Nick Evans est une icône du côté du Twickenham Stoop. Mais à 32 ans, à une saison de la fin de son contrat et après avoir passé 4 ans chez les Harlequins, l'international néo-zélandais aux 16 sélections est légitimement en droit de se poser des questions sur son avenir.
Le site espnscrum.com a interrogé l'ouvreur du club londonien à ce sujet, et sa réponse pourrait devenir très intéressante pour certains clubs de notre bon vieux Top 14 :
"Je suis actuellement en discussions avec mon club pour prolonger mon contrat, et c'est quelque chose que je veux boucler rapidement parce que ça arrange les deux parties. Je sais que je ne suis plus tout jeune, mais rester ici serait quelque chose que j'adorerais. On va encore attendre un petit peu et voir ce qui va se passer.
Aujourd'hui plusieurs solutions s'offrent à moi et évidemment, rester aux 'Quins en est une. Ça commence à faire un bon moment que je suis parti de Nouvelle-Zélande, mais je suis bien, ici, à Londres. Je passe de très bons moments avec les Harlequins depuis que je suis arrivé, et par dessus tout le travail qu'on fournit ensemble est de grande qualité.
Une chose est sûre, je ne rentrerai pas dans mon pays pour y jouer, j'ai fait mon temps là bas je pense. Si je dois partir, ce sera ou en France, ou au Japon.
Si jamais Evans ne continue pas avec son club, on peut aisément penser que quelques clubs français feraient le forcing pour l'enrôler. Affaire à suivre...
Le site espnscrum.com a interrogé l'ouvreur du club londonien à ce sujet, et sa réponse pourrait devenir très intéressante pour certains clubs de notre bon vieux Top 14 :
"Je suis actuellement en discussions avec mon club pour prolonger mon contrat, et c'est quelque chose que je veux boucler rapidement parce que ça arrange les deux parties. Je sais que je ne suis plus tout jeune, mais rester ici serait quelque chose que j'adorerais. On va encore attendre un petit peu et voir ce qui va se passer.
Aujourd'hui plusieurs solutions s'offrent à moi et évidemment, rester aux 'Quins en est une. Ça commence à faire un bon moment que je suis parti de Nouvelle-Zélande, mais je suis bien, ici, à Londres. Je passe de très bons moments avec les Harlequins depuis que je suis arrivé, et par dessus tout le travail qu'on fournit ensemble est de grande qualité.
Une chose est sûre, je ne rentrerai pas dans mon pays pour y jouer, j'ai fait mon temps là bas je pense. Si je dois partir, ce sera ou en France, ou au Japon.
Si jamais Evans ne continue pas avec son club, on peut aisément penser que quelques clubs français feraient le forcing pour l'enrôler. Affaire à suivre...