Après une saison en Top 14, c’est l’heure des premiers bilans pour l’ouvreur gallois de Perpignan James Hook. Arrivé après la Coupe du monde, le joueur a trouvé un club en grandes difficultés, qui ne s’est maintenu qu’après une fin de championnat au couteau. Un maintien auquel James Hook, souvent titularisé à l’ouverture, n’est pas étranger.
Un positionnement au poste d’ouvreur que le joueur espérait pour se relancer en sélection : « Je joue ouvreur en club ce qui m’aidera au niveau international. C’est plus difficile pour les sélectionneurs de te mettre 10 si tu n’y joues pas en club ».
James Hook aura une première indication cet été lors de la tournée australienne du Pays de Galles, lui qui peut évoluer à presque tous les postes de la ligne arrière. « C’est évidemment aux entraîneurs d’en décider. Comme toujours, je ne refuserais jamais une opportunité de jouer pour le Pays de Galles, quel que soit le poste où l’on me place », ajoute-t-il.
Son point fort, qui est aussi son point faible, est sa polyvalence. Lors de ses dernières apparitions en sélection, c’est au poste d’arrière qu’il a fait parler ses qualités. Avec l’émergence de Rhys Priestland et le retour de Dan Biggar, la concurrence à l’ouverture risque d’être forte.
Le joueur dit avoir appris de sa saison en Catalogne : « J’ai appris beaucoup, surtout dans la deuxième partie de saison. Ce n’était pas toujours marrant, mais c’était bon pour moi de jouer des matchs cruciaux, d’essayer de gagner des matchs ». Pour lui, il n’y a pas de regrets à avoir d’avoir signé à Perpignan : « C’est un club de qualité. On peut le voir avec le public et l’intérêt pour le rugby qu’il y a ici ».
Un positionnement au poste d’ouvreur que le joueur espérait pour se relancer en sélection : « Je joue ouvreur en club ce qui m’aidera au niveau international. C’est plus difficile pour les sélectionneurs de te mettre 10 si tu n’y joues pas en club ».
James Hook aura une première indication cet été lors de la tournée australienne du Pays de Galles, lui qui peut évoluer à presque tous les postes de la ligne arrière. « C’est évidemment aux entraîneurs d’en décider. Comme toujours, je ne refuserais jamais une opportunité de jouer pour le Pays de Galles, quel que soit le poste où l’on me place », ajoute-t-il.
Son point fort, qui est aussi son point faible, est sa polyvalence. Lors de ses dernières apparitions en sélection, c’est au poste d’arrière qu’il a fait parler ses qualités. Avec l’émergence de Rhys Priestland et le retour de Dan Biggar, la concurrence à l’ouverture risque d’être forte.
Le joueur dit avoir appris de sa saison en Catalogne : « J’ai appris beaucoup, surtout dans la deuxième partie de saison. Ce n’était pas toujours marrant, mais c’était bon pour moi de jouer des matchs cruciaux, d’essayer de gagner des matchs ». Pour lui, il n’y a pas de regrets à avoir d’avoir signé à Perpignan : « C’est un club de qualité. On peut le voir avec le public et l’intérêt pour le rugby qu’il y a ici ».
ced
sans prise de position, objectivité oblige, tout ce que dis cet homme est vrai.
ce qui est flagrant c'est qu'il a pris de l'assurance à ce poste et ça c'est vu sur la 2e partie du championnat.