Quatorze matchs, rien que ça ! Les hommes du nouveau sélectionneur Scott Robertson vont avoir du pain sur la planche en 2024. Avant d'affronter le XV de France en novembre, les All Blacks vont se frotter aux meilleures nations du monde dès le mois de juillet.
Un programme intense qui débutera par deux chocs face à l'Angleterre sur le sol néo-zélandais du côté de Dunedin puis à Auckland. De quoi se mettre en jambe avant le Rugby Championshio qui démarrera début août.
Entre-temps, les Néo-Zélandais auront fait le voyage jusqu'aux USA non pas pour y affronter l'Irlande comme en 2016 à Chicago mais les Fidji. Ils retrouveront les Fidji pour un premier match à San Diego. Il n'y avait pas joué depuis 1980 et une rencontre face aux USA.
La compétition historique de l'hémisphère sud verra les All Blacks affronter chaque adversaire en match aller-retour d'une semaine à l'autre. Les Pumas se présenteront en premier à Wellington avant une revanche à l'Eden Park.
Fin août début septembre, les protégés de Robertson s'envoleront pour Johannesbourg afin de défier les Springboks dans un remake de la dernière finale de la Coupe du monde. Un double affrontement (match retour au Cap) qui promet de faire des étincelles.
A ce moment-là, les Kiwis ne seront pas au bout de leurs peines puisqu'ils passeront par Sydney le 21 septembre puis Wellington le 28 pour défier les rivaux australiens dans le cadre du Rugby Championship et de la Bledisloe Cup.
Leur périple autour du monde va ainsi se poursuivre pendant trois mois jusqu'à la fin du mois de novembre et un match contre l'Italie. Avant de rejoindre l'Europe, ils feront un détour par Yokohama pour une rencontre programmée face au Japon.
Puis ils auront droit à un très gros morceau en novembre avec un enchaînement de rencontres dignes des phases finales de la Coupe du monde : l'Angleterre le 2 novembre à Londres, puis l'Irlande le 9 et enfin la France le 16. Si avec tout ça, ils n'arrivent pas éreintés au Stade de France.
p.coutin
La Fédé des All Blacks à besoin d'argent, les All Blacks jouent trop, voyagent trop... Du coup leur niveau baisse... Et c'est bien triste...
Mathieu09
Moi qui venait d'écrire que l'année post coupe du monde était la moins "chaude" !
Dur dur pour les joueurs loin de leur familles pendant tant de temps si certains font toute la tournée!