Arrivé l’été dernier en provenance du Stade Toulousain avec l’étiquette de grand espoir, Johnson Falefa a semblé tout mettre en œuvre pour devenir une « persona non grata » du côté d’Agen. Ce mardi le club a annoncé la mise à pied de son pilier pour une durée de 10 jours suite à un comportement jugé « irresponsable » de sa part. Un nouvel épisode de la saga Falefa qui n’amuse personne en terre agenaise…
Arrivé à Armandie avec vingt jours de retard et autant de kilos en trop sur la balance (156 kilos) début juillet, le joueur s’est depuis davantage distingué par son dilettantisme et ses frasques sur Twitter que par ses performances sur le pré. Couché seulement à trois reprises sur la feuille de match pour une seule titularisation (face à Bordeaux-Bègles et il avait été sorti à la 30ème minute de jeu), le Samoan n’a pas la confiance du staff et exaspère au plus haut point ses dirigeants et surtout Philippe Sella. Le directeur du rugby du SUA a ainsi résumé sa décision au quotidien Sud-Ouest : « Il n'a pas fait suffisamment d'efforts pour être dans le groupe et a fait des erreurs supplémentaires, il est puni. ».
Certes ses performances ne sont pas au niveau des espoirs entrevus lors de ses quelques sorties avec Toulouse, mais ce qui est surtout reproché au joueur c’est son comportement hors du terrain. Début septembre, il avait raillé ses partenaires qui venaient d'encaisser un cinglant (62-13) à Toulouse via son compte Twitter et rebelote en début de semaine avec ce Tweet que les dirigeants agenais auront certainement apprécié :
Merci à Cédric pour l'image
Comprenez : « Agen a fait le mauvais choix, c'est que de la merde, j'enclenche le #beast mode maintenant ». Face à ce comportement indigne, son soi-disant cousin ou oncle ou on-ne-sait-plus-trop-ce-qui-a-pu-être-dit, le pilier droit Toulousain Census Johnston a tenu à rappeler par le biais du même réseau communautaire qu’il « n’avait pas à être associé avec cette personne, qu’il n’avait rien à voir avec lui ». Au moins maintenant les choses sont claires…
Après s’être mis le staff, les dirigeants et ses coéquipiers à dos et après être devenu la tête de turc de tous les supporters, Jonhson Falefa pourrait bien voir ses jours comptés du côté d’Armandie. La mise à pied pourrait en effet déboucher sur des conséquences plus importantes et définitives pour l'intéressé. En outre, une rupture de contrat aurait été évoquée même si Philippe Sella ne souhaite pas, pour le moment, en arriver là : « Pour l'instant, il fait toujours partie de l'effectif, assure l’ancien trois-quarts centre. Mais après son retard, ses problèmes de sur-poids et cette sanction pour son comportement, il connaît les conditions pour rester avec nous et le règlement. Il est affecté par cette situation, mais il sait aussi ce qu'on attend de lui. ». Une chose est sûre, Agen n’est pas prêt à revivre la feuilleton Caucaunibuca et fera le nécessaire pour préserver son groupe. Avec la montée en puissance de son compatriote Viliamu Afatia, le retour de blessure de Gert Muller, et la présence de Jonathan Garcia, le SUA peut voir venir au poste de pilier et n’accordera aucun cadeau au pilier samoan. Le torchon est donc déjà bien consumé, mais le joueur a encore quelques cartes en main pour prouver qu’il a sa place au sein du club. Encore faudrait-il qu’il en ait l’envie…
Arrivé à Armandie avec vingt jours de retard et autant de kilos en trop sur la balance (156 kilos) début juillet, le joueur s’est depuis davantage distingué par son dilettantisme et ses frasques sur Twitter que par ses performances sur le pré. Couché seulement à trois reprises sur la feuille de match pour une seule titularisation (face à Bordeaux-Bègles et il avait été sorti à la 30ème minute de jeu), le Samoan n’a pas la confiance du staff et exaspère au plus haut point ses dirigeants et surtout Philippe Sella. Le directeur du rugby du SUA a ainsi résumé sa décision au quotidien Sud-Ouest : « Il n'a pas fait suffisamment d'efforts pour être dans le groupe et a fait des erreurs supplémentaires, il est puni. ».
