Dans le rugby moderne, la vidéo est un outil indispensable. On n'imagine plus une rencontre de Top 14 sans que l'arbitre puisse revoir une action d'essai ou un geste au ralenti. Si d'aucuns estiment que son usage gâche parfois une rencontre. Les enjeux sont tellement importants que le TMO est devenu un acteur majeur des rencontres. Grâce à ce reportage de Canal + on en apprend plus sur la façon dont travaille l'arbitre vidéo. Les caméras ont en effet suivi l'un d'eux durant la rencontre de Top 14 entre Bordeaux et le Stade Rochelais. Un match qui a été notamment marqué par une action litigieuse. Grâce au travail des officiels mais aussi de la régie, elle a débouché sur le carton jaune de Skelton. On découvre également que le TMO peut intervenir tout au long du match sans forcément avoir recours aux ralentis du diffuseur. Et ce, grâce à un flux vidéo avec un délai de 7 secondes. Il aide ainsi l'arbitre de champs à prendre des décisions rapides pour ne pas hacher la rencontre. Un reportage très instructif. Sachez que lors de la prochaine Coupe du monde en France, la technologie hawk-eye sera utilisée comme cela avait été le cas lors des deux précédentes éditions du Mondial.World Rugby doit-il changer la règle de l’arbitrage vidéo et se rapprocher du football ?
Les caméras de Canal + nous emmène dans les coulisses de l'arbitrage vidéo lors de la rencontre de Top 14 entre le Stade Rochelais et Bordeaux.
Ecolorado Rafting
Mal
Encore un arbitre vidéo qui a de la peau de saucisson devant les yeux et refuse de voir un en avant rochelais qui les amène à l'essai du bonus
duodumat
"Les caméras de Canal + nous emmène"... (nt). Quel dommage !
Dommage, car cette vidéo est très intéressante et instructive sur deux niveaux :
- le déroulement du TMO, bien que ce soit un peu superficiel, mais bon ...
- le deuxième point est la bouteille de pinard visible sur les premiers plans, et vide ! Cela explique peut-être certaines décisions (ou indécisions) du TMO, parfois ...