Les 9 meilleures vidéos de Cheerleaders

Cheerleaders: elles sont Rugby et charmantes... les femmes idéales ?!
Ok, c'est un peu provoc' comme entrée en matière :-) Emblèmes du show à l’américaine, on les retrouve au début des matchs de NBA, de Football américain ou de baseball. Elles sont jeunes, jolies, et se trémoussent devant des spectateurs emballés. Vous les aurez reconnues, les « cheerleaders », également connues sous le nom de pom-pom girls, envahissent les pelouses. Moins médiatisées chez nous, elles investissent les terrains de rugby, en particulier dans l’Hémisphère Sud. C’est un moyen de faire patienter les spectateurs présents avant les rencontres, ou de les tenir en haleine pendant les mi-temps. Phénomène peu apparent en Europe et dans l’Hexagone, voici un tour du monde avec les meilleures vidéos de cheerleaders du rugby.

Le cheerleading est devenu un sport à part entière. En somme, lorsque vous assistez à un match, vous avez le droit à deux types de performances bien distincts… Sur les pelouses pour « amuser la galerie », et faire monter le taux de testostérone, les filles suivent un entrainement intensif et sont soumises à des pressions presque comparables à celles des joueurs en crampons. Les demoiselles représentent aussi les clubs qu’elles soutiennent, et par conséquent, se doivent de ne commettre aucune faute une fois en scène. En quelque sorte, et pour les plus superstitieux d’entre vous, si les pom-poms assurent, les joueurs en feront de même : l’amour avant la guerre en gros ! Tel un demi de mêlée maître dans l’art du tchic-tchac, elles sont maîtresses dans le maniement du décolleté, et de la cambrure rotative de la croupe pour le plus grand plaisir des spectateurs.

Vu de l’extérieur, le spectacle est grandiose. Les chorégraphies sont ultra-précises, les enchainements (et les formes…) bien huilés, les figures acrobatiques impressionnantes, et les filles aussi jolies que souples et athlétiques. N’ayez pas honte à vous rincer l’œil : dans l’Hémisphère Sud, les clubs se battent également sur ce terrain là. Le but étant de posséder la meilleure troupe de cheerleaders.

On retrouve des clubs principalement issus du Super 14. Pas de chance pour les français ou les anglais, l’Hémisphère Sud a une sacrée longueur d’avance… On notera cependant l’effort d’innovation récent de Max Guazzini, qui avait lancé des pom-pom girls à l’occasion d’un match au Stade de France. L’entreprise n’a pas trouvé de suite chez les autres clubs, mais on doute que les spectateurs aient été gênés ou déçus par l’initiative. Blondes, brunes, ou rousses, le public en redemande !

Vu par les non-initiés, le rugby du sud a peut-être trouvé dans le cheerleading un moyen de remplir les stades, d’ajouter une touche de glamour et de beauté à sa vitrine pour attirer un nouveau public. La question est aussi de savoir si notre rugby a besoin d’un nouveau public… mais c’est un tout autre débat… Le rugby devient en partie, comme ses homologues tels que le basket ou le baseball, des sports où le show et l’événementiel comptent au même titre que ce qui se passe pendant le match. Modernisation ou perte des valeurs de l’ovalie ? Chacun est libre de juger. Mais personne ne pourra contester que les cheerleaders ont des atouts de poids…

Place au spectacle !

Une petite compilation des cheerleaders les plus belles de l’Hémisphère Sud. Il y en a pour tous les goûts… A noter le passage des filles des Natal Sharks, les premières dans la vidéo : le cuir, le regard coquin, les maillots de bain, rien à dire !

Une compilation des meilleures performances, tant sur les plans anatomique qu’artistique, des cheerleaders de la Rugby Ligue. Le XIII parait tout de suite plus attirant du coup… Mention très spéciale à la troupe en rouge et argenté, avec le Fuji film sur leurs belles petites fesses.

Les demoiselles de Wellington se donnent en spectacle lors d’une manche d’un tournoi de rugby à VII. Toutes de rose vêtues, on croirait presque qu’elles ont sorti les pyjamas…

Une ambiance Far West américain pour les pom-poms des Blue Bulls. Après une présentation des filles, quelques brins de chorégraphie. Pas les mieux sur le plan artistique, la troupe a l’air de néanmoins séduire le public.

Notre ami a le job le plus pénible du monde : il suit une troupe de cheerleaders. De quoi justifier la retraite à 30 ans ! Voilà pour vous quelques morceaux choisis de leurs entrainements pour le fameux tournoi de rugby à VII.

Perso j’adore quand elles font la roue en jupe !

Un petit clin d’œil à la France, pays plutôt discret en termes de cheerleaders. Avant un match de gala au Stade de France, c’est comme on vous le disait plus haut Max Guazzini qui prend l’initiative de chauffer à blanc un stade conquis par ces jolies filles toutes de rose vêtues.

Vidéo ultra courte de cheerleaders de la Western Province. Courte, mais aïe aïe aïe !

Et enfin, les Stormers ont de sacrés filles, au moins c’est clair. Sur des musiques à la mode, les cheerleaders se permettent un petit strip-tease carrément sympa ! Leur chorégraphie est au point, on vous laisse admirer le tempo sur le bruit de l’horloge (environ 1 minute)… On regrettera la qualité de cette vidéo (très) amateur, filmée depuis les tribunes...

Ce dossier n'autait pas pu être réalisé sans Thomas Perotto, étudiant en journalisme et rédacteur du blog Rugbystiquement votre, que nous tenons à remercier. Recherche, sourcing et première rédaction : T. Perotto, adaptation : Le Rugbynistère.