6 Nations. Nouveau coup dur pour l'Écosse : une infirmerie pleine à craquer avant le Tournoi
L'Écosse devra compter sur son vivier pour briller lors de ce Six Nations. crédit photo : Scottish Rugby
À huit jours de leur entrée dans la compétition, les Écossais ont appris une nouvelle absence de taille dans leurs rangs : celle de Duhan Van Der Merwe (44 sélections).

Le XV du Chardon entame sa préparation pour le Tournoi des Six Nations avec une infirmerie qui déborde. Gregor Townsend, le sélectionneur écossais, a confirmé ce mercredi plusieurs absences de poids, qui compliquent la tâche d’une équipe déjà en quête de constance.

La dernière tuile en date concerne Duhan Van der Merwe. L’ailier star, avec 30 essais en 44 sélections, souffre de la cheville depuis la victoire d’Édimbourg face à Vannes en Challenge Cup. S’il n’est pas encore officiellement forfait, son état reste sous surveillance. Pour pallier une éventuelle absence, Arron Reed (Sale Sharks) a été appelé en renfort.

Une hécatombe chez les cadres

Van der Merwe rejoint une liste déjà longue de blessés. Le centre et capitaine Sione Tuipulotu (déchirure pectorale), le deuxième-ligne Scott Cummings (avant-bras) et le talonneur Dylan Richardson (épaule) sont officiellement absents.

Ces joueurs, essentiels dans le dispositif de Townsend, laissent des trous béants dans le XV de départ et le sélectionneur risque d’avoir bien du mal à les combler.

Un premier match sous pression

Face à l’Italie, le 1ᵉʳ février à Murrayfield, l’Écosse devra prouver qu’elle peut rebondir malgré ces coups durs. Les Italiens, galvanisés par des performances encourageantes en 2024, ne seront pas une proie facile. Townsend devra vite trouver des solutions pour éviter un début de Tournoi sous pression.

Un appel à la résilience

Avec ces absences, l’Écosse est contrainte de revoir sa stratégie. Loin d’être favoris dans ce Tournoi, les coéquipiers de Finn Russell devront puiser dans leurs ressources pour rester compétitifs. Le défi est immense, mais le XV du Chardon n’a jamais manqué de caractère (surtout face à l’Angleterre !).

La performance contre l’Italie sera scrutée à la loupe, comme premier test et révélateur de l’état de cette équipe amoindrie. D’ici là, on espère que les Écossais n’auront pas d’autres blessés à déplorer.

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