Selon les informations du média britannique Daily Mail, les problèmes n’en finissent plus pour les clubs de Premiership.
Face aux difficultés financières liées à la pandémie de Covid-19, les équipes de première division anglaise ont dû contracter des prêts fournis par le gouvernement pour survivre.
Un soulagement temporaire puisque ces prêts sont arrivés à échéances et que les clubs doivent débourser un montant de 175 millions d’euros.
Une somme trop importante pour les acteurs de Premiership, les dirigeants ont demandé le report de la date du remboursement. Une option qui n’arrange guère le gouvernement en place selon les révélations du Daily Mail.
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Le rugby anglais en crise
D’autant plus que les écuries de Premiership ne disposent pas de beaucoup de garanties pour assurer ce remboursement.
Le dépôt de bilan de clubs historiques comme les London Wasps, Worcester et les London Irish, est le symbole d’une crise sanitaire qui a frappé de plein fouet une économie anglaise déjà bien malade.
Si on rajoute à cela la chute des droits télés du championnat, le départ de stars du XV de la Rose comme Owen Farrell, Billy Vunipola, Courtney Lawes ou encore Manu Tuilagi, l’avenir de la Premiership est loin d’être tout rose.
RUGBY. Au milieu de la faillite anglaise, ce club légendaire va-t-il redevenir un ogre européen ?
Rare éclaircie dans le sombre ciel anglais, les performances de certains clubs en Coupe d’Europe. Northampton, les Harlequins, Saracens, Exeter et Bath se sont qualifiés pour les phases finales de la Champions Cup. Avec l’apport de joueurs comme Finn Russell et Ollie Lawrence, Bath est d’ailleurs une des équipes les plus plaisantes à voir jouer cette saison.
Gio-nemanquaitpas-d'Aplon
Bof, ton banquier, ce saint homme,
rachète et reechelone tes mensualités, abracadabra....et c'est reparti!!! a plat ventre dans les excès,
Jusqu'à la prochaine fois...
"Oui mon père, pardonnez moi j'ai encore pêché, etc..."
Cyclotherapon
Sauf quand ton banquier est le gouvernement qui a besoin de liquidités pour lui-même faire perdurer l'illusion un peu plus longtemps...
Gio-nemanquaitpas-d'Aplon
Certes. Ma saillie concernait plutôt les particuliers, ces phénomènes de surconsommation attisant la jalousie des voisins, ce qui me rend chèvre,
Voisins finissant par craquer eux aussi, et pieusement abandonner une partie de leur âme au saint Père pour pouvoir faire de même,
Etc, etc, bref absolument hors sujet, (quoique?)
avec mes excuses
pascalbulroland
On parle de la dette des clubs Anglais, mais aucun clubs Français ne fait des bénéfices ou gagnent de l'argent...j'dis ça
Quand on voit La Rochelle qui fait tous ses matchs à domicile depuis au moins 7 ans à guichets fermés et que ça ne suffit pas à dégager un "petit" plus financier, je comprends malheureusement pourquoi on ne passe pas à un top 12...
Cyclotherapon
Il est bien sur possible d'investir dans un club pro pour dégager un profit mais c'est rare. Dans les cas ou c'est un investissement financier, le but est généralement plutôt de faire monter le club en prestige pour faire une plus-value a la revente a un investisseur qui investit pour des raisons non-financières, en tout cas directement (investissement de "vanité", marketing, politique, géopolitique, etc.), que de faire des profits réguliers. C'est évidemment surtout un type d'investissement que l'on voit dans le foot en Europe et dans les sports majeurs aux Etats-Unis, au rugby je n'ai pas d'exemple qui me vienne a l'esprit au niveau des clubs. L'investissement de CVC dans le 6 Nations a lui une optique clairement financière, par contre, c'est certain.
Un modèle économique visant l'équilibre des comptes ne me semble pas du tout problématique, c'est viable, et l'on pourrait même considérer que c'est le modèle "idéal" dans le domaine du sport.
