JEGOU-AURADOU. ''Il m’a explosée le mec'' les messages WhatsApp de la plaignante à une amie ressortent

Et toi tu devrais finir en taule pour ces propos. L'expert linguistique à deux balles. Il y a des modérateurs sur le forum ?

Mis à part ton parti pris, sur quoi t'appuis tu sur tes commentaires? As tu écouté et surtout compris la conversation entre la plaignante et son amie? A la vue de tes réponses et de tes post, j'en doute.

L'histoire semble s'orienter vers une histoire de mœurs pas forcément très belle, mais bien loin de trois vies foutues en l'air (même si celle de la plaignante risque de subir quelques perturbations dans un futur proche). On peut effectivement le prendre de manière plus légère...

Sans parler de groupé pénétrant, on peut y aller dans le registre de la touche pas droite, du tchic-tchac, d'un cadrage avec un léger débordement, etc...

En tout cas, même si Auradou a applati entre les poteaux, ça ne s'est pas fini avec un bras cassé, c'est un point important.

Pensez-vous qu'elle a aplati entre les 2 perches ?

M'enfin! Pourquoi on t'a pas écouté dès le début?!?!?!

Par trouille 😉

Tout à fait Thierry. SI j'ai bien compris elle vit avec son frère, ses parents, et sa fille. Donc elle rentre d'une nuit festive avec des marques sur le corps, on lui pose des questions, forcément. Dur de tenir le même discours qu'avec sa copine, donc elle dit qu'elle s'est faite violée, ensuite l'engrenage, police, plainte, etc.

Complément:

Visiblement l'Equipe a fait un vrai travail d'investigation et n'est pas simplement resté sur ce message

Ce qu'on peut en retirer c'est que la plaignante était consentante ça c'est sûr mais qu'elle a quand même était un peu débordé par la force de l'acte

Personne n’a à juger de leurs pratiques et au final on a le sentiment qu'il s'agirait d'une pratique consentie mais qui aurait débordé sans autre volonté de viol ou quoi que ce soit

Surement la compréhension qu'en ont les procureurs pour vouloir abandonner les charges

Et la plaignante serait donc beaucoup mois manipulatrice que je l'imaginais même si elle a quand même orienté sa premiere deposition

Comme quoi il ne sert à rien de se faire une opinion sincere avant d'avoir tous les elements ; surtout quand les conseils des deux parties se livrent une guerre de l'information

Comme on dit que justice se passe! Il y a un truc qui me trotte dans la tête: quid des compagnes de ces deux idios? J’en parle car j’ai eu un retour du côté de LR, qui m’a affirmé que Jegou vivait en couple depuis trois ans et aurait été importante pour sortir son compagnon de sa dépendance à la snif, ce ne serai pas elle(s) la(es) principale(s) victime(s)!!!

Les institutions de justice dans les sociétés libérales n'ont pas vocation à établir la vérité. Elles ont vocation à déclarer non coupable ou coupable.

Il est acquis que des faits de violence eurent lieu lors de cette rencontre. Un aspect qui se trouve facilitée par un ascendant (argent, notoriété, vénération etc) ou une relation de confiance. Il n'y a rien de ça dans cette relation qui se passa entre deux inconnus.

Des problèmes de communication sont courants, surtout que ces deux là poussèrent la limite. Chez les victimes, il y a souvent une période de sidération qui les amène à transformer une expérience. Une femme qui a subi des violences sexuelles peut très bien estimer au sortir de la relation que c'était la plus belle expérience de sa vie pour se réveiller en comprenant que ça ne lui correspondait pas du tout. Et être choquée et nourrir un sentiment d'abus.

C'est hors considération de culpabilité car c'est avant un rapport de force. Ce changement perçu ne traduit rien. On peut avoir une femme qui une fois sortie de sa période de sidération s'est rendu compte que cela ne lui correspond pas du tout. A partir de là, elle peut se repasser le film, savoir si elle avait envoyé des signaux etc qui montraient son désaccord etc

Deux inconnus qui ont pris un chemin bien dangereux, les coups sont reconnus. Hors ascendant, les femmes qui acceptent lors de la première rencontre de se faire baffrer ne courent pas les rues.

