merancienne, qui était à Chambéry la saison passée, peut en témoigner : "c'est vraiment un beau projet global ; qu'ils sont en train de mettre en place là-bas. C'est vraiment cool pour ce coin de France si accueillant. ». Sur le plateau de Lannemezan, dans ce fief du « Rugby Garbure », on voit le match du samedi encore à la sauce fédérale 2, avec le petit ticket d'entrée format billet de tombola, et le chapiteau géant servant de lieu de convivialité tant pour les grands de ce monde que les « petites gens ». Au pied des Pyrénées, c'est le « melting pot » et pour tout fan du rugby terroir, il n'y a qu'un credo : « Voir un macth du CAL et mourir ».
Aux antipodes, du rugby à papa à la mode du « Plateau », les anciens pensionnaires de ProD2 eux, sont encore trop souvent dans le rugby ultra normé de l'élite : agents de sécurité en nombre, guichets multiples etc. Habitués à un haut niveau d'exigence, ils en oublient parfois qu'ils sont au pays du rugby à la bonne franquette ! Un constat qu'a tiré un président de l poule 3, lors de son déplacement à Narbonne en début de saison : « Ils sont fous,il faut qu'ils redescendent : on est en fédérale ». Alors que ce président, est allé s'en émouvoir auprès de son homologue audois, Jean Louis Caussinus , le Racing « redescend » petit à petit de son nuage PROD2. Il y a quelques jours, comme on tire un trait sur une époque faste, les dirigeants narbonnais ont vendu aux enchères, l'écran géant du Stade (qui n'a pas trouvé preneur), tandis qu'a une grosse centaine de kilomètres de là : Albi le regard toujours tourné vers la division au-dessus, étrennait le sien, en quête de nouveau revenus publicitaires et d'un standing futur. Deux courbes qui se croisent, mais qui pourraient un jour se rejoindre. Telles sont les dures réalités du rugby moderne.
D'autres clubs, que l'on qualifiera d'hybride, ont a décidé d'opter pour des solutions évolutives qui leur permettent d'utiliser les stades comme de vrais levier de développement. Dans la zone des ramiers, entre centre-ville et bords de Garonne dans un écrin de verdure : dans la zone des ramiers, entre centre-ville et bords de Garonne dans un écrin de verdure. Siège historique du club, réaménager (loges/Brasseries) et homologué Catégories B, le Stade Ernest Argelès de Blagnac détonne par son exploitation. Les dirigeant du club, Benoit Trey (président) et Frédéric Michalak (actionnaire principal), dans le cadre du projet local « Cap 2022 » ont développé une convention de délégation de service public AOT (Autorisation Occupation Temporaire), dans le cadre de la gestion et l'entretien de l'enceinte. Le club supporte les charges de fonctionnement, de maintenance et de logistique tandis que le gros entretien et la gestion des pelouses restent à charge de la mairie. Le club loue donc ses loges, mais aussi son antre aux cousins « Treiziste » du Toulouse Olympique, organise des séminaires, et tout autres événements qui gênèrent d'autres produits (la brasserie par exemple, qui loue son emplacement, mais dont le club est actionnaire dans un donnant-donnant fructueux) lui permettant de d'en tirer de non-négligeables recettes. Le stade, est devenu un vrai lieu de vie, ou se côtoient les féminines de Blagnac (étendard du club), le Toulouse Olympique, mais aussi des blagnacais qui viennent consommer dans l'enceinte. Blagnac qui fait actuellement 2000 entrée en moyenne, avec un pic à 4 500 personnes lors du derby face à l'avenir castanéen, et tente de faire grandir ses infrastructures au gré de la fédérale1. Mais le club de la périphérie toulousaine, qui est en SAS, n'en oublie pas de regarder, subtilement vers l'étage au-dessus, en préparant « Argelès » à d'autres cieux.
Arrivons maintenant à un des sujets tabous de la fédérale 1 ! Que vous alliez à Dijon, à Lannemezan, Albi ou Rouen, vous trouverez, une disparité du simple au triple du prix des places. Beaucoup de supporters jaugent le tarif de la fédérale, à ceux des sanctuaires du TOP 14 ! Et parfois certains tarifs sont au goût des aficionados, bien trop ressemblant à ceux de l'élite du rugby français, alors que la Fédérale1 n'est que le 3e échelon de la fusée. Bernard Laporte, avait lors d'une interview en déplacement estival dans le Tarn déclarait que « la FFR n'a pas vocation à se mêler du prix des places : c'est du ressort des clubs ! ». Mais l'établissement de fourchettes ou de plafonds, pourrait éviter que certains Présidents trop gourmands, ne fassent payer aux supporters, la facture d'un championnat sans ressources économiques. Car les clubs ayant souvent le plus d'adhésion populaire, sont bien sur ceux qui sont en dynamique sportive et qui drainent un territoire large ! Mais pas que, car certains clubs, arrivent à faire de magnifiques scores, en pratiquant des grilles tarifaires grand public et populaires. La fédérale 1, est un championnat de la base ovalienne, et doit nécessairement se tourner vers ses racines populaires et ou rurales. À défaut, une partie regardera le vrai rugby bling-bling, le Top 14 et le reste ira voir pour 2 Euros l'entrée, la fédérale 2 dans les entrailles du rugby terroir ! Car cette fédérale1, d'entre deux et fourre-tout, à avoir trop d'identités diverses qui la compose, peut paradoxalement en manquer globalement ! Résultante, les habitués de la fédérale1 rugby cassoulet, regarde en chien de faïences dans l'incompréhension la plus totale : la clientèle VIP de certaines grosses écuries, peu adepte des entrées générales à tarif unique. Certain parle développement économique et stratégique du rugby, quand les autres s'enquièrent du prochain « Grilladin » pour la kermesse du club. Deux mondes, deux visions, deux rugbys qui sans se croiser coexistent de façon quasi-insoluble. La fédérale 1 est à la croisée des chemins !
