Coupe du monde - Pourquoi le facteur de la douleur est déterminant pour être champion ?
En 2007, les All Blacks avaient été éliminés par la France en quart. On connaît la suite.
Depuis 1999, toutes les nations ayant soulevé le trophée de champion du monde, or Nouvelle-Zélande en 2015, ont connu une élimination douloureuse par le passé.

La recette gagnante pour la Coupe du monde existe ! Qui la possède en 2019 ?La recette gagnante pour la Coupe du monde existe ! Qui la possède en 2019 ?La Nouvelle-Zélande, l'Irlande, le Pays de Galles et l'Angleterre font partie des favoris pour le titre de champion du monde 2019. Et pour cause, ces nations ont, selon des chiffres bien précis, constitué l'équipe idéale pour soulever le trophée Webb Ellis. Cependant, il est un facteur qui pourrait donner un avantage considérable aux Anglais, celui de la douleur. Rappelez-vous, en 2015, lors de sa Coupe du monde, le XV de la Rose n'était pas parvenu à se qualifier pour les quarts de finale. Un moment particulier douloureux pour les sujets de Sa Majesté qui pourrait leur donner le supplément d'âme nécessaire pour dominer la concurrence.Du côté de Spark Sport, on s'est aperçu que chacun des champions du monde depuis 1999, or Nouvelle-Zélande en 2015, avait été éliminé en quart de finale lors de l'édition précédente.  

  • En 1995, l'Australie avait sortie par l'Angleterre 25 à 22 à ce stade la compétition. Quatre ans plus tard, les Wallabies dominaient la France en finale, 35 à 12.
  • En 1999, l'Angleterre, victorieuse de l'Australie grâce à Wilkinson (20 à 17), avait été éliminée par les Boks (44 à 21).
  • Scénario identique pour l'Afrique du Sud en 2003. Battus par les All Blacks 29 à 9, les Sud-Africains étaient revenus plus fort pour s'imposer en France aux dépens des Anglais (15 à 6).
  • Cette année-là, la Nouvelle-Zélande a connu l'un de ses plus cuisants revers en Coupe du monde : une défaite 20 à 18 face aux Bleus en quart de finale. Depuis, les All Blacks ont remporté deux titres en 2011 puis en 2015.

Après une telle désillusion, les joueurs sont habités par un sentiment de revanche. Le groupe a évolué mais personne n'a oublié. Ce revers sert de leçon. Les joueurs ont appris de leurs erreurs et reviennent plus fort. Cette règle va-t-elle s'appliquer au XV de France, humilié il y a quatre ans par les Néo-Zélandais sur le score sans appel de 62 à 13 ? On aimerait le croire mais il se pourrait bien que les Bleus connaissent la même situation que les Anglais en 2015. Pour mieux rebondir en 2023 en France ? C'est tout ce qu'on souhaite aux Tricolores.

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Mais c'est quoi cette interprétation pourrave ?

Sérieusement c'est surtout parce qu'ils ont remis les choses à plat et qu'ils ont su prendre le problème à bras le corps. C'est leurs décisions de se remttre en cause et de changer véritablement les choses qui leur a permis ce renouveau.

Alors oui perdre fait grandir un joueur mais c'est surtout la continuité et le vécu du groupe structuré par un plan qui permet d'être favori, tout le contraire de l'Edf depuis 12 ans.

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