Pendant dix ans, il aura foulé les pelouses du Top 16 puis du Top 14. Soulevé deux Brennus, échoué deux fois en finale de la H Cup. Passé par les équipes de jeunes de l'ASM, c'est au Biarritz Olympique qu'il explose au plus haut niveau et fait exploser les défenses. Jean-Baptiste Gobelet fait surtout partie de la première génération de rugbymen sous contrat avec la FFR, amenés à défendre les couleurs de l'équipe nationale sur le circuit Seven. Lui qui n'aura jamais revêtu le maillot du XV de France portera un maillot bleu pendant cinq saisons, avec un objectif : la qualification pour les JO. À un an de la compétition, son contrat, arrivé à son terme, n'a pourtant pas été renouvelé. Que retient-il de cette aventure ? Regrette-t-il de ne pas aller à Rio ? De quoi sera fait son avenir ? Il s'exprime sans détour mais prévient : « Ce n'est pas une analyse à charge de la politique du groupe pro à 7, mais mon analyse et celle de mes coéquipiers sur cette expérience. Je n'ai jamais voulu parler à chaud pendant les crises dans les journaux car cela desservait ma performance comme celle de l'équipe. »
Jean-Baptiste, comment as-tu vécu le fait de te faire sortir du squad ?
Il y a beaucoup de frustration de sortir du programme olympique 7 à un an des Jeux Olympiques, sans pouvoir aller au bout de notre mission de qualifier l'équipe de France via le championnat d'Europe. Il y avait quand même des prémices qui me faisait penser que l'avenir du groupe se conjuguerait en Top14 d'ici les JO. Ce ne fut pas une décision sportive mais uniquement une décision personnelle de Jean-Claude Skrela (manager de France 7, ndlr).
On a été la première génération de rugbymen sous contrat avec la FFR, et beaucoup de personnes (joueurs, staff..) ont ainsi connu le monde professionnel du rugby à travers ce programme 7s, ce qui a forcément conduit à des dysfonctionnements dus à ce manque d'expérience. Certains joueurs ont pointé ces dysfonctionnements tout le long de ce programme afin que l'équipe soit la plus performante sur la scène mondiale, sans réelle écoute de la part du staff. Les joueurs qui ont connu le monde du rugby professionnel en Top14 pouvait facilement constater qu'il y avait un décalage entre le nouveau monde pro du 7 et le monde pro à XV, et ils n'ont pas été consultés. Les choses sont en train de se résoudre petit à petit mais on a perdu cinq ans. Par exemple, il a fallu attendre autant d'années pour qu'un préparateur physique spécifique athlé puisse intervenir régulièrement avec le groupe. Pareil pour l'arrivée d'un coach adjoint. VIDEO. Dubaï Seven : Le festival offensif de Julien Candelon et la grosse percussion de Jean-Baptiste Gobelet Comment le Seven va-t-il être désormais gérer en France ? Prendre des mecs du XV, c'est la bonne option ?
Nous pouvons dire que le fait d'appeler des joueurs confirmés du Top14 est un aveu d'échec du programme pro 7s. Cela veut dire que nous n'avons pas réussi à former une équipe compétitive sur la scène mondiale et surtout européenne en cinq ans, avec le plus gros budget mondial (soit 5 Millions d'€ /an). Nous savons tous depuis le début que notre ticket olympique se jouerait sur les Qualifs Europe. En étant champion d'Europe 2014 en titre et sans la menace de la Grande Bretagne (déjà qualifiée), la qualification serait quasiment actée. Il faut voir ce que les joueurs du Top14 peuvent apporter sur le circuit World Series, la confrontation face aux nations majeures est un révélateur. Le circuit européen est trop faible pour juger, même si on a vu de belles performances de certains joueurs comme Rémy Grosso. À mon avis, ceci est plus un outil de communication en vue des JO qu'autre chose. Pour donner un exemple, l'apport de joueurs confirmés de Top 14 dans l'équipe des Fidji n'a pas été à la hauteur des espérances pendant la Coupe du monde. La spécificité de ce sport demande une habitude à jouer à 7 et encaisser les charges physiques. Ne prendre que des joueurs de XV serait aller à l'encontre de cette spécificité.
