"Ce mardi aura lieu une nouvelle réunion entre la LNR et la FFR... Que se passera-t-il en cas de refus ?" Le premier refus ? Ceux des clubs professionnels d'accueillir deux pensionnaires de Fédérale 1 pour la rentrée 2020. Le second refus ? Le déblocage d'une aide en faveur de ce championnat. Une attitude fustigée par Frédéric Michalak dans une lettre ouverte publiée sur son compte Twitter.
Actionnaire du club de Blagnac, l'ancien n°10 du XV de France est directement concerné par le futur d'une Pro D3 qui pourrait finalement comporter... quatorze clubs, si elle venait à être officialisée. "Que se passera-t-il en cas de refus ? Certainement un gros danger encouru par les clubs fédéraux en cas d'abandon total de la Fédérale 1, celui de voir se refermer à jamais la passerelle avec le monde pro." S'il défend forcément les siens, Michalak est également au soutien de cette passerelle avec le monde pro et ce monde semi-amateur qu'est devenu la Fédérale 1.
Le championnat ''National'' officialisé ce vendredi ? 13 clubs invités ?Douze, puis treize, et désormais quatorze formations : les semaines passent, et les contours de ce championnat National évoluent. Selon Le Dauphiné Libéré, il pourrait finalement y avoir le même nombre d'équipes que dans l'élite du rugby français, "même si rien n'est encore acté, rapporte le journal. Certains dirigeants seraient favorables à ce contingent de 14 clubs, afin de mieux se préparer à la Pro D2, qui en comporte 16. Cela permettrait également d’éviter d’avoir un club exempt à chaque journée."
Alors, quel futur pour la Pro D3/National ? Reste à savoir s'il y aura un futur...
Chers ami(e)s, vous trouverez une lettre ouverte adressée aux clubs pros, @LNRofficiel @FranceRugby qui auront une grande responsabilité pour l'avenir du rugby. Renier le monde amateur, c'est renier ses origines, son ADN, ses fameuses "valeurs" du rugby. Place à l'union SVP ! pic.twitter.com/ROTUvFtJw8
— Fred Michalak (@michalakfred) June 1, 2020
lelinzhou
Et lycée de Versailles la meva gallina !
ced
la solution se trouve là où va le pognon