La France n’est pas la seule nation européenne dans la tourmente après la première journée du Tournoi. Le Pays de Galles, défait par l’Irlande samedi (22-30), cherche aussi à savoir ce qui ne fonctionne pas au sein d’un effectif d’apparence ultra compétitif. La crise est d’autant plus profonde qu’il n’y a pas si longtemps, les Dragons rouges remportaient logiquement le Grand chelem après un parcours admirable en Coupe du monde. Depuis, les Gallois ont connu cinq revers consécutifs dans leur antre du Millenium de Cardiff. Derrière cette série noire, certains pointent du doigt « la mauvaise santé des clubs gallois en Coupe d’Europe » ainsi que des « blessures ayant fortement handicapé les premières lignes.»
En attendant de trouver une solution à leurs maux, les joueurs gallois s’excusent. Oui car au Pays de Galles, on fait comme aux Etats-Unis, on présente des excuses nationales dès que l’on a porté atteinte à l’image de la nation ou bien pour des broutilles, comme Bill Clinton après l'affaire Monica. Ce n’est pas en France et certainement pas DSK qui irait s’excuser pour ça. Bref. Le jeune ouvreur, Dan Biggar, donné en pâture à la presse galloise à la fin de la rencontre, semble maîtriser l’exercice : « On ne peut que s’excuser pour ça », sous-entendu pour cette première mi-temps catastrophique ponctuée d’un 30 à 3 pour l’Irlande après un essai de BOD au retour des vestiaires. .
« Nous avons mis bien trop de temps pour nous réveiller » continue le joueur. Manquant à plusieurs reprises des occasions de revenir au score. « On ne pouvait pas s’en sortir. » Biggar de mettre en parallèle, la belle réaction des siens en seconde période en vue du match face aux Français. « Heureusement il y a des choses positives que nous pouvons emmener à Paris sinon le voyage aurait pu être long. » Cela promet en tout cas une rencontre des plus relax.
Sources : BBC
En attendant de trouver une solution à leurs maux, les joueurs gallois s’excusent. Oui car au Pays de Galles, on fait comme aux Etats-Unis, on présente des excuses nationales dès que l’on a porté atteinte à l’image de la nation ou bien pour des broutilles, comme Bill Clinton après l'affaire Monica. Ce n’est pas en France et certainement pas DSK qui irait s’excuser pour ça. Bref. Le jeune ouvreur, Dan Biggar, donné en pâture à la presse galloise à la fin de la rencontre, semble maîtriser l’exercice : « On ne peut que s’excuser pour ça », sous-entendu pour cette première mi-temps catastrophique ponctuée d’un 30 à 3 pour l’Irlande après un essai de BOD au retour des vestiaires. .
« Nous avons mis bien trop de temps pour nous réveiller » continue le joueur. Manquant à plusieurs reprises des occasions de revenir au score. « On ne pouvait pas s’en sortir. » Biggar de mettre en parallèle, la belle réaction des siens en seconde période en vue du match face aux Français. « Heureusement il y a des choses positives que nous pouvons emmener à Paris sinon le voyage aurait pu être long. » Cela promet en tout cas une rencontre des plus relax.
Sources : BBC