D’ordinaire sur le devant de la scène grâce à la performance de ses athlètes, notamment sur les épreuves qui font appel à l’endurance, le Kenya se retrouve aujourd’hui dans la lumière à la faveur de la Coupe du monde de rugby à 7. En effet la sélection nationale de ce pays d’Afrique de l’Est est à l'heure actuelle l’une des plus séduisantes et performantes formations du circuit mondial. Cinquièmes à l’issue de cette saison, les Kényans n’ont rien de faire-valoir. Allez demander aux Néo-Zélandais, battus à domicile en demi-finale de la Cup 14-19. Au final, Kenya 7 a atteint cinq fois le dernier carré des World Series, qui ne comptent que neuf étapes.
Une chose est sûre, ils peuvent battre n’importe quelle équipe. La force de cette équipe, la vitesse. Alors que la plupart de leurs compatriotes semblent taillés pour les courses de fond, eux ont choisi de se tourner vers le sprint. « Plus nous augmentons notre vitesse et plus nous posons des difficultés aux autres équipes » confie Fred Ollows, entraîneur de Kenya 7. Ajoutez à cela une préparation physique poussée et vous obtenez des joueurs taillés pour le 7, discipline où le un contre un est légion et où le plus puissant et le plus rapide tire souvent son épingle du jeu. Des joueurs comme Andrew Amonde, William Ambaka (futur joueur du LOU) ou encore Oscar Ouma ont fait de sérieux dégâts. Et ce n’est pas Julien Candelon qui dira le contraire.
Malgré un top 4 lors des derniers tournois du circuit mondial, le Kenya a quelque peu marqué le coup en fin de saison. Mais la perspective de rentrer dans l’histoire en remportant un premier titre dans cette discipline devrait faire oublier toute la fatigue de ces derniers mois. Ce serait d'ailleurs une rampe de lancement parfaite en vue des Jeux Olympiques de Rio en 2016. En effet le rugby à 7 va faire son entrée dans la grande famille des sports olympiques. Cela signifie plus d’aides pour la discipline en général, et pour le Kenya, une chance supplémentaire de médailles olympiques en dehors de l’athlétisme. « Les JO c’est un peu le Saint Graal, indique Felix Ochieng, entraîneur adjoint. En attendant Rio, le Kenya fera son entrée dans la Coupe du monde ce vendredi face aux Philippines.
Crédit vidéo : AlJazeera
Une chose est sûre, ils peuvent battre n’importe quelle équipe. La force de cette équipe, la vitesse. Alors que la plupart de leurs compatriotes semblent taillés pour les courses de fond, eux ont choisi de se tourner vers le sprint. « Plus nous augmentons notre vitesse et plus nous posons des difficultés aux autres équipes » confie Fred Ollows, entraîneur de Kenya 7. Ajoutez à cela une préparation physique poussée et vous obtenez des joueurs taillés pour le 7, discipline où le un contre un est légion et où le plus puissant et le plus rapide tire souvent son épingle du jeu. Des joueurs comme Andrew Amonde, William Ambaka (futur joueur du LOU) ou encore Oscar Ouma ont fait de sérieux dégâts. Et ce n’est pas Julien Candelon qui dira le contraire.
Malgré un top 4 lors des derniers tournois du circuit mondial, le Kenya a quelque peu marqué le coup en fin de saison. Mais la perspective de rentrer dans l’histoire en remportant un premier titre dans cette discipline devrait faire oublier toute la fatigue de ces derniers mois. Ce serait d'ailleurs une rampe de lancement parfaite en vue des Jeux Olympiques de Rio en 2016. En effet le rugby à 7 va faire son entrée dans la grande famille des sports olympiques. Cela signifie plus d’aides pour la discipline en général, et pour le Kenya, une chance supplémentaire de médailles olympiques en dehors de l’athlétisme. « Les JO c’est un peu le Saint Graal, indique Felix Ochieng, entraîneur adjoint. En attendant Rio, le Kenya fera son entrée dans la Coupe du monde ce vendredi face aux Philippines.
Crédit vidéo : AlJazeera