LAmiDeTous
Les grands sports étatsuniens sont gérés par une agglomération de commerces et des syndicats de joueurs, l'objectif est le profit. Pas une surprise si ce secteur est régulièrement secoués par des grèves avec des conflits sur la répartition du gâteau. Les franchises sont profitables et revendues sur la base d'une valorisation. Il y a des projections de croissance.
L'économie du football s'articule autour des transferts, les clubs vendeurs sont les profitables et les clubs acheteurs moins.
Cyclotherapon
Non les sports étatsuniens ne sont pas gérés par "une agglomération de commerces et des syndicats de joueurs". Les ligues sont gérées par les propriétaires des franchises ou leurs représentants. Les franchises sont gérées par leur(s) propriétaire(s) et/ou représentants. Les syndicats de joueurs représentent les intérêts de ces derniers sur le sujet des salaires et conditions de travail, et éventuellement dans les conflits que peuvent avoir les joueurs avec leurs employeurs ou la ligue (dans le cas d'une sanction par exemple). Ils ont donc purement un rôle de syndicat, ils ne sont pas associés a la gestion, que ce soit des franchises ou de la ligue.
Oui l'objectif est le profit, la plupart (toutes?) des franchises sont rentables.
Les grèves ne sont pas fréquentes. Le dernier lockout était en 2011 pour la NFL et la NBA, 2012-13 pour la NHL. Pour la MLB 2021-22 mais avant cela il n'y en avait pas eu depuis 1994-95.
Tout ce qui est vendu l'est sur la base d'une valorisation. Les clubs de rugby aussi. Sinon c'est gratuit et donc pas vendu mais donné. CQFD.
L'économie du football ne s'articule absolument pas autour des transferts mais des droits TV, partenariats commerciaux, ventes de billets et merchandising principalement. Les transferts peuvent permettre de combler un déficit opérationnel, mais ne représentent qu'une petite part du compte de résultat d'un club, en tout cas pour les gros clubs - certains clubs ont certes opté pour un modèle qui repose sur les plus-values de transfert, mais ce sont généralement des clubs mineurs, pas les clubs majeurs.
LAmiDeTous
La masse salaire ne pèse que peu sur le budget d'une franchise et le droit de grêve exercé ne participe en rien de la gestion de l'activité.
Les grèves ne sont pas fréquentes et.
Les arguties, les bouts de rien.
Cyclotherapon
LOL!!!
Amis à Laporte
C'est pas grave, les Saoudiens vont raquer et récupérer les clubs pour une bouchée de pain ?
LAmiDeTous
Improbable. Les sociétés libérales distinguent au moins deux types d'investisseurs, les investisseurs à qui on fait des ponts d'or pour qu'ils investissent et les investisseurs qui doivent faire des ponts d'or pour qu'on leur offre la grâce de dépenser leur argent.
Les Saoudiens sont du deuxième type et devront s'acquitter de surcoûts (y compris programmes sociaux) pour entrer dans le rugby anglais.
pascalbulroland
Vendre ton sport à des fonds de pension ou à des fonds privés prouve la gabegie qu'est l'économie de pas mal de pays car elle pousse à cela...
On en est qu'au debut, mais j'ai peur pour l'avenir...
Cyclotherapon
Je suis d'accord que l'arrivée d'investisseurs a la logique purement financière dans le sport n'est pas une bonne chose de manière générale (je ne pense pas que ce soit systématiquement négatif non plus). D'un autre coté je ne pense pas que ce soit le rôle du secteur public d'investir dans et de gérer des clubs pro. On pourrait déjà arguer que certaines subventions et aides sont excessives, même si un club pro est un objet de fierté et d'appartenance pour de nombreux électeurs...