Certes ses performances ne sont pas au niveau des espoirs entrevus lors de ses quelques sorties avec Toulouse, mais ce qui est surtout reproché au joueur c’est son comportement hors du terrain. Début septembre, il avait raillé ses partenaires qui venaient d'encaisser un cinglant (62-13) à Toulouse via son compte Twitter et rebelote en début de semaine avec ce Tweet que les dirigeants agenais auront certainement apprécié :
Merci à Cédric pour l'image
Comprenez : « Agen a fait le mauvais choix, c'est que de la merde, j'enclenche le #beast mode maintenant ». Face à ce comportement indigne, son soi-disant cousin ou oncle ou on-ne-sait-plus-trop-ce-qui-a-pu-être-dit, le pilier droit Toulousain Census Johnston a tenu à rappeler par le biais du même réseau communautaire qu’il « n’avait pas à être associé avec cette personne, qu’il n’avait rien à voir avec lui ». Au moins maintenant les choses sont claires…
Après s’être mis le staff, les dirigeants et ses coéquipiers à dos et après être devenu la tête de turc de tous les supporters, Jonhson Falefa pourrait bien voir ses jours comptés du côté d’Armandie. La mise à pied pourrait en effet déboucher sur des conséquences plus importantes et définitives pour l'intéressé. En outre, une rupture de contrat aurait été évoquée même si Philippe Sella ne souhaite pas, pour le moment, en arriver là : « Pour l'instant, il fait toujours partie de l'effectif, assure l’ancien trois-quarts centre. Mais après son retard, ses problèmes de sur-poids et cette sanction pour son comportement, il connaît les conditions pour rester avec nous et le règlement. Il est affecté par cette situation, mais il sait aussi ce qu'on attend de lui. ». Une chose est sûre, Agen n’est pas prêt à revivre la feuilleton Caucaunibuca et fera le nécessaire pour préserver son groupe. Avec la montée en puissance de son compatriote Viliamu Afatia, le retour de blessure de Gert Muller, et la présence de Jonathan Garcia, le SUA peut voir venir au poste de pilier et n’accordera aucun cadeau au pilier samoan. Le torchon est donc déjà bien consumé, mais le joueur a encore quelques cartes en main pour prouver qu’il a sa place au sein du club. Encore faudrait-il qu’il en ait l’envie…
On n'est pas couchés
couché sur la feuille de match?
ced
sorry for the mistakes my dear, the language of the queen is not mine.
en catalan j'aurai dis "aquest es pas axurit !"
à cette allure je te parle le japonais à noël.
Nicolas Rousse
@Kadova : la fatique se fait sentir hein ? 🙂
Allez tiens pour la forme, j'en rajoute un, j'aurais dit "my bad", et en Catalan Ced, ça donne quoi ? Que de polyglottes sur cette conversation !
Kadova
WHAT else Ced, voyons...
Ici on dirait plutot "sorry, my mistake"
M'est avis qu'ils sont fatigues au Rugbynistere, en ce moment
🙂
ced
"mea culpa" je traduirai par "it's my fault", wath else ?
Threma
Pas de souci ;-D
Nicolas Rousse
@Threma : à faire le malin et à aller trop vite j'ai pas lu le hashtag, mea culpa, tu as tout à fait raison, merci pour la correction... On rame, mais on va y arriver...
Merci encore !
Threma
En fait toute la trad est fausse. Pour "It's about that time now #beastmodeon", il faut comprendre "à partir de maintenant j'enclenche le "#beast mode""...
Nicolas Rousse
@Lincoln U barbarians et @Pierre : vous avez raison les anglophones ! Cette traduction est carrément dégueulasse, j'approuve les commentaires ! C'est ça de venir lire les articles qui sont encore sur la liste de relecture ! (fallait bien trouver un truc pour se défendre sur une approximation pareille hein)
Allez, la rédaction est avertie, plus le droit à l'erreur 😉
Pierre
Exactement !
cela veut dire: c'est n'importe quoi!
paulesteve
m'enfin ça change pas fondamentalement l'histoire du mec..
paulesteve
euh j'aurai plutot traduit 'its all rubish" par "c'est de la merde" que "ce sont des ordures"...