Ça n'a échappé à personne, le Stade Français à l'extérieur ressemble toujours autant au Cirque Bouglione dans ses périodes de représentation constante en province (pour la petite stat flatteuse, les Parisiens n'ont gagné qu'une fois à l'extérieur sur les quinze derniers matchs).
Il y en a un qui en a plus que marre de cette distribution de points par paquets de quatre, c'est Richard Pool-Jones. Le big boss du sportif au Stade Français a exprimé hier toute son inquiétude et sa colère à l'Équipe, vis à vis des "performances" de ses roses et bleus :
"C'est une grosse déception. Nous avons vu en face de nous une équipe qui était fière, qui a joué de façon simple avec beaucoup de justesse. Nous c'était tout le contraire. Je pense qu'on a souvent compliqué les choses alors qu'on avait donné des consignes très claires qui n'ont pas été suivies, surtout en première mi-temps.
Nous avons subi une leçon d'humilité de la part de Grenoble. Félicitation à eux. Maintenant de notre côté, il faudra qu'on se regarde de très près dans la glace pour savoir pourquoi autant de joueurs ont dû jouer. Des joueurs de grand talent d'habitude, mais qui aujourd'hui ont rendu une copie tellement pauvre qu'on se doit poser des questions profondes. C'est inquiétant. On est passé totalement à côté de notre match."
Comme quoi, les saisons se suivent et se ressemblent à Paname.
Il y en a un qui en a plus que marre de cette distribution de points par paquets de quatre, c'est Richard Pool-Jones. Le big boss du sportif au Stade Français a exprimé hier toute son inquiétude et sa colère à l'Équipe, vis à vis des "performances" de ses roses et bleus :
"C'est une grosse déception. Nous avons vu en face de nous une équipe qui était fière, qui a joué de façon simple avec beaucoup de justesse. Nous c'était tout le contraire. Je pense qu'on a souvent compliqué les choses alors qu'on avait donné des consignes très claires qui n'ont pas été suivies, surtout en première mi-temps.
Nous avons subi une leçon d'humilité de la part de Grenoble. Félicitation à eux. Maintenant de notre côté, il faudra qu'on se regarde de très près dans la glace pour savoir pourquoi autant de joueurs ont dû jouer. Des joueurs de grand talent d'habitude, mais qui aujourd'hui ont rendu une copie tellement pauvre qu'on se doit poser des questions profondes. C'est inquiétant. On est passé totalement à côté de notre match."
Comme quoi, les saisons se suivent et se ressemblent à Paname.