MagSport Radio Albiges (Spécial Fédérale 1 #Episode1 avec JC Bacca, R Gourdon, F.Dorey, J.Lesacher, J.Raynaud ,P.Jeanneau et M.Coetze)
Intégrité physique et Arbitrage : « Protéger et servir »
L'arbitrage et l'intégrité physique des joueurs ne pouvaient être dissociés, tant l'homme au sifflet, est le premier protecteur du joueur. L'arbitre par sa pédagogie, sa hauteur nécessaire tout en étant au cœur du match, permet souvent de protéger les joueurs d'autrui, voire d'eux même. Mais l'arbitre doit aussi servir une instance et ses règlements, qu'il ne peut parfois mettre en corrélation face au différentiel qui peut exister entre deux équipes de fédérale1. Beaucoup depuis le début du championnat, crie au loup d'un drame imminent et de la folie des instances dans son rôle de protection des joueurs.
Le vieux sorcier gersois, Henry Broncan et de cela. Au mois d'octobre 2018, il déclarait dans une radio locale albigeoise ; « c'est un championnat très dangereux, j'avais entendu l'interview du Président d'Oloron: je suis d'accord avec lui ». L'ancien coach d'Albi et Tarbes, faisant référence à la saillie du président béarnais en octobre 2018 sur Radio Albiges : « Ca fait partie de la réalité du moment, de l'incohérence du rugby français : opposer des équipes comme ça (pros et Amateurs) c'est dangereux, le monde du rugby est un peu fou, on a joué contre des joueurs qu'on a l'habitude de voir à la télé : je souhaite au SCA, à Arnaud et la maire d'Albi de remonter vite sinon ils auront des maux de tête.» . Des propos que son coach,, à amplifier via son ressentit toujours à l'issue de ce match déséquilibré : « Avec cette fédérale 1, des équipes de notre valeur, on va prendre des branlées, c'est dommage pour l'intégrité physique de nos garçons, on revient avec des blessés importants et des KO ». La sonnette d'alarme est tirée du coté amateur, mais du côté des pros à l'instar de l'ex tarbais et actuel albigeois Russlan Boukerou, on se méfie aussi que dans certaines équipes, ne se cachent « Un coquin » qui veut se faire le scalp d'un ancien pensionnaire de ProD2 et ou de Top 14.
Pourtant, vous en entendrez certains dire que les accidents, ne sont pas arrivée en fédérale 1. Oui, certes, les deux récents drames(Louis Fajfrowsky, et Nicolas Chauvin) sont arrivés dans des matchs ou nombre d'éminents spécialistes : nous dirons toujours que ça « tape plus fort ». Mais le jour ou cela arrivera dans ce championnat, populaire, plus à la porté des foules : alors la base commencera à renier son sport, les mères mettront leur veto, les pères fermeront les yeux dans les rucks, et les enfants ne viendront plus le mercredi après-midi ! Car pour que ce sport reste un beau combat, ou chacun va au bout de soi-même, les instances ne doivent pas se laisser happer par le culte du spectaculaire télégénique, aux risques de devenir des jeux du cirque. Car oui, tout le monde aime ce sport et ce défi physique brutal, parfois rugueux, rendu à l'état d'art par 30 gars qui essaye de faire vivre un ballon, dans cette atmosphère électrique. Mais opposer des joueurs intermittents du rugby, a des professionnels préparés comme des mécaniques de précision, est une pièce jetée en l'air : jusqu'ou iront les résistances des chairs et des os. Voir William Whetton, le 3eme ligne centre albigeois, s'arrêtant net devant un joueur de Nafarroa, car voyant qu'il allait le briser : n'est sûrement pas, la meilleure promotion du rugby.
L'intelligence des staffs, des joueurs et des arbitres, à préserver, jusqu'à la trève hivernale d'un malheur dont tout le monde parle, mais dont on tait tous le nom. Jusqu'à quand , un ange veillera sur la fédérale 1 ? Alors oui, sûrement inconsciemment, parfois les arbitres ont peu être fait un brin de social, lors des affrontements trop disproportionnés ! Le match Anglet/Albi en fut, peu être l'absolu, et a fait dire, à chaud, au Président du SC Albi : « Bientôt, on pourra plus regarder quelqu'un dans les yeux sans prendre un carton ». Mais un bon juge, n'est il pas celui qui sait rendre la loi humaine au-delà de ses rigidités. Pour être raccord, avec les attentes élevées envers les grosses écuries « Pro » de fédérale 1, certaines se sont même attachées les services (comme consultant) d'arbitres de PROD2. Russlan Boukerou, seconde ligne au SC Albi peut témoigner du besoin d'accompagnement des favoris : « On ne montre pas les bons ingrédients à l'arbitre ! En plus, on a la réputation d'une équipe qui prend des cartons ! » ! N'es ce pas là, la juste contribution des grosses écuries, pour éviter qu'un week-end de printemps, on porte tous un brassard noir, car simultanément, avec l'amour du public, une âme trop jeune se sera de nouveau envolée ! La question reste posée, mais le temps est compté.... Car le futur de ce noble sport en dépend !
Pour l'ultime épisode : focus sur « les enjeux sportifs » et les « perspectives futures de la fédérale 1 »
ITW Henry Broncan #MagSport RadioAlbiges Octobre 2018
Val 38
C'est pas long du tout
Le Bourbonnais
Écrit comme ça, le titre laisse penser qu'il est suspendu pour avoir craché, alors que c'est pour son geste sur la cheville qu'il l'est.
Au passage la réaction du club est très bonne je trouve.