Le Tournoi des 6 nations 2009 nous a réservé une « finale » pour la dernière journée. Les deux seules équipes qui pouvaient remporter le tournoi se rencontraient à Cardiff ce week-end : Le Pays de Galles et l’Irlande.
Nous avons assisté à une véritable dramaturgie comme on les aime. Du beau jeu de mouvement, du combat, de l’agressivité et un suspense insoutenable. Les Irlandais remportent le grand chelem 61 ans après le dernier, ce match restera sans nul doute gravé dans la mémoire des hommes verts. La première mi-temps voit les joueurs particulièrement tendus par l’enjeu du match avec de nombreux accrochages et un score étriqué de 6-0 en faveur des Diables rouges.
On ne saura jamais ce qu’il s’est passé dans le vestiaire des Irlandais, mais ces derniers sont rentrés tambour battant dans la deuxième mi-temps avec un essai plein de rage de capitaine courage : Brian O’Driscoll, véritable symbole de cette Irlande qui gagne. Quelques minutes plus tard, un coup de pied magique de O’Gara envoie son ailier Tony Bowe en terre promise et le peuple Irlandais sur un nuage. Mais les Gallois ont autant de cœur que d’honneur et Stephen Jones se charge de réduire l’écart puis de prendre l’avantage au score 15 à 14 à quelques minutes de la fin.
La réponse du berger (O’Gara) à la bergère (Stephen Jones) ne se fait pas attendre et les Irlandais repassent devant grâce à un drop plein de sang-froid. A 1 minute de la fin, un Irlandais fait une faute grossière en plein milieu de terrain donnant la possibilité à un des meilleurs buteurs du monde de rentrer la pénalité de la gagne. Mais Stephen Jones manqua de puissance et c’est tout le peuple Irlandais qui exulte sur cette victoire 17 à 15 sur le sol Gallois…
Nous avons assisté à une véritable dramaturgie comme on les aime. Du beau jeu de mouvement, du combat, de l’agressivité et un suspense insoutenable. Les Irlandais remportent le grand chelem 61 ans après le dernier, ce match restera sans nul doute gravé dans la mémoire des hommes verts. La première mi-temps voit les joueurs particulièrement tendus par l’enjeu du match avec de nombreux accrochages et un score étriqué de 6-0 en faveur des Diables rouges.
On ne saura jamais ce qu’il s’est passé dans le vestiaire des Irlandais, mais ces derniers sont rentrés tambour battant dans la deuxième mi-temps avec un essai plein de rage de capitaine courage : Brian O’Driscoll, véritable symbole de cette Irlande qui gagne. Quelques minutes plus tard, un coup de pied magique de O’Gara envoie son ailier Tony Bowe en terre promise et le peuple Irlandais sur un nuage. Mais les Gallois ont autant de cœur que d’honneur et Stephen Jones se charge de réduire l’écart puis de prendre l’avantage au score 15 à 14 à quelques minutes de la fin.
La réponse du berger (O’Gara) à la bergère (Stephen Jones) ne se fait pas attendre et les Irlandais repassent devant grâce à un drop plein de sang-froid. A 1 minute de la fin, un Irlandais fait une faute grossière en plein milieu de terrain donnant la possibilité à un des meilleurs buteurs du monde de rentrer la pénalité de la gagne. Mais Stephen Jones manqua de puissance et c’est tout le peuple Irlandais qui exulte sur cette victoire 17 à 15 sur le sol Gallois…