Quelles solutions peut-on envisager pour faire progresser France 7 ?
Le Seven français a beaucoup plus besoin d'un apport de compétences dans le staff. Le fait d'écarter de notre groupe, Thierry Janeczek, le meilleur spéciliste du 7, nous a coûté cher sportivement et humainement. Il n'existe pas beaucoup de spécialistes mais on préfère se passer de leurs services pour des raisons personnelles avec notre manager. Certains ont un œil très avisé sur le développement du 7 comme Franck Corrihons, Michel Marfaing, Didier Faugeron... D'autres ont même choisi de s'exiler comme Nicolas Leroux, qui réalise un travail exceptionnel avec la Belgique depuis de nombreuses années.
L'ouverture sur des compétences étrangères est aussi une piste qui mérite d'être étudiée quand on voit les progrès de certaines équipes comme les USA.
La suite de l'entretien, p. 2
On a l'impression que même en cas de qualif' pour les JO, ce sera l'heure du bilan pour l'équipe de France. À quoi va ressembler le visage du 7 tricolore après 2016 ?
Le programme élite est revenu cinq ans en arrière avec l'appel de joueurs de XV pour sauver les apparences. Depuis qu'il a été lancé, nous n'avons jamais fini dans le Top 8 au classement final, battant seulement cinq fois des équipes du Top 4 mondial malgré une saison époustouflante en 2012-2013. On aurait pu penser qu'après cinq saisons, l'équipe de France aurait pu avoir un niveau digne de sa réputation sur la scène mondiale. Les résultats ne plaident pas en faveur des contrats pros à plein temps. Il faut un mode de fonctionnement différent. Les réduire de dix-huit à onze quand d'autres nations montent à 26 est un peu incohérent dans la poursuite du programme. Je suis convaincu que le 7 est un laboratoire pour nos jeunes, et devrait être obligatoire pendant une durée de trois ans pour les meilleurs, âgés de 19 ans à 22 ans, le tout renforcé d'un noyau de joueurs purement 7.
Quid de ces jeunes, justement ?
La FFR a fait de gros efforts à travers les comités en lançant le programme Puissance 7 permettant de développer la discipline un peu partout en France chez les jeunes. Le gros point noir, c'est la détection. Comment est ce possible de pas pouvoir trouver vingt joueurs de bons niveaux avec un potentiel sevens en France ? On s'obstine a chercher une solution avec certains joueurs de Top 14 tandis qu'il y un vivier sous-estimé en Pro D2 et en Fédérale. À terme, il serait intéressant de trouver un accord avec chaque club de Top 14 et Pro D2 pour un ou deux joueurs prioritaires, cela permettrait d'avoir un réservoir d'une trentaine de joueurs à gros potentiel 7 qui viendrait faire des stages à Marcoussis et qui partirait suivant les besoins des clubs au moment donné. J'espère que le travail de formation réalisé par Thierry Janeczek avec France développement va porter ses fruits et permettre a de nombreux jeunes de s'imposer dans le haut niveau du 7. Les JO devraient apporter une génération talentueuse à condition que ces jeunes garde une dynamique 7.
Peux-tu nous parler de ton avenir sportif ?
Je m'étais tellement projeté de finir ma carrière sur les JO et d'arrêter dessus que forcement, c'est assez dur de trouver un challenge aussi excitant (sourires). Je suis prêt à décider de mettre un terme à ma carrière mais un dernier contrat de rugbyman pro en qualité de joker coupe du monde, ou un dernier challenge peuvent me motiver. J'ai passé dix ans au Biarritz Olympique, cinq ans avec l'équipe de France à 7, j'ai eu de la chance de pouvoir vivre certains moments privilégiés, de jouer dans les plus beaux stades du monde, dans des ambiances incroyables, du stade du Millennium de Cardiff au stade du HongKong7s... Je n'ai pas trop à me plaindre de ma carrière, et je peux quitter le terrain avec des souvenirs fabuleux.
Tu vas également lancer un programme de développement de Rugby à 7, tu peux nous en dire plus ?
