Le Paris Sevens c'est ce week-end ! Coup d'envoi à 11h samedi matin et fin dimanche après-midi au stade Jean-Bouin. La fête s'annonce belle une nouvelle fois, d'autant que cette dernière étape du circuit mondial récompensera le vainqueur de la saison 2018-2019. Deux équipes sont encore en lice : les Fidji et les États-Unis. Des formations aux effectifs cinq étoiles, même si les Néo-Zélandais ou encore les Australiens possèdent aussi leur lot de stars. On vous propose ainsi de découvrir 7 pépites du circuit mondial qui seront présentes dans la capitale ce week-end.
Jerry Tuwaï (Fidji)
Le métronome de l'équipe fidjienne. Jerry Tuwaï, c'est 259 matchs avec sa sélection nationale depuis ses débuts en 2014. Aujourd'hui encore, le demi de mêlée des Flying Fijians se montre toujours décisif pour son équipe lors de ses interventions. Ses appuis sont à surveiller comme le lait sur le feu pour ses adversaires. Il sera une nouvelle fois l'homme clé des Fidjiens ce week-end à Paris, eux qui chercheront à glaner un quatrième titre mondial sur le circuit, le premier depuis 2016.
Crédit vidéo : World Rugby.
Alasio Naduva (Fidji)
Il fait partie de ses joueurs qui représentent l'avenir du rugby à 7. Arrivé la saison dernière, Alasio Naduva a déjà fait de la planète sevens son terrain de jeu. Ce joueur extrêmement rapide est le meilleur marqueur fidjien cette saison (33 essais) et a notamment inscrit un doublé en finale face à l'Australie à Londres la semaine dernière. Il est également le joueur qui a participé au plus de rencontres côté fidjien cette saison (52 matchs). C'est dire l'importance qu'il a aujourd'hui au sein de ce groupe, et nul doute que l'entraîneur Gareth Baber souhaitera le conserver aussi longtemps que possible, avant que celui-ci ne se laisse tenter par une aventure à XV comme un grand nombre de ses confrères avant lui.
Crédit vidéo : World Rugby.
Perry Baker (USA)
De la NFL à la précarité jusqu'à la consécration avec les Eagles, découvrez l'histoire de Perry Baker [VIDÉO]Il a été élu meilleur joueur du monde en 2017 et 2018. Chaque ballon qu'il touche se transforme en or. Ancien footballeur américain professionnel, Perry Baker s'est mis au rugby dans ses heures perdues jusqu'à taper dans l'œil des recruteurs américains. Depuis, il éblouit chaque année la planète sevens de son talent et est le facteur X de cette sélection américaine. Absent pendant quatre mois en raison d'une fracture de la mâchoire subie face aux Tonga à Hamilton, il a vécu un retour plutôt timoré à Londres. Mais à Paris, les Américains combattants pour le titre, il risque d'être au rendez-vous.
Crédit vidéo : World Rugby.
Carlin Isles (USA)
FLASHBACK – Paris Sevens 2018 : Carlin Isles déclenche les réacteurs et mystifie la défense néo-zélandaise ! [VIDÉO]Avant l'arrivée de Perry Baker, tout le monde n'avait d'yeux que pour lui. Carlin Isles reste le premier bolide américain à avoir fait des ravages sur le circuit mondial. Mais depuis 2014 et l'intégration de son coéquipier dans la sélection, il vit désormais quelque peu dans l'ombre de celui-ci. Tellement qu'il a été replacé sur le banc par Mike Friday, l'actuel entraîneur de cette équipe. Néanmoins, Isles a su profiter comme il le fallait de l'absence de Perry Baker cette saison. Ayant récupéré sa place de titulaire pendant cinq tournois, le sprinteur américain a en effet inscrit une farandole d'essais, tellement qu'il est redevenu le meilleur marqueur du circuit (47 réalisations cette saison). Et son compteur risque de s'agrandir encore ce week-end... Même s'il sera une nouvelle reconduit sur la touche en la présence de Baker.
Crédit vidéo : World Rugby.
Maurice Longbottom (Australie)
Vous le reconnaîtrez facilement, il est le plus petit de son équipe. Le lutin aborigène Maurice Longbottom a gagné progressivement sa place au sein de la sélection australienne depuis sa première apparition sur le circuit chez lui, au tournoi de Sydney en 2018. Il a notamment pris plus de responsabilités depuis la retraite sportive de James Stannard, le légendaire capitaine de l'Australie. Cette saison, il est tout simplement le meilleur marqueur d'essais des Aussies avec 32 essais en 36 matchs !
Crédit vidéo : World Rugby.
Joe Ravouvou (Nouvelle-Zélande)
Il a créé la sensation en 2017 sur le circuit lors de sa première apparition à Hong Kong. Joe Ravouvou, un Fidjien d'origine, recruté par les Néo-Zélandais. 1m90 pour 105 kg et surtout une pointe de vitesse impressionnante ! Doté en plus d'une grande habileté technique, Ravouvou possède toute la palette d'un joueur de rugby moderne. 13eme homme à Londres, il fait cette fois-ci bien partie de l'effectif pour Paris. Un facteur X dont les Néo-Zélandais ne se priveront pas.
Crédit vidéo : World Rugby.
Werner Kok (Afrique du Sud)
Lui non plus n'est pas difficile à reconnaître sur un terrain. Par son apparence physique, des cheveux longs blonds et bouclés, mais surtout par son activité. Un véritable chien fou à 3 poumons. Évoluant depuis 2013 avec les Blitzboks, Werner Kok est aujourd'hui un cadre de la sélection, lui qui a notamment été élu meilleur joueur du monde en 2015. Un élément irréprochable dans le jeu et sûrement l'un des joueurs les plus réguliers de la saison sur le circuit. L'année dernière, il avait été une nouvelle fois phénoménal au Paris Sevens et avait grandement contribué au succès des siens dans la capitale française.
Crédit vidéo : World Rugby.
lelinzhou
- Ben dis donc Marcel, n'en a aucun Français capable de mettre le feu à la pelouse qu'ils disent.
- C'est passe qu'on est moins couillons, nous, mon Raymond, on met le feu que chez les autres. Tè Jacquot, mets y nous deux perroquets pour changer !