Début de coupe du monde réussi pour le XV de France. Après trois matchs, les Bleus dominent la poule A avec autant de victoires. Après la rencontre en demi-teinte contre l'Uruguay, les hommes de Fabien Galthié ont fait ce qu'il fallait contre la Namibie. Désormais, place à l'Italie pour sécuriser la première place.RUGBY. Thomas Ramos dans le Top 10 des meilleurs scoreurs du XV de France devant une légende
Au repos ce week-end, les Tricolores vont bénéficier de deux semaines de "repos" avant de retrouver les Transalpins à Lyon. Une période qui va être consacrée à soigner les bobos pour certains et à poursuivre la montée en puissance du collectif. Rien n'a été laissé au hasard par le staff et notamment par le sélectionneur en termes de préparation comme le confie Gaël Fickou au Midi Olympique.
Lors du dernier Tournoi, il savait que l’on serait moyens contre l’Italie, trop justes en Irlande mais que l’on serait au top pour le match en Angleterre. C’est la raison pour laquelle il a souhaité quatre matchs de préparation cet été, avant la Coupe du monde.
On peut donc s'attendre à voir des Tricolores reposés et déterminés contre l'Italie avant un quart de finale qui s'annonce ô combien relevé. C'est une nouvelle compétition qui va commencer au moment de phases finales.
Si le centre confie que les Bleus n'étaient pas près physiquement lors du choc à Dublin contre l'Irlande, ils sont désormais prêts à découdre. Que ce soit contre le XV du Trèfle ou les Springboks. "Après deux mois de préparation, cette différence physique n’existe plus."RUGBY. Les Tops et les Flops du XV de France après trois matchs de Coupe du mondeA ce niveau de la compétition, et on l'a vu lors de l'affrontement entre les Irlandais et les Springboks, ce n'est d'ailleurs pas au niveau physique ce fait la différence. Avoir un bon buteur est primordiale, mais il faut également être solide dans sa tête. Cette force mentale, les Tricolores l'ont déjà montré par le passé. Notamment face aux Boks et aux Australiens lors de la tournée de novembre 2022.
Il règne au sein de ce groupe une énorme solidarité et une fraternité rarement vues dans une équipe de France. "On a créé une famille. Je n’avais jamais ressenti ça avant, même en club, confie le Racingman. Avant, il y avait les clans de Toulousains, de Clermontois, de Parisiens… C’était spécial, quoi…". Désormais, Toulousains, Rochelais, Bordelais, etc., avancent tous dans le même sens. Avec un objectif commun, celui d'être champion du monde.XV de France. ''Des joueurs de haut niveau, mais pas des surhommes'', lance Reda Wardi à propos des Springboks
Jacques-Tati-en-EDF
Si il y a le clan des columérins !
noComment
Si j'osais ... maintenant qu'il n'y a plus de clermontois et 1 parisien, le groupe vit mieux 😊
Bises à tous mes amis clermontois
Jacques-Tati-en-EDF
No Comment !
Aristaxe
Cela dit, tu ne prends pas grand risque à associer Clermont avec la culture de la lose...
lebonbernieCGunther
La preuve: ils sont tous partis en vacances ensemble au camping cet été!
jojo7
En dehors des rencontres , qu'il y ait des clans , je veux bien . Finalement c'est humain . Les gens se retrouvent par affinités mais sur le terrain c'est une autre histoire . Quelle qu'aient été les situations je ne me suis jamais senti isolé ou abandonné . Si c'est différent aujourd'hui c'est que les mentalités ont drôlement évolué .
Jak3192
Si avec ça EN PLUS on n'est pas champion...
RUGBYDEOUF
Puisse t'il dire vrai !