Stade Français
L’avenir du Stade Français est en question. Après une saison plus que moyenne, les finances du club ne sont pas au mieux. Le Midi Olympique a révélé, ce lundi, que Max Guazzini était en passe de céder 51% du capital du club à un pool d’investisseurs australo-libanais, via une banque irlandaise. Michael Cheika serait ainsi devenu l’homme fort du club, reléguant l’actuel président à s’occuper du marketing exclusivement.
Max Guazzini est intervenu sur RMC pour mettre fin à la rumeur : « J'apprends dans les journaux que je suis actionnaire minoritaire, que j'ai vendu le club… Mais comment on peut dire des choses pareilles ? C'est très grave. Le pire, c'est qu'on est obligé de démentir tout ça. J'ai dit depuis 2005 qu'on devait ouvrir le capital pour garantir l'avenir du club. Ce n'est pas nouveau. On l'a ouvert et on va continuer. On a besoin de se renforcer. Mais ça ne veut pas dire qu'on s'en va. Je crois que certains prennent leurs désirs pour des réalités ».
Le courroux du président a été suivi par celui de l’autre intéressé, Michael Cheika : « Je suis nouveau en France mais j'ai vu que le Midi Olympique avait quelque chose contre nous. Les journalistes ne vérifient pas leurs informations et veulent mettre la pression sur Max. Ce qui est dit est faux. Ils ont peut-être quelque chose contre moi et le président. Je ne connais pas leurs raisons. On ne peut pas gagner contre les journaux car ils ont toujours le dernier mot. »
Max Guazzini est intervenu sur RMC pour mettre fin à la rumeur : « J'apprends dans les journaux que je suis actionnaire minoritaire, que j'ai vendu le club… Mais comment on peut dire des choses pareilles ? C'est très grave. Le pire, c'est qu'on est obligé de démentir tout ça. J'ai dit depuis 2005 qu'on devait ouvrir le capital pour garantir l'avenir du club. Ce n'est pas nouveau. On l'a ouvert et on va continuer. On a besoin de se renforcer. Mais ça ne veut pas dire qu'on s'en va. Je crois que certains prennent leurs désirs pour des réalités ».
Le courroux du président a été suivi par celui de l’autre intéressé, Michael Cheika : « Je suis nouveau en France mais j'ai vu que le Midi Olympique avait quelque chose contre nous. Les journalistes ne vérifient pas leurs informations et veulent mettre la pression sur Max. Ce qui est dit est faux. Ils ont peut-être quelque chose contre moi et le président. Je ne connais pas leurs raisons. On ne peut pas gagner contre les journaux car ils ont toujours le dernier mot. »
gerlaf
Il ne faut pas que le Midol devienne comme la rubrique Foot de l\\\\\\\'Equipe, où l\\\\\\\'on parle autant sinon plus des dirigeants que du jeu....Le Lyonnais le plus connu n\\\\\\\'était-il pas le Président Aulas, comme Bernard Tapie à son époque OM.
Le Stagiaire
Le merdol a encore frapée.