Allez Hop !
Un p'tit coup de libéral !
😂

"...les sociétés libérales..." ça faisait longtemps...

Boudicon, celui-là il est bien perché!

Tu ne savais donc pas ? 😄

Je le sais depuis longtemps, mais à ce niveau c'est impressionnant!

Ya des trucs pour certains gens c'est sans limite, comme disait Albert en parallèle avec les limites de l'univers...

Ça fait trois ou quatres messages que tu mets sur les différents articles et à chaque fois c'est le même charabia.

Perso je comprends rien à ce que tu racontes et contrairement à toi, vu que je ne suis ni juge ni juriste bah je ne dis rien...

Si on prend la définition de wikipédia :
Le libéralisme est un courant de pensée qui prône la défense des droits individuels, subjectifs (isonomie, liberté, sécurité, propriété), dans la lignée de John Locke, au nom d'une vision fondée sur l'individu et la coopération volontaire entre les humains.

En fait on est en plein dedans, le consentement étant une forme de coopération volontaire 😉

Je pense tu vas te fatiguer avant lui 😂

Je ne suis pas convaincu qu'il comprenne lui-meme ce qu'il raconte.

Oui, mais tu comprends, dans les sociétés libérales...

L'ascendant n'est pas clair dans cette affaire. Argent non, la victime n'est pas d'un milieu défavorisé selon les rapports et rien ne dit qu'Auradou et Jégou soient plus riches, surtout a ce stade de leurs carrières. Notoriété/vénération c'est également discutable, Auradou et Jégou sont de jeunes joueurs, je doute qu'ils soient connus en Argentine; ils ne le sont deja pas plus que cela en France. Ce ne sont pas des stars. De plus, la plaignante a 39 ans et eux 20, donc on pourrait arguer d'un ascendant dans l'autre sens quant a l'age.

Quant a la vérité, société libérale ou pas, il est légitime que cela ne soit pas ce que les institutions de justice recherchent; ce serait un objectif impossible.

Tu as pas compris que plus tu réponds, plus il prend de place ?
Tendance trop, par ses longs posts inénarrables ? 😂

Si j'ai compris, mais je n'arrive pas toujours a résister 😉

C'est sur que ya un côté "addict" à ce genre de gars, dans des moments d'errance...😅