Mon programme de développement vient de l'analyse de l'état actuel du 7 français. Les tournois en fin d'année connaissent un réel engouement chez les jeunes de -16ans. Il y a toute une éducation sur le 7 à faire et je pense sincèrement que la France sera beaucoup plus prête pour les JO de 2020. Durant ma carrière sur le circuit, j'ai été très sensible au programme développement américain et anglais mis en place par leur fédération. Avec seulement 125 000 licenciés aux USA , 1/3 des licenciés sont en scolaires et tout un travail de formation a été effectué par une structure indépendante qui réalise des stages de quelques jours pour initier et perfectionner le Seven à travers tout le pays.
Grâce a ce travail, le rugby est devenu le sport américain qui a fait la plus grosse percée (+80%) face au basketball, baseball, football américain... Les USA n'ont pas la même culture rugby de la France mais sont en train de se faire une culture 7 importante en vue d'une médaille pour les JO. J'ai décidé de créer la FranceRugby7s Académie au mois de janvier lors du Las Vegas 7s. La société UR7s très active dans le développement du 7 en Afrique et en Grande-Bretagne m'a aussi proposé de faire un premier stage en France et de faire venir des compétences internationales pour développer cette culture du 7. Le but, c'est de commencer par la base 14-18 ans et aller vers de l'élite tout en se focalisant sur le scolaire qui drainera de nouveaux pratiquants. On parle beaucoup du XV, mais n'oublions pas le 7, le Touch, Beach Rugby, le XIII ! FranceRugby7s Académie s'adresse aux jeunes de 14-18ans, mais aussi aux seniors désirant se perfectionner au coaching. Le stage est encadré par des joueurs et coachs du circuit mondial du Rugby a 7, francophone comme anglophone. La société Hondara (agence de sport et d'événement sur la côte basque) m'accompagne dans ce projet. Le stage se déroulera les 23 et 24 juillet sur la côte basque, et trois autres sont prévus d'ici le mois de septembre, notamment vers Toulon. On espère à terme travailler en corrélation avec la LNR et La FFR pour permettre ce programme de développement du 7.
Pour plus d'infos, connectez-vous via la page Facebook de la FranceRugby7s Académie ou via ou via l'adresse : [email protected]
Jean-Baptiste, comment as-tu vécu le fait de te faire sortir du squad ?
Il y a beaucoup de frustration de sortir du programme olympique 7 à un an des Jeux Olympiques, sans pouvoir aller au bout de notre mission de qualifier l'équipe de France via le championnat d'Europe. Il y avait quand même des prémices qui me faisait penser que l'avenir du groupe se conjuguerait en Top14 d'ici les JO. Ce ne fut pas une décision sportive mais uniquement une décision personnelle de Jean-Claude Skrela (manager de France 7, ndlr).
On a été la première génération de rugbymen sous contrat avec la FFR, et beaucoup de personnes (joueurs, staff..) ont ainsi connu le monde professionnel du rugby à travers ce programme 7s, ce qui a forcément conduit à des dysfonctionnements dus à ce manque d'expérience. Certains joueurs ont pointé ces dysfonctionnements tout le long de ce programme afin que l'équipe soit la plus performante sur la scène mondiale, sans réelle écoute de la part du staff. Les joueurs qui ont connu le monde du rugby professionnel en Top14 pouvait facilement constater qu'il y avait un décalage entre le nouveau monde pro du 7 et le monde pro à XV, et ils n'ont pas été consultés. Les choses sont en train de se résoudre petit à petit mais on a perdu cinq ans. Par exemple, il a fallu attendre autant d'années pour qu'un préparateur physique spécifique athlé puisse intervenir régulièrement avec le groupe. Pareil pour l'arrivée d'un coach adjoint. VIDEO. Dubaï Seven : Le festival offensif de Julien Candelon et la grosse percussion de Jean-Baptiste Gobelet Comment le Seven va-t-il être désormais gérer en France ? Prendre des mecs du XV, c'est la bonne option ?
