Les deux jeunes joueurs atteints d’un cancer dans le Sarladais continuent d’émouvoir la région et le monde du rugby en général. Toujours dans le quotidien Sud-ouest, le député socialiste de la Dordogne Germinal Peiro s’est exprimé, visiblement affecté par cette affaire hors du commun : « Si c’est un médecin qui a fait le lien entre ces deux cas et deux autres qui avaient abouti il y a quelques années à un décès, ça me parait excessivement sérieux ».
Les premières constations des enquêteurs laissent entendre que l’origine de la maladie des deux joueurs serait la consommation d’une créatine fortement dosée, fabriquée à l’étranger et interdite en France (d’autres types de créatine sont cependant autorisés dans l’hexagone). Interrogé, le médecin du sport Jean-Pierre de Mondenard explique à propos de la créatine que « certains fabricants peuvent modifier sa formule de manière à ce qu’elle soit plus efficace en matière de croissance musculaire […] et ajoutent des anabolisants ».
Une déclaration confirmée par une étude américaine menée il y a une dizaine d’années qui avait permis de mettre en évidence la présence de stéroïdes anabolisants dans 70% des préparations de créatine. Le principe de précaution avait poussé en 2000 à interdire l’usage de la créatine dans les clubs de rugby. Une interdiction pas toujours suivie d’effet.
Une affaire dramatique qui pourrait engendrer un débat sur la formation musculaire des jeunes athlètes, et notamment des rugbymen.
Les premières constations des enquêteurs laissent entendre que l’origine de la maladie des deux joueurs serait la consommation d’une créatine fortement dosée, fabriquée à l’étranger et interdite en France (d’autres types de créatine sont cependant autorisés dans l’hexagone). Interrogé, le médecin du sport Jean-Pierre de Mondenard explique à propos de la créatine que « certains fabricants peuvent modifier sa formule de manière à ce qu’elle soit plus efficace en matière de croissance musculaire […] et ajoutent des anabolisants ».
Une déclaration confirmée par une étude américaine menée il y a une dizaine d’années qui avait permis de mettre en évidence la présence de stéroïdes anabolisants dans 70% des préparations de créatine. Le principe de précaution avait poussé en 2000 à interdire l’usage de la créatine dans les clubs de rugby. Une interdiction pas toujours suivie d’effet.
Une affaire dramatique qui pourrait engendrer un débat sur la formation musculaire des jeunes athlètes, et notamment des rugbymen.
matabiau
La créatine est en vente libre en France, en tout cas sous une certaine forme. Quand on va chercher de la créatine à l'étranger c'est qu'on a une idée derrière la tête et qu'on sait que ce qu'on achète n'est pas que de la créatine.
papa75
ce que je dis là n'est pas un raccourci.
Je dis simplement que dans le cas d'un dopage avéré et cela quelque soit le produit dopant, le 1° fautif est le joueur (et pas à l'insu de son plein gré comme dirait un certain coureur cycliste). Par rapport à ses jeunes, je ne tirerai pas de conclusion, leur situation reste dramatique et il est nécessaire de protéger les jeunes joueurs (et cela quelque que soit le niveau/sarlat est en federale3)
pierrot24200
c'est facile de tirer des conclusions rapidement surtout quand l'enquête n'est pas terminée et que le journal Sud Ouest déforme la vérité via son journaliste DUMAS...
papa75
le 1° fautif est le joueur !!