Devant la recrudescence des cas de joueurs prenant leur retraite à cause de commotions cérébrales à répétition, ou qui sont obligés de stopper toute activité rugbystique que une longue période, l'IRB a choisi d'adopter une nouvelle batterie de tests pour aider à la prévention de ce fléau en cours de match.
L'arbitre pourra donc obliger un joueur "soupçonné" d'être victime d'une commotion à rester sur la touche pendant au 5 minutes. Il sera possible alors pour l'entraîneur de procéder à un remplacement temporaire.
Si le joueur est jugé apte par les médecins (qu'il répond aux stimuli extérieurs et aux questions qui lui sont posées), il pourra retrouver le terrain. Si ce n'est pas le cas, il ne sera pas autorisé à rejoindre ses partenaires.
Une décision à double-tranchant donc (par l'aspect imprévisible de ce type de blessure, qui peut survenir à n'importe quel moment d'un match), mais qui a pour seul objectif de préserver la santé des joueurs.
En plus de cette décision, une étude conjointe à l'IRB, la fédération néo-zélandaise (NZRU) et l'Université des Technologies d'Auckland (AUT), a été ouverte sur la question des effets à long terme des commotions cérébrales à répétition subies par les rugbymen.
L'arbitre pourra donc obliger un joueur "soupçonné" d'être victime d'une commotion à rester sur la touche pendant au 5 minutes. Il sera possible alors pour l'entraîneur de procéder à un remplacement temporaire.
Si le joueur est jugé apte par les médecins (qu'il répond aux stimuli extérieurs et aux questions qui lui sont posées), il pourra retrouver le terrain. Si ce n'est pas le cas, il ne sera pas autorisé à rejoindre ses partenaires.
Une décision à double-tranchant donc (par l'aspect imprévisible de ce type de blessure, qui peut survenir à n'importe quel moment d'un match), mais qui a pour seul objectif de préserver la santé des joueurs.
En plus de cette décision, une étude conjointe à l'IRB, la fédération néo-zélandaise (NZRU) et l'Université des Technologies d'Auckland (AUT), a été ouverte sur la question des effets à long terme des commotions cérébrales à répétition subies par les rugbymen.
Kadova
Merci JN. C'est vrai que ce sera mieux.
Ca me fait penser au KO de Betsen au debut du quart CdM2007 avec arret du jeu pendant de longues minutes parce qu'il ne voulait pas sortir.
jnpeyrot
@Kadova, la différence c'est qu'on pourra faire un remplacement temporaire sur KO, alors que jusqu'à présent on ne pouvait le faire que sur saignement. C'est un pas dans le bon sens ...
Kadova
C'est quoi la difference avec ce qui se fait actuellement ? Le joueur restera 5 min en touche alors qu'avant on arretait le jeu pour lui demander "combien j'ai de doigts"....Ca ne me parait pas tres clair.