Sportivement, tout va bien pour Agen. En dépit de son revers contre Castres à la maison samedi, les Agenais sont officiellement maintenus en Top 14. En coulisses, la formation lot-et-garonnaise a été épinglée par le conseil des prud’hommes comme le rapporte Sud Ouest. Opposé à son ancien joueur, l'Argentin Ignacio Mieres, Agen va devoir lui verser 117 000 euros. Cela correspondant aux mois restant dans son contrat. L'ouvreur, qui a porté les couleurs du club lors de dix matchs de Top 14 en 2017/2018 avait été licencié pour faute grave en avril 2018. Blessé au genou, on lui avait notamment reproché de l'avoir annoncé sur les réseaux sociaux "et de ne pas avoir transmis, à temps, son titre de séjour". Comment le SU Agenais va-t-il combler le manque à réaliser de 780 000€ du club ?Le SUA peut faire appel de la décision. Sud Ouest précise que la formation lot-et-garonnaise a déjà été contrainte de sortir près de 500 000 euros de ses caisses pour régler différents litiges. Heureusement, elle pourra compter sur les indemnités de départ versées par plusieurs clubs pour renflouer son manque à gagner.
Agen va devoir une nouvelle fois payer pour régler un litige avec un ancien joueur, l'Argentin Ignacio Mieres.
batelier
Un quart de siècle après l'avènement du professionnalisme ( des joueurs) ,on est toujours surpris du dilettantisme de certains "dirigeants".... Je dis dilettantisme , et non amateurisme ,ce serait insultant pour le" monde amateur".
cahues
Thomas Charabas, l'arbitre victime dernièrement d'un jet d'une pièce de monnaie lors de la rencontre entre le SUA et l'ASM va restituer le projectile au club Agenais pour alléger la note.
math1907
Ça fait tout de même un salaire de 11700€ / match!
Ça commence à faire.
breiz93
Licencier un salarié malade ou blessé et prendre un prétexte fallacieux pour le justifier, c'est plus valeurs MEDEF que rugby !
spir
Le MERDEF et la FAF-R ?