Les coéquipiers de Jonathan Sexton n'auront donc pas réussi à franchir cette étape des quarts de finale face à la Nouvelle-Zélande.
Un des faits marquants de ce match aura été les longues phases de possession du XV du Trèfle face à une défense néo-zélandaise implacable.
Spectaculaire... Un test incroyable, fascinant, qui a incarné tout ce que nous attendons du rugby : de beaux essais, des plaquages appuyés et une défense incroyable. (Bobby Skinstad, ancien troisième ligne sud-africain et champion du monde 2007)
Les hommes d'Andy Farrell ont réalisé 37 phases de possession dans cette rencontre. Un record dans une Coupe du monde. "On a dû faire 276 plaquages, dont 100 dans les dernières minutes et notamment sur ces 37 phases de jeu. Notre maximum jusqu’ici, c’était 137 contre l’Italie", explique Scott McLeod, entraîneur de la défense des All Blacks.
Le précédent record était détenu par l'équipe du Pays de Galles de 2011.
Après la défaite lors de la série à domicile l’an dernier, qui nous a fait vraiment mal, on a dû reconsidérer sérieusement certains fondamentaux de notre défense, qui tiennent en partie au fait que dans le Super Rugby, on a tendance à défendre l’homme.
Sam Warburton et ses joueurs avaient enchaîné 32 phases face à l'Australie.
Derrière, on retrouve des équipes qui ont impressionné en Coupe du Monde, mais qui ont toutes eu ce record en perdant leur match.
L’an dernier, cela n’avait pas été le cas. Ils nous ont donné une leçon donc on avait à cœur de remédier à ces problèmes et cela passait en grande partie par la défense. C’est ce qu’on a appliqué sur le terrain.
C'est donc le cas des All Blacks en 2011 face à la France (28 phases), des Anglais lors de la finale de 2019 face aux Springboks (28 phases) et de ces mêmes Gallois face aux Bleus en 2011 (27 phases).
Jeu de main
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18519 pointsDans un bar animé de Paris, rue Princesse, un gars nommé Johnathan s'installe au comptoir et entame une conversation avec une fille du nom d'Elis-abeth. Leurs échanges se révèlent bien plus captivants que les bavardages ordinaires dans ce genre d'endroit. Pendant des heures, ils partagent des histoires, échangent des rires et des sourires, créant une atmosphère de complicité qui semble les envelopper.
Leurs conversations s'étendent sur une multitude de sujets, de l'histoire personnelle aux rêves et aspirations, en passant par des anecdotes amusantes. Ils découvrent rapidement des intérêts communs, ce qui renforce leur connexion. Le temps passe presque imperceptiblement, et chaque minute passée ensemble semble renforcer leur lien.
Johnathan et Elis-abeth se sentent transportés dans un monde à part, où seules leurs voix et leurs rires comptent. Au fil de la nuit, ils partagent leurs pensées les plus profondes et leurs espoirs pour l'avenir. Le bar bruyant qui les entoure semble s'estomper tandis qu'ils sont plongés dans cette conversation captivante.
Vers 4 heures du matin, un homme nommé Aaron entre dans le bar. Sa présence exsude un charisme incontestable, et en l'espace de quelques minutes, il attire l'attention d'Elis-abeth. Elle se sent soudainement attirée par lui, et leur connexion instantanée ne laisse pas de place au doute. Ils décident de quitter le bar ensemble, laissant Johnathan derrière eux.
Ce moment laissa Johnathan avec un sentiment aigre-doux bien qu'il ne s'en souviendra surement plus au son réveil.
Dans cette nuit de folie, Johnathan n'aura même pas réalisé que la possession cela ne sert a rien !
L'avenir nous dira si Elis-abeth va se marier avec Aaron TO BE CONTINUED
Gio-nemanquaitpas-d'Aplon
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13561 pointsTrès possible !!
Mais beware a Albertus Stéphanus Smith!!
Vilain comme un pou mais redoutable sorcier depuis son rite de passe obtenu haut la main chez les sorciers aborigènes,
Lui ayant au passage attribué le nom ancetral de "Kwagga" (purée le rugbynistere!! On l'attend toujours notre article!! Quelle est l'histoire de ce diable depuis la fin de sa carrière à 7? D'où vient son incroyable force pour un si petit gabarit ? Pourquoi Kwagga?!?!!)
Elis-abeth succombera t'elle a son pouvoir sauvage et magnétique ?
A l'opposé de tout ce qu'elle a connu dans le luxe feutré des palais de Wensminster, Suchex, et dans son domaine familial de La Malebaise?
J'en ai bien peur..
Jeu de main
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18519 pointsIl semble que l'histoire prenne effectivement un tournant inattendu avec Albertus Stéphanus Smith, alias "Kwagga," qui se tient dehors, juste devant la porte du bar. L'homme, ayant un physique d'ancien boxeur, plaît bien à Elis-abeth. Elle est déjà sortie plusieurs fois avec ce type d'homme, car il faut savoir qu'Elis-abeth divorce régulièrement tous les 4 ans. Elis-abeth est maintenant confrontée à un choix difficile entre Aaron et Kwagga. L'avenir semble incertain, et seul le temps nous dira quel chemin elle empruntera. La suite de cette histoire promet d'être pleine de rebondissements.
Chandelle 72
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28846 pointsC'est sans doute que le jeu de possession augmente, le nombres de placages augmente, les records sont battus.
Mais qu' en fin de match, la défense tient bon et a le dernier mot.
A confirmer dans les prochains matches
pascalbulroland
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79869 pointsC'est un record qui à la fin n'amène rien...donc inutile
Flanquart St Lazare
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42433 pointsPas tout à fait d'accord.
ça prouve que ce type d'attaque trouve ses limites (c'est le moins qu'on puisse dire) avec une bonne défense
Et donc, ça incite à varier les modes d'attaque... tant mieux pour le jeu !
pascalbulroland
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79869 pointsOnt-ils varié leurs attaques...non, donc c'était des attaques prévisibles plus "facile" à défendre et elles peuvent durer deux heures, ça ne changera rien
Je confirme que ce record ne rime à rien vu qu'il amène à la fin une possession stérile
Flanquart St Lazare
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42433 pointsEn fait on dit la même chose mais différemment.
Comme les Gallois contre nous en demi-finale en 2011, les Irlandais ont envoyé encore et encore les mêmes passes, le même type d'attaque.... aucune imagination, ça aurait pu durer 15 temps de jeu en plus, ça n'aurait rien changé.
Un peu comme une mouche sur une vitre.
Donc ce type de statistiques montre une chose : varier le jeu est un impératif alors que s'obstiner à faire la même chose ne sert à rien.