À Mendoza, l'affaire "Jegou-Auradou" continue. En effet, la plaignante de 39 ans devait passer des tests psychologiques et psychiatriques, ce vendredi 23 août. Cependant, elle ne s'est pas présentée à l'examen, ont confirmé les avocats d'Oscar Jegou et d'Hugo Auradou, au Parisien.
L'avocate de la plaignante, Me Natacha Romano, a justifié l'absence de sa cliente en expliquant qu'elle n'était pas en état de se soumettre aux tests à ce jour. En réaction, les avocats de Jegou et d'Auradou ont exprimé leur mécontentement, qualifiant cette situation de "provocation" visant à retarder la libération de leurs clients. Aucune nouvelle date n'a encore été fixée pour que les tests psychologiques et psychiatriques de la plaignante soient réalisés.
Selon les représentants des deux internationaux français, ces examens étaient une étape cruciale avant que la défense ne puisse, dès la semaine prochaine, demander l'abandon des charges pesant sur leurs clients. Si cette demande était acceptée, cela permettrait aux deux joueurs de rentrer en France. "Ce sera finalement pour mardi", a déclaré Me Rafael Cuneo Libarona, avocat des deux accusés, toujours auprès du Parisien.
Affaire Jegou - Auradou : une demande de non-lieu imminente et de nouveaux éléments dévoilés
Mendoza, une affaire qui met à mal le rugby français
Pour rappel, Hugo Auradou et Oscar Jegou, tous deux âgés de 21 ans, font face à des accusations de viol aggravé en réunion. Un crime qui aurait été commis dans la nuit du 6 au 7 juillet, dans une chambre d'hôtel à Mendoza, après un match du XV de France contre l'Argentine.
Les deux joueurs ont été arrêtés le 8 juillet à Buenos Aires, où l'équipe française était revenue après le match. Après avoir passé un temps en détention, ils ont été placés en résidence surveillée, puis libérée sous conditions le 12 août. Néanmoins, Jegou et Auradou doivent toujours rester en Argentine, leurs passeports ayant été confisqués par les autorités. Ils restent donc sous surveillance, dans l'attente des développements judiciaires.
En réponse à cette affaire, mais aussi aux déclarations racistes de Melvyn Jaminet publiées sur ses réseaux sociaux, la Fédération Française a annoncé vouloir imposer plus de rigueur autour de l'encadrement des joueurs. "Pour la suite, ce sera tolérance zéro, sanction financière, exclusion définitive de l'équipe de France. On adaptera la sanction en fonction des faits", confiait Florian Grill en conférence de presse.
NeST
Contrairement à ce qui est dit dans l'article, ils sont libres mais ont interdiction de quitter le pays.
La nuance peut paraître subtile, mais du point de vue juridique, c'est bien différent, la justice argentine n'aurait pas laissé en liberté des potentiels violeurs avec actes de barbarie, selon l'accusation, en liberté.
Cela signifie qu'il n'y a rien pour étayer la thèse du viol, hormis des marques physiques qui ont pu être faites a posteriori ou relatives à une maladie (apparemment).
Cela laisse présumer qu'à moins d'un élément à charge de l'accusation, cette affaire va se conclure par un non-lieu, n'en déplaise aux féministes/complotistes/et autres prompts à les clouer au pilori.
Ronnie64
Du réchauffé tout ça, rien de neuf sous le soleil Argentin.
mic4619
Ben si !!
Cette affaire traîné encore....
Et pourri le déroulé normal de l'affaire par la justice argentine.
mic4619
Lire traine