A mon avis cela illustre plutôt la dérive du mécénat... Quand un mécène fait vivre un club au-dessus de ses moyens, le club dépend de son bon vouloir et c'est la gueule de bois quand le mécène disparaît et/ou se lasse... C'est alors une situation très difficile car les supporters, souvent peu au fait des réalités économiques, ont développé des attentes sportives en inadéquation avec la capacité économique "réelle" ou viable du club, et n'acceptent pas forcément de rentrer dans le rang, ce qui crée une situation conflictuelle et risque de faire rentrer le club dans une spirale négative. Le meilleur exemple récent est Biarritz (et non je ne pointe pas du doigt Gave mais plutôt les précédents mécènes), et le même scénario pend au nez de Toulon, même si Lemaitre semble conscient de la nécessité de ramener les comptes a l'équilibre et que Toulon est une plus grande ville avec peu de concurrence dans la région, donc dans une meilleure situation que Biarritz.
pascalbulroland
Et encore, on ne parle pas des droits tv...
LAmiDeTous
Une fois encore, la distinction entre le propriétaire et les supporters est incorrecte, les deux agissent comme mécènes.
C'est la hauteur du mécénat de chaque partie qui pèse, il faut une fuite de milliers de supporters pour égaler la fuite d'un propriétaire.
Il y a circularité avec les résultats sportifs car leur manque fait fuir les supporters, le propriétaire est donc pris dans la nasse. Il doit dépenser pour maintenir le mécénat des supporters.
C'est l'une des grandes réussites du foot anglais avec sa politique des stades pleins. Cette ligue est moins tributaire des aléas sportifs, des clubs qui gagnaient beaucoup peuvent perdre longtemps sans que cela les affecte outre mesure. Inconcevable dans le rugby français où il y a une forte notion d'ordre social, pour la sérénité des ménages, ce sont les mêmes qui doivent rester en haut.
Cyclotherapon
Une fois encore, tu racontes essentiellement n'importe quoi. Je ne sais même pas ce que ton dernier paragraphe veut dire (politique des stades pleins? En quoi est-ce une politique? Un stade plein peut être la conséquence d'une politique, mais en aucun cas ce n'est une politique... connais-tu même le sens de ce mot?).
Je ne réponds même pas pour toi mais pour d'autres lecteurs qui pourraient être tentés de croire que tu as une quelconque idée de ce que tu racontes puisque c'est asséné avec un aplomb franchement stupéfiant:
Non les supporters ne sont pas des mécènes. Si tu t'étais acheté un dictionnaire comme je te l'ai conseillé par ailleurs, tu saurais que le mécénat se définit comme "un soutien financier, humain ou matériel apporté sans contrepartie directe". A la rigueur les quelques supporters qui sont engagés bénévolement dans des activités liées au club peuvent être considérés comme tels, mais c'est une minorité. La majorité des supporters qui se contentent d'acheter des places, des maillots etc. rapportent de l'argent au club certes mais ce n'est pas du mécénat, il y a une contrepartie directe aux sommes qu'ils déboursent.
Evidemment qu'il y a un lien entre résultats et revenus, mais ça fait partie de la spirale négative a posteriori dont je parle. S'il n'y a pas un mécène au départ pour faire vivre le club au dessus de ses moyens, la question ne se pose pas. Et ce lien n'est pas que du fait des supporters mais des droits TV, partenariats, etc.
LAmiDeTous
Au passage, si on veut discuter sémantique, alors on peut commencer par l'utilisation de mécène pour parler de ces propriétaires de club qui acceptent de perdre de l'argent par passion, par calcul etc
Le terme en lui même est mal employé.
LAmiDeTous
La sémantique, une spécialité des sociétés libérales...
Donc, par concision, on parle d'une politique des stades pleins, formulation qui remplit sa tâche et non pas d'une politique visant à assurer des stades remplis ou qu'importe.
Ca préfère regarder ailleurs.
Quant à la remarque sur le mécénat, quelles sont ces contreparties auxquelles un propriétaire de clubs n'a pas accès en rapport au mécénat des supporters qui, eux, auraient accès à des contreparties directes.
