Enfin une bonne nouvelle pour Bourgoin-Jallieu : Le tribunal de commerce de Vienne n’a pas déclaré le CSBJ en cessation de paiement, ce qui signifie que la situation comptable du club était équilibrée ou excédentaire au 30 Juin 2012. Le dépôt de bilan est donc aujourd’hui écarté. Mais pas question pour le club isérois de se reposer sur cette décision qui découle également du manque d’éléments dont a disposé le tribunal pour juger le cas Bourgoin. « Pour l’instant, il n’y a pas d’inquiétude. Le club peut continuer à vivre. Mais on se donne un peu de temps pour voir », précise le Tribunal de commerce auprès du Dauphiné Libéré.
Le tribunal espère d’ailleurs obtenir un complément d’informations et a ainsi nommé un juge, Jacques Altschul, Président de la chambre des procédures collectives, pour déterminer la situation financière exacte du club. Il remettra un rapport au tribunal de commerce aux alentours du mois de novembre.
Malgré tout, le soulagement était de mise du côté des joueurs et des dirigeants berjalliens. Dans un communiqué, le club isérois a estimé que le tribunal avait reconnu qu’il était « dans une situation financière saine » et considère avoir « désormais le champ libre pour engager toutes les voies de recours à l’encontre de l’instance fédérale ». Le CSBJ utilisera donc dans les prochains jours son dernier joker pour rester en Pro D2 : La saisine du tribunal administratif.
Camille Levast, représentant de joueurs en colère, était lui aussi présent au tribunal de commerce de Vienne. Et même si « les débats ont été chauds », le joueur a exprimé sa satisfaction dans les colonnes du Dauphiné Libéré : « Enfin on ne reçoit pas un coup de bâton sur la tête. Le message du tribunal, c’est : « Vous existez toujours ». Maintenant, il faut faire les choses sérieusement pour se relancer. Tout le monde doit en prendre conscience. Il faut se mobiliser pour faire un budget 2012-2013 et un projet de Pro D2 ».
Mais l’aventure berjallienne laisse certains encore sceptiques. C’est le cas de l’ancien président Pierre Martinet, à la tête du club entre 2006 et 2009, qui a d’ores et déjà prévenu sur RMC qu’avec son entreprise, il n’aurait « pas le temps de (s’)occuper d’un club » ajoutant qu’il comprenait « la colère des joueurs qui ne savent pas si demain ils auront du boulot ».
Le feuilleton Bourgoin continue donc...
Le tribunal espère d’ailleurs obtenir un complément d’informations et a ainsi nommé un juge, Jacques Altschul, Président de la chambre des procédures collectives, pour déterminer la situation financière exacte du club. Il remettra un rapport au tribunal de commerce aux alentours du mois de novembre.
Malgré tout, le soulagement était de mise du côté des joueurs et des dirigeants berjalliens. Dans un communiqué, le club isérois a estimé que le tribunal avait reconnu qu’il était « dans une situation financière saine » et considère avoir « désormais le champ libre pour engager toutes les voies de recours à l’encontre de l’instance fédérale ». Le CSBJ utilisera donc dans les prochains jours son dernier joker pour rester en Pro D2 : La saisine du tribunal administratif.
Camille Levast, représentant de joueurs en colère, était lui aussi présent au tribunal de commerce de Vienne. Et même si « les débats ont été chauds », le joueur a exprimé sa satisfaction dans les colonnes du Dauphiné Libéré : « Enfin on ne reçoit pas un coup de bâton sur la tête. Le message du tribunal, c’est : « Vous existez toujours ». Maintenant, il faut faire les choses sérieusement pour se relancer. Tout le monde doit en prendre conscience. Il faut se mobiliser pour faire un budget 2012-2013 et un projet de Pro D2 ».
Mais l’aventure berjallienne laisse certains encore sceptiques. C’est le cas de l’ancien président Pierre Martinet, à la tête du club entre 2006 et 2009, qui a d’ores et déjà prévenu sur RMC qu’avec son entreprise, il n’aurait « pas le temps de (s’)occuper d’un club » ajoutant qu’il comprenait « la colère des joueurs qui ne savent pas si demain ils auront du boulot ».
Le feuilleton Bourgoin continue donc...