Selon le CS Bourgoin-Jallieu, la commission supérieure de la DNACG a validé mercredi son accession en Pro D2. Actée par une victoire en demi-finale de Fédérale 1 devant Montauban (10-18, 22-9), celle-ci avait cependant été suspendue par le gendarme du rugby français suite à un nouveau déficit dans les compte du club nord-isérois. Les dirigeants du CSBJ devaient ainsi apporter à l’instance financière des justificatifs de recettes à hauteur de 250.000 euros pour combler le trou et des garanties quant au budget prévisionnel de la saison prochaine estimé à 3 millions d'euros. Une fin de saison stressante pour l’ancien pensionnaire du TOP 14, relégué sportivement en Pro D2 au terme de l’exercice 2010-2011 puis administrativement en Fédérale 1 la saison suivante.
Un dénouement heureux pour Bourgoin qui ne fait cependant pas oublier les difficultés rencontrées par bon nombre de clubs ces dernières années. Le rapport de la DNACG pour la saison 2011-2012, récemment publié par la LNR, est d’ailleurs clair sur le fait que « le déficit d’exploitation continue de se creuser » au fil des années. Comprenez, les dépenses des clubs du Top 14 sont plus importantes que les recettes. Selon ledit rapport, « neuf d’entre eux [subissent] une perte d’exploitation de plus d’un million d’euros, et seulement trois clubs affichant un résultat d’exploitation positif ou à l’équilibre. » Soit une perte globale dépassant 13 millions d’euros. « Un « record » des plus alarmants » même si la moitié des clubs de l’élite reste bénéficiaire en 2011-2012.
Un dénouement heureux pour Bourgoin qui ne fait cependant pas oublier les difficultés rencontrées par bon nombre de clubs ces dernières années. Le rapport de la DNACG pour la saison 2011-2012, récemment publié par la LNR, est d’ailleurs clair sur le fait que « le déficit d’exploitation continue de se creuser » au fil des années. Comprenez, les dépenses des clubs du Top 14 sont plus importantes que les recettes. Selon ledit rapport, « neuf d’entre eux [subissent] une perte d’exploitation de plus d’un million d’euros, et seulement trois clubs affichant un résultat d’exploitation positif ou à l’équilibre. » Soit une perte globale dépassant 13 millions d’euros. « Un « record » des plus alarmants » même si la moitié des clubs de l’élite reste bénéficiaire en 2011-2012.