Le pilier gauche du RCT aux 90 sélections en rouge Gethin Jenkins vit un début de saison assez particulier (pour lui en tout cas) à Toulon. Habitué à jouer tous les matchs depuis un bon bout de temps, l'ancien des Cardiff Blues a commencé les six premières journées sur le banc de touche, préféré à l'Anglais Andrew Sherindan.
Le match contre Toulouse arrive à point nommé pour lui : il sera titulaire face à Census Johnston ce week-end, grâce à la décision de Bernard Laporte de reposer les joueurs les plus utilisés. Celui qui a gagné 3 Grands Chelems a confié sa joie de débuter un match, comment il gère son début de saison et son acclimatation à la vie varoise à Var Matin :
Samedi face à Toulouse, vous serez titulaire pour la première fois de la saison. Votre sentiment ?
Ça fait du bien. C'était dur d'être toujours sur le banc, mais l'équipe a très bien joué jusqu'à maintenant. J'ai joué quinze minutes par ci, vingt minutes par là. J'ai de bonnes sensations à l'entraînement, aussi ça me fait plaisir de démarrer face à une grosse équipe comme Toulouse.
Avez-vous compris pourquoi vous n'avez pas encore été titularisé ?
Non, je n'ai pas vraiment demandé. J'ai juste pensé qu'Andrew faisait de bons matchs et puis quand l'équipe gagne, les rotations sont plus rares. Le staff veut conserver le "momentum". De toute façon, je savais en signant à Toulon que nous serions en concurrence au poste de pilier gauche. Vous savez, il y a beaucoup de matchs dans la saison et je ne suis pas très inquiet pour la suite.
Vous êtes venu en France notamment pour vous frotter à la mêlée française. En quoi est-elle différente ?
C'est plus dur en France car il faut être concentré davantage avant de jouer chaque mêlée. En Grande-Bretagne, les supporters considèrent la mêlée comme le point de départ du jeu mais ici, on sent l'excitation du public avant chaque introduction. La mentalité est totalement différente et ça met davantage de pression sur les joueurs. Chaque mêlée est une bataille et débouche quasiment tout le temps sur une pénalité ou un bras cassé alors que les Britanniques essaient de sortir le ballon rapidement pour jouer.
Appréciez-vous l'environnement du club ?
C'est bien. Le temps est superbe, les gens relax. Au niveau rugby, c'est très dur, mais quand tu gagnes, tu ne peux qu'apprécier. D'autant qu'ici en France, toutes les équipes sont très bonnes. Il n'y a aucun match facile car n'importe quel adversaire va tenir pendant 50 minutes au moins.
Vous aimez quand même l'ambiance des jours de match à Toulon ?
Bien sûr ! L'ambiance est la meilleure que j'ai vécue jusque-là. C'est complètement fou !
Pour retrouver l'intégralité de la très bonne interview du Gallois, c'est par ici que ça se passe.
Le match contre Toulouse arrive à point nommé pour lui : il sera titulaire face à Census Johnston ce week-end, grâce à la décision de Bernard Laporte de reposer les joueurs les plus utilisés. Celui qui a gagné 3 Grands Chelems a confié sa joie de débuter un match, comment il gère son début de saison et son acclimatation à la vie varoise à Var Matin :
Samedi face à Toulouse, vous serez titulaire pour la première fois de la saison. Votre sentiment ?
Ça fait du bien. C'était dur d'être toujours sur le banc, mais l'équipe a très bien joué jusqu'à maintenant. J'ai joué quinze minutes par ci, vingt minutes par là. J'ai de bonnes sensations à l'entraînement, aussi ça me fait plaisir de démarrer face à une grosse équipe comme Toulouse.
Avez-vous compris pourquoi vous n'avez pas encore été titularisé ?
Non, je n'ai pas vraiment demandé. J'ai juste pensé qu'Andrew faisait de bons matchs et puis quand l'équipe gagne, les rotations sont plus rares. Le staff veut conserver le "momentum". De toute façon, je savais en signant à Toulon que nous serions en concurrence au poste de pilier gauche. Vous savez, il y a beaucoup de matchs dans la saison et je ne suis pas très inquiet pour la suite.
Vous êtes venu en France notamment pour vous frotter à la mêlée française. En quoi est-elle différente ?
C'est plus dur en France car il faut être concentré davantage avant de jouer chaque mêlée. En Grande-Bretagne, les supporters considèrent la mêlée comme le point de départ du jeu mais ici, on sent l'excitation du public avant chaque introduction. La mentalité est totalement différente et ça met davantage de pression sur les joueurs. Chaque mêlée est une bataille et débouche quasiment tout le temps sur une pénalité ou un bras cassé alors que les Britanniques essaient de sortir le ballon rapidement pour jouer.
Appréciez-vous l'environnement du club ?
C'est bien. Le temps est superbe, les gens relax. Au niveau rugby, c'est très dur, mais quand tu gagnes, tu ne peux qu'apprécier. D'autant qu'ici en France, toutes les équipes sont très bonnes. Il n'y a aucun match facile car n'importe quel adversaire va tenir pendant 50 minutes au moins.
Vous aimez quand même l'ambiance des jours de match à Toulon ?
Bien sûr ! L'ambiance est la meilleure que j'ai vécue jusque-là. C'est complètement fou !
Pour retrouver l'intégralité de la très bonne interview du Gallois, c'est par ici que ça se passe.
yoyo83
Franchement, il a pas été convainquant contre toulouse !
A mon avis, il est pas près de revenir dans le XV de départ...
J'éspère qu'il mettras moins de temps que KARL HAYMAN pour se faire a la mélée du TOP 14, qui est a priori la plus difficile.