RUGBY. TOP 14. Maxime Machenaud : ''J'avais envie de connaitre un stade plein tous les week-ends''A 32 ans, Maxime Machenaud s'est lancé un dernier défi du côté de l'Aviron bayonnais. Après un Brennus en 2016 et trois finales de Champions Cup avec le Racing 92, le demi de mêlée voulait changer d'air. Outre le challenge sportif, il avait besoin de jouer pour un club avec une grande ferveur populaire comme il le confie au Midi Olympique. "J’avais envie de découvrir d’autres émotions. C’est sûr qu’au Racing, on jouait les titres, mais la ferveur populaire, on ne la ressentait pas. L’émulation était entre nous, les joueurs. J’avais le fort désir de connaître une ville qui vit rugby." L'ambiance à Jean-Dauger, il connaît pour l'avoir goûté en tant qu'adversaire. Désormais, il va sentir les supporters bayonnais derrière lui. Il espère donc être à la hauteur des attentes.
Aux côtés de l'ancien clermontois Camille Lopez, son objectif sera de pérenniser le club dans l'élite après avoir chassé les titres avec la formation francilienne. "Certes, ça va changer. Mais je garde cette mentalité depuis dix ans de vouloir remporter tous les matchs. Et je crois qu'il ne faudra en galvauder aucun. Il y aura des exploits tous les week-ends." Machenaud ne manque pas d'ambition et il pourra compter sur la ferveur locale pour remplir ses objectifs. Premier rendez-vous dès la deuxième journée à domicile... face Racing 92. Comme par hasard.
Le demi de mêlée Maxime Machenaud est content d'évoluer dans un club avec une grosse ferveur populaire. Ce qu'il n'avait pas connu au Racing 92.
Forfac
Mouais, un peu facile quand on a fait presque toute sa carrière dans un club.
Je peux entendre ça d'un joueur qui fait une ou deux saisons au club mais là....
Que l'ambiance soit morne dans les deux clubs parisiens, ça n'a rien de nouveau, et ça s'explique assez facilement d'ailleurs.
Mais bon, il le savait en venant, et je pense qu'en 10 ans, il a eu tout le temps de s'en rendre un peu compte.
Enfin bref... Je lui souhaite une belle fin de carrière tout de même et suis curieux de voir ce que son association avec Lopez donnera.
dusqual
je pense pas que c'était un problème en soi mais qu'il avait peut être envie de le vivre autrement avant d'arrêter.
comme tu dis, il le savait avant et a eu le temps de le considérer à sa juste valeur en 10 ans.
j'ai pas l'impression que ce soit un reproche mais plus une volonté, maintenant que le gros de sa carrière est derrière lui, de vivre le rugby en mode un peu plus proche du traditionnel.
AKA
Je veux bien le croire! Mais maintenant qu' à Bayonne on a rangé la tenue rouge et blanche, une petite trempette dans l' Océan et aux choses sérieuses, car en l' absence de victoire la ferveur des socios Bayonnais va vite se refroidir...
coupdecasque
Rappelons nous de Lorenzetti augmentant les chants des supporters du racing dans les haut-parleur pour faire taire les toulousains, tout un programme !
cahues
Médisant ! .La ferveur présidentielle existait. Quand tu penses que Jacky a dansé sur les tables un soir de victoire au Camp Nou.
jojo7
Qu'il se méfie , la ferveur populaire est très versatile ! 😊 😊
pascalbulroland
Ah bon ? Il ne ressentait pas la ferveur populaire au Racing..? Etonnant non ? 😎