Il y a presque deux ans jour pour jour, la France se présentait au Stadio Olimpico pour y affronter l'Italie. Comme cette année, cette rencontre avait lieu dans le cadre de la 4e journée du Tournoi des 6 Nations. Et comme cette année, les Bleus avaient auparavant battu les Écossais à Paris avant de perdre en Irlande. À l'époque, les hommes de Philippe Saint-André restaient cependant sur deux revers de rang puisque les Gallois étaient venus s'imposer au Stade de France, 20 à 13.
C'est donc des Tricolores revanchards, et en mode commando, selon l'expression chère aux yeux de PSA, qui avaient débarqué à Rome. Mais comme souvent, ils n'avaient eu la vie facile face aux Transalpins. Aux citrons, la France ne comptait en effet que neuf longueurs d'avance après les pénalités de Lopez (28e, 34e) et Spedding (40e).
C'est finalement dès la reprise, et après une superbe relance de ce dernier, que les Bleus avaient débloqué le compteur par Maestri (45e). Une nouvelle pénalité de Plisson plus tard, ils avaient fait le break (22-0). Mais alors qu'ils auraient pu taper en touche dans les arrêts de jeu, ils avaient joué une pénalité à la main et envoyé Bastareaud derrière la ligne de craie. Et ainsi conservé la leur inviolée.Crédit vidéo : FFR
Seuls 8 des 23 joueurs présents sur la feuille de match ce samedi étaient déjà à Rome ce jour-là. On note également que seulement cinq seront à nouveau titulaire : Guirado, Maestri, Lopez, Fickou et Nakaitaci.
2015 | 2017 | |
15 | Spedding | Dulin |
14 | Nakaitaci | Nakaitaci |
13 | Mermoz | Lamerat |
12 | Fickou | Fickou |
11 | Huget | Vakatawa |
10 | Lopez | Lopez |
9 | Tillous-Borde | Serin |
8 | Goujon | Picamoles |
7 | Le Roux | Gourdon |
6 | Dusautoir | Sanconnie |
5 | Maestri | Maestri |
4 | Flanquart | Le Devedec |
3 | Mas | Slimani |
2 | Guirado | Guirado |
1 | Ben Arous |
Baille
|
16 | Kayser | Tolofua |
17 | Slimani | Atonio |
18 | Debaty | Ben Arous |
19 | Taofifenua | Jedrasiak |
20 | Chouly |
Le Roux
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21 | Kockott | Dupont |
22 | Plisson | Trinh-Duc |
23 | Bastareaud | Huget |
artillon
En attendant, à la mi-temps, cette EDF tourne au ralenti. C'est lent, lent, lent.