Vous n’avez pas pu le rater, son nom est sur toutes les bouches de Nouvelle-Zélande et d’ailleurs depuis le mois de juin. Il faut dire qu’avec son gabarit de frigo américain (1m84 pour 107kg), ses longs cheveux ébouriffés et ses courses tranchantes, difficile de passer à côté de Caleb Clarke. D’autant que s’il est discret en dehors, l’ailier des Blues n’hésite pas à être au centre de l’attention une fois sur le pré. A croire qu’entre son look, ses cuisseaux épais comme des poteaux et sa vitesse de super-héros (meilleur chrono établit à 11 secondes au 100 mètres durant ses années lycée), Clark(e) porte bien son nom.
Déjà, comme d’autres avant lui à l’image de Owen Farrell ou Romain Ntamack, Caleb Clarke fait partie de ces garçons qui ont baigné dans le rugby depuis tout petit, notamment grâce à l’environnement familial. En effet, son père n’est autre qu’Eroni Clarke, le célèbre ailier des All Blacks et d’Auckland durant les années 90, originaire des Samoa mais qui avait préféré choisir la tunique à la fougère argentée à l’époque. Un visage bien connu dans l’archipel kiwi, que les écrans géants de l’Eden Park n’avaient d’ailleurs pas hésité à diffuser en gros plan et tout sourire lors de la première titularisation de son fils sous le maillot noir dans l’écrin des Blacks, face à l’Australie en octobre dernier.
lelinzhou
Au hasard : un rugbyman ?