Beaucoup, à commencer par le sélectionneur lui-même, regrettait un certain manque de leadership au sein du XV de France. Si devant le quota de joueurs expérimentés semble atteint, l’affaire est tout autre du 9 au 15. Derrière, seuls Frédéric Michalak (30 ans, 60 sélections) et Florian Fritz (29 ans, 27 sélections) font figurent d’anciens mais aucun de ces deux hommes n’a vraiment pesé sur les deux précédents matchs des Bleus. L’arrivée d’un ancien, un vrai, avec toute sa connaissance du haut niveau et des grands rendez-vous se fait sérieusement désirer pour épauler le talentueux Fofana, sans doute un peu frustré, et diriger le très énergique Bastareaud.
« Mon objectif est d’amener de l’enthousiasme et mon expérience à l’équipe » a confié Vincent Clerc à Planetrugby. S’il ne se sent pas l’âme d’un leader et qu’il préfère laisser ce rôle à d’autres, il n’hésitera pas à prodiguer des conseils s’il estime que c’est nécessaire. Fort de ses 64 sélections, l’ailier du Stade Toulousain n’a qu’une envie, battre les Anglais : « C’est une équipe contre laquelle j’ai rarement gagné. Aujourd’hui, j’ai faim de victoire. » Le souvenir de l’élimination en demi-finale de la Coupe du monde 2007 ne l’a d’ailleurs jamais vraiment quitté. Selon lui, pour les battre, il faut faire preuve de patience. « C’est d’autant plus vrai lorsqu’ils sont dans les 22 adverses » précise le trentenaire.
Voir les siens perdre en Italie puis à domicile face aux Gallois, n’a pas été une partie de plaisir. « J’ai été triste mais surtout frustré. » Blessé à la cuisse au moment de l’annonce des 23 joueurs retenus par Philippe Saint-André pour le premier match du Tournoi, Vincent Clerc a rongé son frein. « C’est difficile de vivre ça de l’extérieur, de ne pas en être acteur et de se sentir impuissant. On voit comme l'équilibre et la confiance sont fragiles. » A quelques jours d’un Crunch, peut-être plus attendu que les années précédentes, l’Echirollois n’a qu’une certitude : « Si nous voulons avoir une chance de gagner, il faudra concrétiser chaque occasion de marquer. »
« Mon objectif est d’amener de l’enthousiasme et mon expérience à l’équipe » a confié Vincent Clerc à Planetrugby. S’il ne se sent pas l’âme d’un leader et qu’il préfère laisser ce rôle à d’autres, il n’hésitera pas à prodiguer des conseils s’il estime que c’est nécessaire. Fort de ses 64 sélections, l’ailier du Stade Toulousain n’a qu’une envie, battre les Anglais : « C’est une équipe contre laquelle j’ai rarement gagné. Aujourd’hui, j’ai faim de victoire. » Le souvenir de l’élimination en demi-finale de la Coupe du monde 2007 ne l’a d’ailleurs jamais vraiment quitté. Selon lui, pour les battre, il faut faire preuve de patience. « C’est d’autant plus vrai lorsqu’ils sont dans les 22 adverses » précise le trentenaire.
Voir les siens perdre en Italie puis à domicile face aux Gallois, n’a pas été une partie de plaisir. « J’ai été triste mais surtout frustré. » Blessé à la cuisse au moment de l’annonce des 23 joueurs retenus par Philippe Saint-André pour le premier match du Tournoi, Vincent Clerc a rongé son frein. « C’est difficile de vivre ça de l’extérieur, de ne pas en être acteur et de se sentir impuissant. On voit comme l'équilibre et la confiance sont fragiles. » A quelques jours d’un Crunch, peut-être plus attendu que les années précédentes, l’Echirollois n’a qu’une certitude : « Si nous voulons avoir une chance de gagner, il faudra concrétiser chaque occasion de marquer. »