Après la révolte d'une partie des joueurs du Racing Métro 92 contre Pierre Berbizier il y a quelques semaines, le Stade Français s'inspirerait-il de son voisin ? On peut le croire en tout cas si l'on en croit les bruits de couloirs rapportés par le Midol et L'Equipe. En effet, selon les deux journaux, l'entraîneur parisien Michael Cheika ne ferait pas l'unanimité au sein des joueurs, et même du personnel administratif du club.
En cause, les méthodes de Cheika et son omnipotence, qui réduirait notamment ses adjoints Mario Ledesma et Christophe Laussucq aux rôles de simples figurants. Son recrutement faisant la part belle aux étrangers et la trop grande confiance accordée à certains joueurs pas toujours performants sont également pointés du doigt.
Rappelons que le Stade Français a souvent connu des épisodes difficiles avec ses coachs étrangers et plus particulièrement australiens : John Connelly n'avait pas fait long feu au début des années 2000, puis Ewen McKenzie avait été licencié en 2009. Si la réputation de Cheika, champion d'Europe avec le Leinster en 2009, n'est plus à faire, pas certain que son caractère cadre avec un club au fonctionnement atypique comme le Stade Français.
Interrogé à ce sujet dans Jour de Rugby après la victoire du Stade Français face à Lyon (40-19), Cheika a confirmé à demi-mots ces rumeurs en affirmant qu'il était arrivé à Paris « pour faire gagner le Stade Français » et que certaines personnes pouvaient avoir été bousculées les changements qu'il souhaitait apporter au sein du club. Dans la même émission, le président Thomas Savare a lui assuré qu'il avait toute confiance en son manager australien, en affirmant qu'il serait toujours à la tête du club la saison prochaine...
En cause, les méthodes de Cheika et son omnipotence, qui réduirait notamment ses adjoints Mario Ledesma et Christophe Laussucq aux rôles de simples figurants. Son recrutement faisant la part belle aux étrangers et la trop grande confiance accordée à certains joueurs pas toujours performants sont également pointés du doigt.
Rappelons que le Stade Français a souvent connu des épisodes difficiles avec ses coachs étrangers et plus particulièrement australiens : John Connelly n'avait pas fait long feu au début des années 2000, puis Ewen McKenzie avait été licencié en 2009. Si la réputation de Cheika, champion d'Europe avec le Leinster en 2009, n'est plus à faire, pas certain que son caractère cadre avec un club au fonctionnement atypique comme le Stade Français.
Interrogé à ce sujet dans Jour de Rugby après la victoire du Stade Français face à Lyon (40-19), Cheika a confirmé à demi-mots ces rumeurs en affirmant qu'il était arrivé à Paris « pour faire gagner le Stade Français » et que certaines personnes pouvaient avoir été bousculées les changements qu'il souhaitait apporter au sein du club. Dans la même émission, le président Thomas Savare a lui assuré qu'il avait toute confiance en son manager australien, en affirmant qu'il serait toujours à la tête du club la saison prochaine...