Le commentaire est mal lu. Il y est écrit que les rencontres qui incluent des éléments de violence sont dangereuses pour les deux parties. Pour la partie violente, on peut trouver une sécurité dans un ascendant. Or cette rencontre se déroule entre deux inconnus qui n'ont pas ces éléments de sécurité.
Au début de cette affaire, les scénarios spéculatifs allaient bon train. On en avait proposé un : une femme mûre de moeurs libéralisées qui veut passer du bon temps,
se taper un petit jeune et un jeune homme de moeurs libéralisées, culte du gagnant et biberonné à la pornographie, un cocktail explosif. Les ébats démarrent sur une base
consensuelle pour dégénérer et inclure des éléments non consensuels. C'était le scénario spéculatif proposé à la sortie de l'affaire et qui se retrouve confirmé en
partie par les communications révélées. Une femme en recherche d'une aventure. Si on lit les messages dans le but d'une séduction, on décèle une femme inexpérimentée
dans ce jeu de rencontre d'un soir, ele suit le conseil d'une copine, elle veut du romantisme, de la spontanéité et il faut aussi l'admettre, un peu de souffre. Le consentement est critique et à replacer dans le cadre d'une société libérale. Les sociétés libérales considèrent qu'une société est libre quand elle consent à être gouvernée. Le vote fait acte de consentement,
Quand on vote, on consent à être gouverné. Il est fragrant que le consentement a une particularité, les élus sont charmeurs tant qu'ils n'ont pas recueilli les votes.
Une fois élus, ils utilisent à plein leur mandat libre pour faire ce qu'ils veulent, sans regard à leur programme. C'est un blanc seing.
Si on a applique cet état à cette rencontre, on tombe sur une rencontre démarrant consensuellement avec un jeune homme qui considère qu'il a reçu un blanc seing par
le consentement initial. L'état de sidération jouant son rôle, la femme subit la dégradation de son consentement sans pouvoir y faire opposition. Dans ce scénario spéculatif, le viol est effectif. Reste à déterminer si une institution de justice d' une société libérale peut caractériser cet acte en viol. La position de la plaignante est faible,
la relation démarre consensuellement, la sidération fait qu'il n'y a probablement pas eu de manifestation forte d'un retrait de consentement, les sociétés libérales sautant
dans l'idiotie d'appliquer le qui ne dit mot consent.Au lieu de subir. Dans les communications révélées, elle fait état d'un homme à double visage à la fois gentil et
méchant. Plusieurs points interpellent dans cette rencontre: il est rare de tomber sur une femme bien dans sa peau qui accepte de se faire molester pour une première
fois, même si c'est dans ses goûts. Quand on est dans ce type de rencontre, il faut se rappeler que les sociétés libérales sont contractuelles. Il faut passer quinze, vingt minutes à établir un cadre de sécurité où on passe en revue ce qu'on peut faire et ne pas faire. Un effet mécanique, qui est contraire à ce qu'on perçoit de cette femme qui elle veut une rencontre spontanée et non un truc programmé. On sort une liste et on coche des croix, c'est particulier. Pendant l'acte, il faut aussi rester vigilant pour s'assurer que ce qui est mis en place est respecté. Il n'y a pas d'abandon dans le moment. Difficile de concevoir que ces deux là ont passé le temps nécessaire pour établir le cadre sécurisant et derrière, pendant l'acte, que cet homme a passé son temps à s'enquérir pour savoir si tout allait bien pour sa compagne. Dans ce scénario, le jeune homme a un consentement, il est imprégné par la société libérale, et comme un politique qui est charmeur tant qu'il n'a pas le consentement et ce jeune homme déroule dès qu'il a le consentement, il part part en roue libre.
Ce n'est qu'après en reconstituant la rencontre, la sidération se disippant que cette femme s'est rendu compte qu'elle était soumise à des actes auxquels elle ne
consentait pas. Des limites non énoncées mais des limites quand même avaient été franchies.
Pour la FFR, il s'agira de ne pas se voiler la face et d'admettre qu'une non culpabilité se fera peut être sur la base d'éléments faibles et donc d'un homme qui passe
entre les gouttes. Dans le rôle éducatif à jouer derrière, se cacher derrière une non condamnation ouvrira la porte à d'autres épisodes de cette facture, des joueurs qui chercheront à tirer bénéfice d'un consentement pour se servir plus que de raison après. Une jour, ça ne passera pas. Un joueur se fera attraper par la patrouille.

Pas de résilience pour les sociétés libérales... 🙂 A chacun ses hobbies ! 😉

Les coups sont reconnus…. Dans ce cas précis, je suppute qu’il faut attendre la décision de justice. 🤣👍

Quoiqu'il en soit personne ne saura jamais avec certitude ce qu'il s'est passé en dehors des trois protagonistes... et encore avec les effets de l'alcool et la capacité connue de la mémoire humaine a modifier/fabriquer des souvenirs.

Mais tentative de racket je ne pense pas, cela me semble peu probable vu le profil de la victime... S'il s'agit bien d'une fausse accusation, la motivation la plus probable pour la plaignante me semblerait avoir été de cacher a sa famille un comportement qu'elle ne voulait pas assumer; d'ou mon allusion a l'affaire Bastareaud dans mon commentaire ci-dessous.

