XV de France
« Je ne sais pas trop si je dois en parler... ». Au lendemain de la victoire face au Pays de Galles, Marc Lièvremont a quelque chose qui le démange et qui l'énerve. Les personnes présentes à la conférence de presse se demandent alors si le sélectionneur va protéger son groupe ou bien lâcher le problème... Bingo ! Le Catalan ne déroge pas à ses habitudes et se montre entier. Après tout, c'est sa dernière semaine dans la peau du sélectionneur de l'équipe de France.
« J'avais demandé aux joueurs de ne pas sortir et j'ai appris que certains étaient sortis. On en a parlé ce dimanche. Je leur ai dit ce que je pensais d'eux, que c'était des sales gosses indisciplinés, désobéissants et égoïstes parfois. Ils sont toujours à râler, à se plaindre et ils me 'les cassent' depuis quatre ans> ». Marc Lièvremont souhaite que ses joueurs soient totalement concernés à sept petits jours de la finale. Le souvenir de la finale perdue en 1999, comme joueur, est encore vif dans l’esprit de l'entraîneur : « Nous avions passé quatre jours à fêter la demi-finale et n'étions jamais entrés dans notre préparation. Je ne veux pas revivre la même chose. »
« En même temps, on est en finale. Il faut croire au destin, à l'irrationnel si l'on s'en réfère au match d'hier. Cette soirée, c'est un détail, ce n'est pas très important. Ce ne sont pas quelques clopes fumées en cachette, deux ou trois bières, ou un dessert en plus qui vont nous handicaper pour la finale ». Un dernier coup de gueule adressé aux joueurs les moins sérieux du groupe. Verra-t-on une surprise dans la composition d'équipe pour la finale ? Il a toutefois tenu à atténuer ses propos en direct sur TF1 ce matin.
« J'avais demandé aux joueurs de ne pas sortir et j'ai appris que certains étaient sortis. On en a parlé ce dimanche. Je leur ai dit ce que je pensais d'eux, que c'était des sales gosses indisciplinés, désobéissants et égoïstes parfois. Ils sont toujours à râler, à se plaindre et ils me 'les cassent' depuis quatre ans> ». Marc Lièvremont souhaite que ses joueurs soient totalement concernés à sept petits jours de la finale. Le souvenir de la finale perdue en 1999, comme joueur, est encore vif dans l’esprit de l'entraîneur : « Nous avions passé quatre jours à fêter la demi-finale et n'étions jamais entrés dans notre préparation. Je ne veux pas revivre la même chose. »
« En même temps, on est en finale. Il faut croire au destin, à l'irrationnel si l'on s'en réfère au match d'hier. Cette soirée, c'est un détail, ce n'est pas très important. Ce ne sont pas quelques clopes fumées en cachette, deux ou trois bières, ou un dessert en plus qui vont nous handicaper pour la finale ». Un dernier coup de gueule adressé aux joueurs les moins sérieux du groupe. Verra-t-on une surprise dans la composition d'équipe pour la finale ? Il a toutefois tenu à atténuer ses propos en direct sur TF1 ce matin.