Nous pouvons dire que le fait d'appeler des joueurs confirmés du Top14 est un aveu d'échec du programme pro 7s. Cela veut dire que nous n'avons pas réussi à former une équipe compétitive sur la scène mondiale et surtout européenne en cinq ans, avec le plus gros budget mondial (soit 5 Millions d'€ /an). Nous savons tous depuis le début que notre ticket olympique se jouerait sur les Qualifs Europe. En étant champion d'Europe 2014 en titre et sans la menace de la Grande Bretagne (déjà qualifiée), la qualification serait quasiment actée. Il faut voir ce que les joueurs du Top14 peuvent apporter sur le circuit World Series, la confrontation face aux nations majeures est un révélateur. Le circuit européen est trop faible pour juger, même si on a vu de belles performances de certains joueurs comme Rémy Grosso. À mon avis, ceci est plus un outil de communication en vue des JO qu'autre chose. Pour donner un exemple, l'apport de joueurs confirmés de Top 14 dans l'équipe des Fidji n'a pas été à la hauteur des espérances pendant la Coupe du monde. La spécificité de ce sport demande une habitude à jouer à 7 et encaisser les charges physiques. Ne prendre que des joueurs de XV serait aller à l'encontre de cette spécificité.
Quelles solutions peut-on envisager pour faire progresser France 7 ?
Le Seven français a beaucoup plus besoin d'un apport de compétences dans le staff. Le fait d'écarter de notre groupe, Thierry Janeczek, le meilleur spéciliste du 7, nous a coûté cher sportivement et humainement. Il n'existe pas beaucoup de spécialistes mais on préfère se passer de leurs services pour des raisons personnelles avec notre manager. Certains ont un œil très avisé sur le développement du 7 comme Franck Corrihons, Michel Marfaing, Didier Faugeron... D'autres ont même choisi de s'exiler comme Nicolas Leroux, qui réalise un travail exceptionnel avec la Belgique depuis de nombreuses années.
L'ouverture sur des compétences étrangères est aussi une piste qui mérite d'être étudiée quand on voit les progrès de certaines équipes comme les USA.
La suite de l'entretien, p. 2
On a l'impression que même en cas de qualif' pour les JO, ce sera l'heure du bilan pour l'équipe de France. À quoi va ressembler le visage du 7 tricolore après 2016 ?
Le programme élite est revenu cinq ans en arrière avec l'appel de joueurs de XV pour sauver les apparences. Depuis qu'il a été lancé, nous n'avons jamais fini dans le Top 8 au classement final, battant seulement cinq fois des équipes du Top 4 mondial malgré une saison époustouflante en 2012-2013. On aurait pu penser qu'après cinq saisons, l'équipe de France aurait pu avoir un niveau digne de sa réputation sur la scène mondiale. Les résultats ne plaident pas en faveur des contrats pros à plein temps. Il faut un mode de fonctionnement différent. Les réduire de dix-huit à onze quand d'autres nations montent à 26 est un peu incohérent dans la poursuite du programme. Je suis convaincu que le 7 est un laboratoire pour nos jeunes, et devrait être obligatoire pendant une durée de trois ans pour les meilleurs, âgés de 19 ans à 22 ans, le tout renforcé d'un noyau de joueurs purement 7.
Quid de ces jeunes, justement ?
La FFR a fait de gros efforts à travers les comités en lançant le programme Puissance 7 permettant de développer la discipline un peu partout en France chez les jeunes. Le gros point noir, c'est la détection. Comment est ce possible de pas pouvoir trouver vingt joueurs de bons niveaux avec un potentiel sevens en France ? On s'obstine a chercher une solution avec certains joueurs de Top 14 tandis qu'il y un vivier sous-estimé en Pro D2 et en Fédérale. À terme, il serait intéressant de trouver un accord avec chaque club de Top 14 et Pro D2 pour un ou deux joueurs prioritaires, cela permettrait d'avoir un réservoir d'une trentaine de joueurs à gros potentiel 7 qui viendrait faire des stages à Marcoussis et qui partirait suivant les besoins des clubs au moment donné. J'espère que le travail de formation réalisé par Thierry Janeczek avec France développement va porter ses fruits et permettre a de nombreux jeunes de s'imposer dans le haut niveau du 7. Les JO devraient apporter une génération talentueuse à condition que ces jeunes garde une dynamique 7.
