Le Stade Français vit un début de saison visiblement bien compliqué. A la peine en Top 14, les coéquipiers de Julien Dupuy peinent dans leur jeu et tardent à trouver un rendement efficace (1 seule victoire en 4 matchs).
Si, sur le plan sportif, la situation n’a pas de quoi rassurer, la santé financière du club, elle, a de quoi alarmer.
Le 13 mars dernier, Thomas Savare, l’actionnaire principal, et un autre investisseur dont le nom n’a jamais été communiqué, avaient déjà épongé pour plus de 7 millions d'euros de dettes. Sans cette opération, le Stade Français aurait certainement coulé. Ce n'est pas pour autant que le club parisien est tiré d'affaire. Toujours dans le viseur de la DNACG, Savare devrait se voir obligé de réinjecter une nouvelle somme au capital de son club d’ici le 15 octobre, sous peine de se retrouver dans une situation très inconfortable.
La grande question est de savoir si Thomas Savare et sa société Oberthur sont en mesure de renflouer les caisses à l’infini. « Je ne pensais pas devoir mettre autant d’argent en si peu de temps » avouait même l’intéressé dans les colonnes de Midi Olympique hier.
Cette situation, pour le moins préoccupante, a fait naître ces derniers jours les plus folles rumeurs entourant l'avenir du club. On parle en effet beaucoup ici et là, d'un éventuel apport des Qataris, ou du moins d'un rapprochement avec le PSG. Thomas Savare en personne s’amuse à souffler le chaud et le froid concernant ces spéculations : « Il n’y a aucune discussion avec le Qatar et le club n’est pas à vendre » disait-il avant de mesurer ses propos « Si les Qataris veulent investir à nos côtés dans le Stade Français, ils seront les bienvenus comme beaucoup d’investisseurs. Mais pour l’instant, il n’y a rien. ».
Une arrivée des Qataris dans le Top 14 pourrait être nécessaire à terme pour sauver le Stade Français. Et on imagine le tremblement de terre qui suivrait une telle annonce...
Si, sur le plan sportif, la situation n’a pas de quoi rassurer, la santé financière du club, elle, a de quoi alarmer.
Le 13 mars dernier, Thomas Savare, l’actionnaire principal, et un autre investisseur dont le nom n’a jamais été communiqué, avaient déjà épongé pour plus de 7 millions d'euros de dettes. Sans cette opération, le Stade Français aurait certainement coulé. Ce n'est pas pour autant que le club parisien est tiré d'affaire. Toujours dans le viseur de la DNACG, Savare devrait se voir obligé de réinjecter une nouvelle somme au capital de son club d’ici le 15 octobre, sous peine de se retrouver dans une situation très inconfortable.
La grande question est de savoir si Thomas Savare et sa société Oberthur sont en mesure de renflouer les caisses à l’infini. « Je ne pensais pas devoir mettre autant d’argent en si peu de temps » avouait même l’intéressé dans les colonnes de Midi Olympique hier.
Cette situation, pour le moins préoccupante, a fait naître ces derniers jours les plus folles rumeurs entourant l'avenir du club. On parle en effet beaucoup ici et là, d'un éventuel apport des Qataris, ou du moins d'un rapprochement avec le PSG. Thomas Savare en personne s’amuse à souffler le chaud et le froid concernant ces spéculations : « Il n’y a aucune discussion avec le Qatar et le club n’est pas à vendre » disait-il avant de mesurer ses propos « Si les Qataris veulent investir à nos côtés dans le Stade Français, ils seront les bienvenus comme beaucoup d’investisseurs. Mais pour l’instant, il n’y a rien. ».
Une arrivée des Qataris dans le Top 14 pourrait être nécessaire à terme pour sauver le Stade Français. Et on imagine le tremblement de terre qui suivrait une telle annonce...