Carla : la star de l’équipe
Tout ce qu’elle touche vaut de l’or, et tout le monde la veut dans son équipe. La numéro 10 qui brille sur le terrain, notamment dans le jeu en triangle avec un soutien intérieur et extérieur... Son ego, un problème ? Comme Wilkinson avec les Français, elle réussit une énorme prouesse de mettre tout le monde d’accord : là numéro 1, c’est elle !
Valerio : la 3e mi-temps
Si on oublie qu’il couche avec sa sœur et qu’il a à peu près testé toutes les drogues, Valerio est plutôt un chic type. Comme ce gars un peu nul sur le terrain, qui te dit fièrement que lui, il « attend la 3e mi-temps, sa préférée. » Un peu beauf, mais lui te paiera une bière sans que tu lui demandes.
Polo : l’agneau (ou pas)
On a tous ce joueur dans son équipe : adorable en apparence à la ville, mais un vrai chien sur le terrain. Son problème ? L’indiscipline. Et un certain manque de contrôle, qui le fait parfois totalement disjoncter. Un peu comme Pascal Papé avec Jamie Heaslip, attention à ne pas lui tourner le dos !
Yeray : le mec de la B
Petit nouveau de la saison 3, Yeray se fait balader pendant 8 épisodes par Queen Carla. Un peu comme le mec de B qu’on appelle en Première pour faire bouche trou mais qui est pris pour un con, et qui termine à faire le drapeau de touche pendant 80 minutes.
Lucrecia : le numéro 9
Toujours à gueuler. Toujours à piquer. Là aussi, un ego certain. Bref, la parfaite demi de mêlée. Tombe amoureuse de son demi-frère, et on connaît tous un numéro 9 un peu trop proche de son 3e ligne.
Cayetana : le mytho
Pendant un an, elle a fait croire à tout le monde qu’elle était blindée avant que son mensonge ne lui explose à la figure. Bref, Cayetana c’est un peu ce joueur qui raconte qu’il a mis un énorme timbre en match... mais bizarrement, personne ne s’en souvient.
Nadia : le bénévole
Nadia, c’est ce bénévole qui fait tout pour toi : il te lave les maillots, te cuisine ton poulet / pâtes et ferme le club-house alors qu’il n’a qu’une envie, rentrer chez soi pour mater le film du dimanche sur TF1. On ne rêve que d’une chose : qu’elle pète un câble et envoie tout valdinguer pour responsabiliser un peu les autres. Ce qui se passe plus ou moins vers la fin de la série, you go girl !
Rebeca : Mourad Boudjellal
La « nouvelle riche » qui débarque dans un milieu peu habitué aux changements, qui lui est totalement étranger. Un peu comme Boudjellal dans le monde du rugby, il y a quelques années... Chiante au première abord, mais qui se révèle (comme lui) être une vraie bouffée d’air frais pour réussir à faire bouger les choses. (Attention à ne pas en faire trop !)
Christian : Maxime Mermoz
Beau gosse, accro aux réseaux sociaux et qui termine lourdement blessé : Christian serait donc un Maxime Mermoz en fin de carrière.
Samuel : le supporter clermontois
Il a vraiment un bon fond, mais malheureusement, le sort s’acharne sur lui. Sa meuf tombe enceinte de son frère puis meurt. Il se fait harceler par ses camarades de classe. Son job de "livreur" qui tourne mal... Bref, Samu semble maudit, comme les supporters de l’ASM. Heureusement, ces derniers ont finalement eu droit au bonheur avec deux Brennus, comme le héros dans les bras de Carla.
Guzman : le supporter dans sa loge
Le personnage a une très belle évolution au fil des épisodes. Mais que c’est long à se dessiner ! Arrogant, riche, on l’imagine très bien dans sa loge avec une coupe de champagne à la main, son pull noué sur les épaules, en train de discuter avec un autre businessman plutôt que de regarder le match. Le rugby ? Pour lui, un sport de Valeurs (c) où "personne ne s'échappe". Mais inutile de lui demander les règles ou le nom d'un joueur.
Nano : la Pro D2
Si Samuel était le Top 14, central mais clairement lisse, Nano serait la Pro D2. Un peu rebelle, sexy, avec un énorme potentiel. Pas assez exploité malheureusement, alors qu'un Colomiers - Angoulême mériterait tellement plus d'attention... Nano a eu Marina, la Pro D2 a eu son affiche du jeudi soir en prime time... Mais c'est à peu près tout. Son frère a plus d'importance que lui dans la série, comme le Top 14 a plus d'importance que la Pro D2.
Marina : l’espoir déchu
Un crack en devenir. Comme Benoit Baby, elle n’aura finalement jamais tenu les promesses entrevues dans sa jeunesse... Car si Marina était aussi promis à un grand avenir, le destin en aura malheureusement décidé autrement.
Ander : le gamin assis dans l’herbe
Le type passe trois saisons à être dépressif. Bon, il a ses raisons hein, notamment dans la saison 3. Mais on a juste l’impression qu’il n’a pas envie d’être là, comme ce gamin de l’école de rugby qui passe l’entraînement assis dans l’herbe, à cueillir dans l’arbre plutôt que plaquer un boudin ou apprendre à tenir son ballon à deux mains. Triste.
Omar : le boudin
En trois saisons, les personnages ont eu leur lot de malheur, et Omar en est l'un des exemples. On retient surtout qu'il doit quitter son foyer, puisque son père n'accepte pas son homosexualité, ou que son petit ami est atteint d'une leucémie. Pourtant, il garde le sourire et se relève. Toujours. Comme ce sac à plaquage (ou boudin, pour les intimes) maltraité depuis des années par des générations de joueurs, mais toujours présent à l'entraînement. Un héros de l'ombre.
Malick : la paire de chaussures à 300€
Comme Yeray, Malick est l'un des nouveaux de la saison 3. Fils d'une des plus grandes fortunes africaines, il drague Nadia qu'il séduit... mais préfère finalement se réfugier dans les bras d'Omar. Le frère de sa copine, donc... Avec son argent, tout lui parait facile, comme s'acheter ces crampons à 300€ plutôt que la paire "premier prix" chez Décathlon. Mais comme Malick avec Nadia, cette paire de chaussures te ment : non, elle ne te fera pas courir plus vite. Alors économise un peu tes sous, et commence à être un peu comme Valerio en 3e mi-temps (pour payer des bières, pas pour la drogue).
Un riz savant scie
Je dois vivre sur une autre planète mais c'est à ce point un phénomène de société qu'on est censés savoir ce qu'est Elite ? J'apprends que nous en sommes à la saison 3, j'ignorais qu'il y avait une saison 1. Fort bien.
Bonne journée.
Mat RCK
C'est qui ELITE ?
lebonbernieCGunther
Plus facile en mode Dallas:
Bernie en JR et Dominici en Sue Ellen...
adourAB
Le terme rugbymen au lieu de rugbywomen Incite à rechausser les crampons. La mixité dans le rugby est peut être la solution pour augmenter la »fréquentation» dans les clubs.
adourAB
Ma femme veut que je fasse du sport. Je lui obéirai, ......et bien sûr elle trouvera un prétexte quelconque pour râler. A ne rien y comprendre. Je ne dois pas être le seul dans ce cas. Je vais en parler à Schappia.
Le Haut Landais
moi j'ai pas le droit de me remettre au rugby, je jouerai donc a toucher