De ce que je me souviens dans l’affaire Bastareau il n’a pas été fait mention qu’il en avait une énorme ? Chacun jugera 🤭

On a jamais eu le témoignage de la table basse. Encore une affaire enterrée par Bernie.

Effectivement la table est restée muette

@lebonbernieCGunther De cette fameuse table de nuit dont on ne connait que le surnom: "Louisou"! Mais au delà de la plaisanterie on voit l'omerta régnant autour de ces affaires, et pourtant celle ci an' était pas une paille! Retour en arrière: "L'affaire du Rainbow Warrior", cela désigne le sabotage du navire amiral de l'organisation écologiste Greenpeace, le Rainbow Warrior, par les services secrets français le 10 juillet 1985 Le navire, à quai en Nouvelle-Zélande, était paré à appareiller pour l'atoll de Moruroa, où il devait gêner les essais nucléaires français pour protester contre leur tenue. L'opération de sabotage fut commanditée par le ministre de la Défense français Charles Hernu, avec l'autorisation explicite du président de la République française François Mitterrand (selon le témoignage de Pierre Lacoste, patron de la DGSE)1. L'opération fit un mort : Fernando Pereira, photographe, membre de l'équipage de Greenpeace.
Cet acte, qui constituait une violation de la souveraineté de l'État néo-zélandais, fut à l'origine de tensions entre les deux pays et eut des conséquences sur leurs relations politiques et économiques. Il faut savoir qu'une des conséquences économique de notre expédition de Pieds Nickelés a été celle ci: un accord de marché sur la viande d'agneau largement favorable aux Néo-Zeds, au détriment de nos éleveurs nationaux, avait été conclu (entre autres) pour faire passer la pilule; cet accord est encore en place! Rien à voir avec l' affaire "Louisou" me dirai vous! Que nenni, que nenni, si l, on se souvient bien avant d' accuser sa voisine de lit, Basta s' était dit victime d' une agression en plein centre de Wellington par 5 individus (un seul aurai fait désordre); branle bas dans les hauts services d' Atotéaroa, Mister Prime Minister himself venant faire lui même des excuses. Mais voilà patatras, "la télévision néo-zélandaise TV One, relayée par l'agence de presse NZPA, a affirmé que le joueur n'avait pas été agressé dans la rue. «La police s'est procuré des vidéos de surveillance montrant un Bastareaud non blessé rentrant à son hôtel en compagnie de deux joueurs et deux femmes, selon la TV One», écrit NZPA! Deux femmes... Bon, on change tout et c'est F Fillon battant sa coulpe qui s'y colle: "L'affaire Bastareaud prend un tour diplomatique. Le Premier ministre François Fillon a ainsi écrit à son homologue néo-zélandais pour s'excuser du «comportement injustifiable» du centre du XV de France. Celui-ci avait inventé une agression après la défaite française contre les All Blacks.
Fait rare dans ce genre d'affaires, le chef du gouvernement a adressé mardi une lettre à John Key." Vous voyez le truc? Le pire c' est que la carrière de notre imbécile n' en a pas trop souffert! Une dernière remarque F Fritz pour un passeport périmé avait été borduré dans cette tournée et dit adieu à sa carrière internationale...

Forcément s’il s’est tapé la table, c’est une table j’y cogne. Ok je sors.

En fait on s'en fiche de ce qu'il s'est passé (en fait pas vraiment, si les brutalités sont avérées). Ce qu'il faut en retirer, c'est qu'il faut faire en sorte que les joueurs ne puissent pas se mettre dans cette situation. Il faut arrêter avec ce sentiment d'impunité qu'ils ressentent lors des 3èmes mi-temps. Combien d'affaires ont été étouffées?

Tu t'en fiches peut-etre mais pas moi, il s'agit de la vie de trois personnes. Ce sont deux choses différentes, l'une n'empeche pas l'autre.

Oui, c'est un article digne d'un tabloïd anglais, le Daily Nistère ?

Ou plutôt le Daily m…e , heu pardon mail 🤭🤭