Grenoble
C’est l’équipe en forme en Pro D2 actuellement. Et comme elle était loin d’être en méforme en début de saison, voilà les Grenoblois en tête du classement. Une position qui, le 13 mai au soir, les assurerait d’une accession en Top 14. Si, du côté isérois, on n’ose pas mettre la charrue avant les bœufs, les récentes victoires sur Carcassonne et Mont-de-Marsan, à l’extérieur qui plus est, prouvent bien que le FCG a les moyens de ses ambitions. Et ce week-end, selon les matches joués, et les résultats, les hommes de Fabrice Landreau en sauront un peu plus. Ils se déplacent à Bergerac pour jouer contre Périgueux... un match décisif pour les deux clubs.
Avec un point de retard sur Dax et deux matchs en moins, Grenoble peut tout de même voir venir les choses sereinement. Et Marc Chérèque le sait, mais la joue prudemment. Le président du FCG, dans Midi Olympique, estime que « le FC Grenoble lui-même » peut l’empêcher de monter à l’échelon national suprême. Une perspective évoquée cependant à demi-mot, mais réellement présente dans la tête de celui qui appartient également au comité directeur de la LNR. D’ailleurs, avec le plus gros budget du Pro D2 cette année, les Grenoblois espèrent pouvoir mobiliser les ressources du bassin isérois en cas de montée, à hauteur équivalente de ce qu’avait annoncé le LOU (soit 14 millions d'euros)…
Une perspective alléchante pour le rugby alpin donc, qui a vu son plus beau représentant depuis des années quitter l’élite presque sur tapis vert, avec les ennuis financiers du CSBJ la saison dernière. Et puis, Valentin Courrent aurait déjà signé et jouera « quoiqu’il arrive » dixit M. Chérèque. Un signe de plus que le chemin vers le Top 14 semble tout tracé et s’offrir aux siens.
Avec un point de retard sur Dax et deux matchs en moins, Grenoble peut tout de même voir venir les choses sereinement. Et Marc Chérèque le sait, mais la joue prudemment. Le président du FCG, dans Midi Olympique, estime que « le FC Grenoble lui-même » peut l’empêcher de monter à l’échelon national suprême. Une perspective évoquée cependant à demi-mot, mais réellement présente dans la tête de celui qui appartient également au comité directeur de la LNR. D’ailleurs, avec le plus gros budget du Pro D2 cette année, les Grenoblois espèrent pouvoir mobiliser les ressources du bassin isérois en cas de montée, à hauteur équivalente de ce qu’avait annoncé le LOU (soit 14 millions d'euros)…
Une perspective alléchante pour le rugby alpin donc, qui a vu son plus beau représentant depuis des années quitter l’élite presque sur tapis vert, avec les ennuis financiers du CSBJ la saison dernière. Et puis, Valentin Courrent aurait déjà signé et jouera « quoiqu’il arrive » dixit M. Chérèque. Un signe de plus que le chemin vers le Top 14 semble tout tracé et s’offrir aux siens.