Les citations choc du XV de France
Aucune crise ne pointe à l'horizon du rugby français, mais l'épopée des Bleus n'est pas toute rose... Richard Escot de l'équipe balance.
Les citations choc du XV de France
XV de France
Un audit sur le rugby anglais lors de la dernière Coupe du Monde est en train de mettre la RFU à feu et à sang. Les comportements des joueurs et du staff du XV de la Rose ont été mis en cause par ce rapport qui est tombé d'un bureau de la fédération. Un audit a-t-il été commandité pour le XV de France ? Non puisque le résultat final est plutôt flatteur. Aucune crise ne pointe à l'horizon du rugby français, mais l'épopée des Bleus n'est pas toute rose...

Richard Escot, responsable de la rubrique Rugby à L'Equipe a décidé de sortir de sa tanière pour balancer quelques citations chocs de joueurs du XV de France. Des phrases balancées au coin du comptoir que le journaliste a récupéré pour mieux les ressortir en temps de paix.

Marc Lièvremont

Un demi d'ouverture banni : « Lors de la remise des maillots face au Japon, il (le coach) est devenu soudain hystérique et s'est mis à nous encourager en gueulant des trucs de malade. Nous étions tous au bord de la crise de rire tellement c'était grotesque »

Un excellent buteur interloqué par « les mots excessifs prononcés par le coach envers François (Trinh-Duc) après le Canada. Tout le groupe, d'ailleurs, était choqué. Un entraîneur n'a pas à enfoncer plus bas que terre un joueur de cette façon, devant ses coéquipiers »

Un deuxième ligne : « Il a passé sa Coupe du monde à nous pourrir dans la presse. A la fin, on lui a demandé de se taire. On en avait marre »

Un autre deuxième ligne  : « Du coup, on a pris les clés du camion »

Didier Retière, Emile N'tamack et le kiné...

Un vétéran toulousain : « Pendant deux ans, on a travaillé la poussée en mêlée avec un joug électronique, constate un vétéran toulousain. Contre le Japon et le Canada, pas de souci, mais on s'est aperçu en match de poule contre les All Blacks que ça se jouait à l'impact. Deux ans de perdus. Alors, on a rectifié le tir. Entre nous. On a fait comme on a pu »

Un blond au centre : «  On a divisé par dix le nombre de combinaisons, derrière. Cinq ou six, ça suffisait amplement, avoue un blond du centre. Surtout pour voir ce qu'on en faisait en match... »

Un arrière toulousain : « Au fur et à mesure que la compétition avançait, nous nous sommes tournés vers Gonzalo Quesada (responsable du jeu au pied) pour nous aider à mettre en place le jeu, derrière, sourit un arrière toulousain. Et aussi vers Joël Jutge (ancien arbitre) et Julien Deloire (préparateur physique) »

Un trois-quarts polyvalent dont le nom évoque l'en-but : « Un des kinés ne s'occupait de nous qu'après avoir fait son footing matinal. Un jour, j'ai eu besoin de lui avant le petit-déjeuner, c'était important, mais il n'a pas voulu avant d'avoir terminé son jogging. J'ai trouvé ça hallucinant...  »

Et les joueurs...

Richard Escot n'oublie pas d'égratigner les joueurs dans son article : « Entre autres indélicatesses sur lesquelles nous jetterons un voile pudique, les joueurs ont refusé de se rendre dans les écoles qui les sollicitaient pour animer des cours de langue française. Il faut dire que certains ont une conversation si pauvre que c'était sans doute, pour eux, le bon choix ».

Cet article incendiaire va mettre de l'huile sur le feu. Le journaliste de L'Equipe a-t-il raison de sortir de terre ces déclarations sans vraiment respecter l'anonymat de certains  joueurs qui ne voulaient pas que cela sorte dans la presse ?
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Non mais il tiens pas à la vie ou quoi ? Il tiens tant que ça a faire un bon repas pour Bakkies Botha après le match de ce soir ? C'est tout sauf respectueux et aprés on s'étonne qu'il y ai des types qu rentrent armés jusqu'aux dents dans les locaux de ces sois disant journaux qui soit dit en passant ne font rien d'autre que fouiller au fond de la fosse à purin pour déterrer de vieilles bouses malodorantes, et finissent par se prendre une rafale de 22 long rifle en plein dans le buffet ! Alors moi je dit si tu veut finir ta vie en bonne santé, a'm'en donné vaut mieux savoir ce qu'on fait.

*sers ses abdos (ou plutot son abdal) en vu de la flopée de pouces rouges qui risque de déferler*

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