Peux-tu nous parler de ton avenir sportif ?
Je m'étais tellement projeté de finir ma carrière sur les JO et d'arrêter dessus que forcement, c'est assez dur de trouver un challenge aussi excitant (sourires). Je suis prêt à décider de mettre un terme à ma carrière mais un dernier contrat de rugbyman pro en qualité de joker coupe du monde, ou un dernier challenge peuvent me motiver. J'ai passé dix ans au Biarritz Olympique, cinq ans avec l'équipe de France à 7, j'ai eu de la chance de pouvoir vivre certains moments privilégiés, de jouer dans les plus beaux stades du monde, dans des ambiances incroyables, du stade du Millennium de Cardiff au stade du HongKong7s... Je n'ai pas trop à me plaindre de ma carrière, et je peux quitter le terrain avec des souvenirs fabuleux.
Tu vas également lancer un programme de développement de Rugby à 7, tu peux nous en dire plus ?
Mon programme de développement vient de l'analyse de l'état actuel du 7 français. Les tournois en fin d'année connaissent un réel engouement chez les jeunes de -16ans. Il y a toute une éducation sur le 7 à faire et je pense sincèrement que la France sera beaucoup plus prête pour les JO de 2020. Durant ma carrière sur le circuit, j'ai été très sensible au programme développement américain et anglais mis en place par leur fédération. Avec seulement 125 000 licenciés aux USA , 1/3 des licenciés sont en scolaires et tout un travail de formation a été effectué par une structure indépendante qui réalise des stages de quelques jours pour initier et perfectionner le Seven à travers tout le pays.
Grâce a ce travail, le rugby est devenu le sport américain qui a fait la plus grosse percée (+80%) face au basketball, baseball, football américain... Les USA n'ont pas la même culture rugby de la France mais sont en train de se faire une culture 7 importante en vue d'une médaille pour les JO. J'ai décidé de créer la FranceRugby7s Académie au mois de janvier lors du Las Vegas 7s. La société UR7s très active dans le développement du 7 en Afrique et en Grande-Bretagne m'a aussi proposé de faire un premier stage en France et de faire venir des compétences internationales pour développer cette culture du 7. Le but, c'est de commencer par la base 14-18 ans et aller vers de l'élite tout en se focalisant sur le scolaire qui drainera de nouveaux pratiquants. On parle beaucoup du XV, mais n'oublions pas le 7, le Touch, Beach Rugby, le XIII ! FranceRugby7s Académie s'adresse aux jeunes de 14-18ans, mais aussi aux seniors désirant se perfectionner au coaching. Le stage est encadré par des joueurs et coachs du circuit mondial du Rugby a 7, francophone comme anglophone. La société Hondara (agence de sport et d'événement sur la côte basque) m'accompagne dans ce projet. Le stage se déroulera les 23 et 24 juillet sur la côte basque, et trois autres sont prévus d'ici le mois de septembre, notamment vers Toulon. On espère à terme travailler en corrélation avec la LNR et La FFR pour permettre ce programme de développement du 7.
Pour plus d'infos, connectez-vous via la page Facebook de la FranceRugby7s Académie ou via ou via l'adresse : [email protected]
J-25 ⏰Premier Stage Rugby 7🏉 en France23/24 Juillet 2015 Cote Basque☀️Encadrement Anglophone et International 🇬🇫...
Posted by Jean-baptiste Gobelet on samedi 27 juin 2015
Pat33600
Je pense qu'il devrait trouver un poste à l'étranger. Encore une fois, on ne garde pas les spécialistes d'une discipline pour des raisons inconnues...
ced
il faut qu'il positive, mieux vaut voir le verre à moitié plein qu'à moitié vide
benny
Il se retrouve donc au chômage ?!
Pas un club interessé ? pas facile la fin de carrière...
Bonne chance à lui
fxlerusse
@Nardoliv: magique
nardoliv
j ai l impression que pour gobelet, la coupe est pleine....ok, je sors...vite