Vivre au dessus de ses moyens, déjà répondu à plusieurs reprises, les clubs vivent dans leurs moyens tant que les parties engagées sont solvables. Ce qui est en général le cas.
Cyclotherapon
"La sémantique, une spécialité des sociétés libérales".
Bravo. La c'est de l'art. Ton obsession avec les sociétés libérales me semble pathologique, il faut aller voir quelqu'un. 😄
"Donc, par concision, on parle d'une politique des stades pleins, formulation qui remplit sa tâche et non pas d'une politique visant à assurer des stades remplis ou qu'importe." --> si quelqu'un comprend ce que ça veut dire, je suis preneur d'une traduction. Je me creuse la tete.
LAmiDeTous
Ce que ça veut dire; politique de l'autruche, politique de la chaise vide etc S'attarder sur l'expression politique des stades pleins, il n'y avait rien. Une argutie vide.
Cyclotherapon
Toujours pas, désolé.
Jak3192
Fond de pension....
CVC en est il un ? Il me semble
N'est ce pas un des sponsors du rugby?
Cyclotherapon
CVC est une société de gestion de fonds de Private Equity (principalement). Ils comptent de nombreux fonds de pension parmi leurs investisseurs, entre autres (compagnies d'assurances, individus fortunés, etc.) mais ils n'en sont pas un eux mêmes.
Jak3192
Merci de ce détail important
La corrélation n'en est que au moins aussi pire.
Ce n'est pas un fond de pension, ils n'en sont donc que les gestionnaires. C'est bien ça ?
CVC est donc un intermédiaire entre les détenteurs de l'argent, et ceux à qui il va être prêté.
Et au passage, à moins d'être une entreprise caritative (😄), ils prennent un pourcentage
Donc, si ce n'est un fond de pension, ils en sont cousin proche
Non ?
Car au passage, CVC
Cyclotherapon
C'est effectivement un gestionnaire, généralement ils prennent une commission fixe + un % des profits pour faire simple (commission de performance). Les fonds de pension leur confient une partie de leurs encours a gérer. Je ne sais pas si j'emploierais le terme cousin, ce sont plutôt des agents, ou des employés. Effectivement ce sont loin d’être des entreprises caritatives et pour avoir travaillé avec eux, durs en affaires au point d’être sans scrupules et d'adopter souvent des tactiques éthiquement douteuses, voire parfois légalement douteuses (mais ils comptent sur le fait que peu de leurs victimes ont la capacité et/ou la volonté de les affronter sur le plan légal).
Apres on vilifie beaucoup les fonds de pension en France, mais il ne faut pas oublier que ce sont essentiellement des caisses de retraite, souvent pour des employés lambda; ils n'ont de ressources énormes que parce qu'ils gèrent l'argent de beaucoup de gens, mais leurs "clients" ou souscripteurs, ne sont pour la plupart pas des gens fortunés. Ce ne sont pas nécessairement les "grands méchants" que beaucoup pensent. Ce n'est pas le lieu ici de débattre du système économique et financier, mais il faut savoir et admettre que c'est compliqué, a bien des niveaux, de juger du bien fondé de tel ou tel acteur.
Ceci étant dit, je pense personnellement que le sport ne devrait pas être dans leur champ d'investissement, mais c'est débattable. Tout dépend de ce que veulent les supporters. Ça peut faire grandir un club ou un sport mais ça peut aussi le détruire, c'est certain. Je pense que dans un système hybride ou les supporters et autres parties prenantes gardent un certain contrôle ça peut marcher. Le modèle du foot allemand semble intéressant par exemple. Je n'en suis pas un expert, mais de l'extérieur il semble permettre a leurs clubs d’être concurrentiels tout en limitant les abus financiers.
Jak3192
Excellent éclairage technique.
Perso, le fond de pension américain (et peut être ailleurs) tel que tu le décris est tout à fait comme je l'imagine.
Des travailleurs qui cotisent à une caisse privée. Une banque en quelque sorte, et qui restituent de l'argent à la retraite. Les tenants et les aboutissants de tout cela ne sont pas comme tu le précises, le lieu du débat sur le bien et le mal d'une telle structure.
(parenthèse - toutefois je suis pas sur qu'une telle structure soit mieux que la notre... et j'ajouterai: pourvu que notre système perdure pour mes petits enfants 😅 - fin de la parenthèse)
Elle existe et prend une part de l'action dans le capitalisme moderne.
C'est aussi un moyen de trouver de l'argent, mais c'est contre remboursement à ce que je crois avoir compris à travers CVC introduit par Nanard dans notre rugby francais.
Je crois que j'ai bon à la lecture de l'article suivant et c'est pas vieux.
https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/xv-de-france/rugby-le-fonds-d-investissement-cvc-preleve-aujourd-hui-14-des-revenus-reguliers-deplore-florian-grill-20240213
Et j'ai l'impression qu'il n y a pas que le rugby
https://maligue2.fr/2024/02/14/cetait-une-folie-de-signer-avec-cvc-a-la-federation-francaise-de-rugby-aussi-laccord-avec-le-fonds-dinvestissement-est-vivement-decrie/
Vu d'une certaine manière, pourrait-on dire que CVC et consorts sont des usuriers ? 😂
Cyclotherapon
Techniquement, ce sont des actionnaires et pas des créanciers, mais c'est a peu près ça. Je ne connais pas les détails de l'accord évidemment. La structure n'est pas tout a fait claire mais il semble qu'ils ont bien acheté des parts de la société qui gère le 6 Nations, et de la LFP par ailleurs. Apres cette histoire de revenus prélevés est atypique, classiquement un actionnaire ne prélève pas une partie des revenus mais a droit a sa part des profits, qui peuvent être distribués sous forme de dividendes ou conservés dans l'entreprise (pour réinvestissement ou simplement en réserve). Peut-être que l'accord a été structuré de la sorte car CVC est un actionnaire minoritaire et voulait s'assurer d'un rendement régulier (alors qu'en tant que minoritaire les autres actionnaires peuvent bloquer toute distribution de dividendes tant qu'ils le souhaitent sans que CVC ne puisse rien y faire). Attention a priori ce n'est pas un remboursement mais bien simplement une rémunération du montant investi (donc si tu compares a un prêt, l'équivalent des intérêts)! La finance moderne offre une variété infinie de structures donc sans avoir accès au contrat impossible de savoir exactement comment cela fonctionne mais ça semble être a peu prés cela. Je pense que CVC a promis une "expertise" commerciale pour "valoriser" le Tournoi et notamment négocier des droits TV a la hausse. Souvent leur "expertise" promise est un peu bidon, et bien naïf qui les croit. Ils n'ont pas fait de trop mauvaises choses avec la Formule 1 mais c'est bien sur très différent donc pas sur que les mêmes recettes soient applicables au rugby. Ce qui est rassurant c'est qu'ils ne détiennent qu'1/7 des parts donc cela ne semble pas irréversible. Mais vu ce qu'il a transpiré de l'accord financier négocié par Team Bernie pour obtenir la CdM, du moins si l'on croit ce qu'en dit Grill, il y a de quoi être inquiet sur la qualité de l'accord avec CVC. Avec un peu de chance les autres fédés avaient de meilleurs négociateurs, mais j'y crois moyen.
Pour ce qui est de l'usure, techniquement non puisque ce ne sont pas des créanciers, mais dans le sens d'une exigence de rendement que l'on peut juger démesurée, oui on peut voir cela comme quelque chose de proche.
Jak3192
De ce que je comprends, CVC prête de l'argent à court terme et se rembourse a partir de telle année dans un plafond financier chaque année et ce, négocié au depart.
Question : une fois la somme prêtée par CVC (+ intérêts je suppose), sortiront ils de structure ?
Like a Lion in Jau Zion
c'est très intéressant tout ce que tu nous racontes..
Merci!